Depuis 2007, David Thorns avait pris ma succession dans la rédaction des rapports ornithologiques annuels pour le parc des Beaumonts. Il a tenu le rythme jusqu’à 2022. Courant 2023, il a cessé de résider à Montreuil et ne rend plus que très occasionnellement visite à son avifaune (notamment pour la journée collective d’observation des migrations en Ile-de-France, au mois d’octobre).
La roselière de la Mare perchée. Photo Pierre Rousset le 27 décembre.
Comme Laurent Spanneut précédemment, David Thorn a joué un rôle proprement majeur dans le suivi ornithologique du parc, et ce pendant quelque 22 ans. Son « éloignement » est donc la très mauvaise nouvelle de l’année 2023. Une bonne nouvelle, néanmoins, la création en 2021 du groupe local de la Ligue pour la protection des oiseaux – le groupe « LPO Montreuil et alentours » – a permis d’élargir notablement le nombre d’observatrices et observateurs.
Il est peut-être utile d’expliquer les conditions dans lesquelles le suivi ornithologique s’exerce au parc. Nous sommes 29 à y avoir contribué en 2023, chacune et chacun à sa manière. Certain.nes, comme moi, ne suivent aucun protocole régulier, d’autres si (en suivant des trajets ou en stationnant à des points d’observation précisément définis).
Le bois de bordure. Photo Pierre Rousset le 13 février.
Les Beaumonts couvrent 24 hectares, comprenant un coteau souvent raide et boisé, deux parcs urbains, deux mares et un vaste espace d’allure « campagnarde » dans la moitié sud du plateau, avec en son cœur l’écopâturage, protégé par un enclos, qui héberge un couple de vaches et une dizaine de chèvres de races rustiques. La combinaison de ces différents biotopes explique pour une bonne part l’attraction du site pour l’avifaune (et pas seulement !). Même si la zone dite « campagnarde » nous aimante tout particulièrement, les autres parties du parc ne sont pas à négliger. Pour faire le tour du parc en prenant le temps d’observer, il doit bien falloir cinq heures. Autant dire que nous ne le faisons pas souvent. Nos visites n’ont donc rien d’exhaustif.
Les chèvres dans l’écopâturage. Photo Pierre Rousset le 5 juin.
Nombre d’entre nous s’intéressent aussi aux insectes ou plantes. Avec les beaux jours, nous parcourons le site les yeux braqués à nos pieds et les oreilles dressées pour capter quand même la présence des oiseaux.
Autre particularité de notre parc : il n’y a pas d’éclairage nocturne. Or, la « pollution lumineuse » est très néfaste à la biodiversité. En effet, 28 % des vertébrés et 64 % des invertébrés (dont quelque 95% des papillons) sont nocturnes et donc affectés par les lumières artificielles. La nuit représente un temps important dans la richesse de l’écosystème (pollinisation, etc.). Les oiseaux, même diurnes, en bénéficient (abondance de nourriture…).
L’escalier du Calligraphe. Photo Pierre Rousset le 13 février.
Ces cinq dernières années, David Thorns avait placé, les nuits favorables, un micro pour enregistrer les cris d’oiseaux en migration nocturne, en survol ou se posant, qui seraient autrement passées inaperçus. Cela avait considérablement amélioré nos connaissances de l’avifaune locale. Pour l’heure, personne n’a pris le relais. Remplacer David n’est pas simple ! Il ne suffit pas, en effet, d’utiliser un matériel adéquat, il faut déterminer les espèces à leurs cris, c’est rarement simple – cela demande un apprentissage, de l’aide et du temps.
Poumon vert profondément inséré dans le tissu urbain, les Beaumonts offrent aussi nourriture, matériaux pour la construction des nids, abris, dortoirs et accès à l’eau par temps de sécheresse pour l’avifaune des environs. Ils permettent de même la présence d’espèces campagnardes que l’on ne verra jamais dans un « espace vert » usuel.
Le parc Mabille. Photo Pierre Rousset le 13 février.
Enfin, visibles de loin en bordure du plateau, les Beaumonts offrent un point de repère et la possibilité d’une halte salutaire à des oiseaux en migration qui traversent l’immense zone urbaine parisienne : une oasis au milieu du désert urbain. Haut perchés, ils constituent pour nous un observatoire privilégié pour suivre les mouvements migratoires et déplacements régionaux de l’avifaune.
Une dernière remarque préalable. Les données récoltées mesurent avant tout la présence et les qualités des personnes assurant le suivi naturaliste. Cela rend difficile la comparaison entre les années, ou entre les saisons. On notera, par exemple, cette fois-ci, une chute brutale de données à la fin octobre… qui voit le départ de David, alors qu’Isabelle Giraud a dû suspendre ses visites.
95 espèces seulement ont été identifiées en 2023, alors qu’elles étaient 114 en 2022 et 125 en 2021.
Observateurs mentionnés dans le texte :
Joelle Blot (JB), Stéphane Chambris (SCh), Arnaud Chambon (AC), Suzane Cox (SCo), Adèle Cramaix (ACR), Sylvain Clède (SC), Hugo De Verges (HV), Sylvain Dupont (SD), Emmanuel Gauvin (EG), Isabelle Giraud (IG), Rémi Gouttefarde (RG), Remi Jugieux (RJ), Eloi Khattab (EK), Sebastien Klein (SK), Emir Kort (EKT), Arnaud Ladole (AL), Nadia Lalami (NL), Laurent Pascual-Le Tallec (LP), Thomas Puaud (TP), Philippe Rance (PRa), Hélène Redel (HR), David Rosane (DR), Lucas Roger (LR), Pierre Rousset (PR), Noah Saleme (NS), David Thorns (DT), Anne Lisbeth Tollanes (ALT), Camille Vacher (CV), Lukas Witkowski (LW), Raphael Zordan (RZ).
Les observations enregistrées dans la base LPO de Faune-Ile de France ne sont pas libres d’accès. En conséquence, nous avons fait le choix de fournir cette année un plus grand nombre de données que cela n’a été le cas dans les rapports précédents, ce qui permet aussi de rendre plus complètement compte de l’activité des observatrices et observateurs.
LISTE SYSTÉMATIQUE
C = captivité - issu de captivité ou d’élevage (individus échappés ou relâchés… lors des départs en vacances, notamment).
E = estivant - migrateur visible au printemps et en été, qu’il niche directement sur le site des Beaumonts (la majorité des cas) ou pas.
F = féral - ce terme désigne une espèce issue de captivité ou introduite, mais qui se reproduit en liberté et a formé une population capable de se maintenir sans nouvel apport artificiel. Il est ici utilisé dans un sens plus général. Il désigne une espèce « exotique » qui, parfois au moins, niche en liberté. Un individu donné peut donc provenir de captivité ou être né en liberté.
H = hivernant - migrateur visible en automne et en hiver.
M = migrateur - observé lors des migrations d’automne et de printemps ou bien lors de déplacements erratiques. Le nom des saisons prend ici un sens un peu différent de celui du langage courant. Suivant les espèces, la migration d’automne peut en effet commencer dès août (voire en juillet) et la migration de printemps (le retour des quartiers d’hiver) dès février.
S = sédentaire - présent toute l’année (la population nicheuse locale pouvant être renouvelée ou augmentée de migrateurs et hivernants).
Une « donnée » ou « observation » peut concerner un individu (un busard des roseaux) ou des centaines (200 martinets noirs).
Quand le nombre de données est faible, nous les listons toutes, sinon nous présentons une sélection ou une synthèse.
De nombreuses espèces que l’on peut observer annuellement ne l’ont pas été en 2023, comme la grande aigrette, la cigogne blanche ou l’oie cendrée. Cela est probablement dû à la faiblesse du suivi migratoire en automne.
Grand cormoran Phalacrocorax cargo M
Peut être observé en petit nombre durant toute l’année - l’espèce semblant bien installée au Lac Daumesnil dans le bois de Vincennes, et des oiseaux apparemment locaux sont de plus en plus observés pendant et hors des périodes de migration.
Migre en février-mai et d’août à la mi-novembre.
Dix-sept données du 11 février au 22 octobre.
2 le 11 février.[DT]
7 le 30 mars.PR]
7 le 31 mars.[DT]
2 le 1er avril.[DT]
1 le 3 avril.[IG]
6 le 4 avril en migration.[RJ, DT]
17 le 5 avril.[DT]
3 le 6 avril.[DT]
3 le 7 avril. [DT]
93 le 9 avril (dont 90 en migration). [DT]
136 individus du 11 février au 9 avril (pic de 93 individus ce dernier jour).
4 le 29 août.[PR]
2 le 14 septembre.[IG]
3 le 7 octobre.[IG]
32 le 10 octobre (dont 30 en migration).[IG]
6 le 14 octobre.[IG]
42 le 15 octobre.[IG]
8 le 22 octobre (dont 4 en migration).[IG]
97 individus du 29 août au 22 octobre (pic de 42 individus le 15 octobre).
Total annuel : 233
Récapitulatif migration (Trektellen) :
6 en mars, 110 en avril, 8 en août, 76 en octobre - total 200
Héron cendré Ardea cinerea S M
Observé assez régulièrement tout au long de l’année. Ces données consistent presque exclusivement en des oiseaux qui survolent le parc. Bien que la clôture périphérique de la mare offre désormais une meilleure protection au héron, c’est une espèce qui suscite facilement la colère des corneilles ou perruches qui le chassent systématiquement du site chaque fois qu’il tente de se poser.
Deux arbres à proximité de la mare permettaient aussi au héron de se réfugier pour attendre un moment favorable avant de retouner à la mare. Ils ont dû être coupés.
Il semble que le héron cendré puisse visiter la mare de nuit.
Migration difficile à spécifier au printemps et en début d’automne (nombreux déplacements divers). Arrivée des hivernants en novembre. La migration prend souvent la forme d’un petit nombre d’individus volant en file indienne, ce qui nous alerte.
Dix données du 26 mars au 10 octobre
1 le 26 mars, posé dans la mare perchée à 21h.[SD]
1 le 31 mars.[DT]
1 le 1er avril.[DT]
1 le 5 avril.[DT]
8 le 6 avril.[DT]
1 le 7 avril.[DT]
2 le 8 avril, migration.[DT]
1 le 1er juin.[LP]
16 individus du 26 mars au 1er juin (pic de 8 individus le 6 avril).
1 le 29 août.[DT]
1 le 7 octobre.[IG, AL]
1 le 10 octobre, tente de se poser à la mare perchée, chassé par une centaine de perruches.[IG]
3 individus du 29 août au 10 octobre.
Total annuel : 19
Récapitulatif migration (Trektellen) :
8 en avril
Bernache du Canada Branta canadensis F
Survols. Peu commun au parc - petits nombres observés occasionnellement tout au long de l’année, usuellement en transit avec les lacs du bois de Vincennes.
Huit données du 31 mars au 15 octobre.
1 le 31 mars.[DT]
4 le 4 avril.[DT]
2 le 6 avril.[DT]
1 le 8 avril.[DT]
4 le 26 mai en vol de transit sud [LP], dont 3 en survol nocturne pendant une séance d’observation des papillons de nuit près de la mare perchée [PR]
14 le 29 août en vol est [DT]
2 le 14 septembre.[IG]
8 le 15 octobre..[IG]
Canard colvert Anas platyrhynchos S M
Notés assez régulièrement tout au long de l’année, à la mare ou en survol.
Migration en février-mars et au cours de l’automne, mais difficile à déterminer vu des Beaumonts.
Sept données du 6 janvier au 8 juin.
1 le 6 janvier.[PR]
1 le 13 février.[IG]
1 le 19 février.[RG]
1 le 20 février.[PR]
1 le 1er avril.[DT]
1 le 26 mai. Survol nocturne pendant une séance d’observation des papillons de nuit près de la mare perchée : se serait probablement posé en notre absence [PR]
1 le 8 juin.[PR]
Canard piletAnas acuta M
Migration en février-avril (surtout mars) et d’août à décembre (surtout octobre et novembre).
Une observation remarquable le 31 mars : à 10h45, un groupe de 23 individus en survol, lointain et haut, dans le ciel, vers le nord, probablement en migration.[RJ, DT]
Canards pilets. Photos David Thorns le 31 mars.
Canards sp en migration
8 le 31 mars en migration.[RJ, DT]
Milan noir Milvus migrans M
Migration en mars-juin (surtout avril-mai) et en juillet-octobre (surtout fin août-septembre). Les oiseaux observés des Beaumonts semble souvent errer comme sans but (des immatures non nicheurs ?)
Noté à une reprise seulement, un le 6 avril qui « se balade au sud » [DT]
Busard des roseaux Circus aeruginosus M
Observé en survol migratoire – c’est l’un des grands rapaces les plus fréquents et celui qui a la plus grande amplitude de passage : de la fin mars à mai (juin), puis de la troisième semaine d’août à la mi-octobre.
Huit données du 31 mars au 15 octobre.
1 le 31 mars.[RJ, DT]
2 le 4 avril (1 vol N en migration, 1 vol S).[SCo, IG, SK, DT]
6 le 6 avril (12h20).[DT]
1 le 7 avril.[DT]
2 le 29 août.[DT]
1 le 7 octobre.[AL, IG]
5 le 14 octobre.[IG]
2 le 15 octobre.[IG]
Busard des roseaux. Photos David Thorns le 6 avril.
Récapitulatif migration (Trektellen) :
1 en mars, 9 en avril, 2 en août, 8 en octobre – total 20
Busard Saint-Martin Circus cyaneus M
Migration en février-avril et de septembre à la mi-novembre.
Une seule donnée, en automne : deux individus en survol migratoire le 14 octobre [SC, IG, DT].
Buse variable Buteo buteo M
La buse est devenue plus commune, grâce notamment à la présence d’un certain nombre d’oiseaux locaux fréquentant le bois de Vincennes, tout proche. Il est difficile dans ces conditions de cumuler le chiffre des données.
Les oiseaux de Vincennes (2-4 individus en général) sont particulièrement visibles de fin février à fin mai (des parades observées le 28 mai).
Migration de fin février à fin avril peu évidente au printemps, ni particulièrement en automne (de mi-septembre à mi-novembre) alors qu’un groupe prenait une pompe ensemble vers le nord le 4 septembre [LP/HV]. Un groupe de quatre a fait la même chose le 22 octobre [IG/AL].
Vingt données du 11 février au 22 octobre.
Observée posé dans le bois de Bordure le 27 mars.
Buse variable perchée dans le bois de bordure. Photo Pierre Rousset le 27 mars
Migration d’automne (17 individus) :
14 le 15 octobre [IG, AL], chiffre important.
3 le 22 octobre.[IG, AL]
Récapitulatif migration (Trektellen) :
3 en avril, 18 en octobre - total 21
Bondrée apivore Pernis apivorus M
L’une des espèces les plus courantes, mais à l’amplitude de passage assez limitée (surtout mi-avril-début juin, mi-juillet-fin septembre (octobre). En automne, le passage de la bondrée se termine alors que commence celui de la Buse variable.
Quatre données, toutes fin août (migration de départ - en automne].
6 le 26 août.[DT, PR]
11 le 27 août.[DT]
7 le 29 août.[DT]
4 le 30 août.[JB]
Bondrée apivore. Photo David Thorns le 26 août.
Bondrée apivore. Photo David Thorns le 30 août.
Récapitulatif migration (Trektellen) :
30 en août
Grand rapace indéterminé
1 en migration le 14 octobre.
Récapitulatif migration (Trektellen) :
2 en octobre
Épervier d’Europe Accipiter nisus S
Observé régulièrement (normalement 1-3 individus) durant l’année. Nidification confirmée cette année dans le Bois de Bordure. Des parades notées début avril. Un couple présent le 1er mai (Code Atlas 5).
Migration en mars-avril (mai-juin) et de juillet à la mi septembre (surtout septembre-octobre).
Dix-huit données du 5 février au 22 octobre.
Nidification confirmée le 15 août avec l’observation d’une femelle et de trois jeunes quémandant sans cesse (semblent plus tardifs de 10 à 15 jours que dans les autres sites d’Ile-de-France [LP].
Épervier d’Europe. Photo David Thorns le 7 avril.
Migration :
1 en migration le 7 octobre [AL, IG]
2 en migration le 14 octobre [IG]
2 en migration le 15 octobre [IG]
Récapitulatif migration (Trektellen) :
1 en avril, 5 en octobre - total 6
Faucon crécerelle Falco tinnunculus S M
Niche aux alentours dans des bâtiments ; 1-3 individus (normalement un) observés presque chaque visite.
Migration difficile à confirmer (vol élevé et déterminé), surtout au printemps. Noté en automne de la mi-septembre à fin octobre.
Observé du 6 janvier au 27 décembre
Faucon crécerelle. Photo Pierre Rousset le 20 février
Faucon crécerelle. Photo David Thorns le 7 avril
Faucon crécerelle. Photo Pierre Rousset le 2 décembre
Récapitulatif migration (Trektellen) :
2 en avril, 1 en août
Faucon hobereau Falco subbuteo E M
Trois données du 26 au 30 août (1 à 2 individus à chaque fois). Semble nicher à proximité (bois de Vincennes ?).
2 le 26 août.[DT, PR]
1 le 27 août.[DT]
2 le 30 août.[JB]
Faucon émerillon, Falco columbarius) M
Migration de la fin mars à la mi-mai et de la mi-septembre (voire plus tôt), mais surtout en octobre et novembre.
Pas de donnée aux Beaumonts même, mais une donnée non loin le 13 mars, en migration [PR]
Faucon pèlerin Falco peregrinus S M
La présence régulière depuis quelques années de l’espèce à Paris et ses environs a rendu le Pèlerin moins rare. Les observations se rapportent, en général, à des individus circulant très haut dans le ciel au nord du parc.
Migration en mars-avril (mai-juin) et en septembre-novembre.
Quatre données, deux au printemps et deux en automne.
2 le 1er avril (un couple).[NS, DT]
1 le 7 avril.[DT]
1 le 14 octobre.[IG]
2 le 15 octobre.[IG]
Faucon pèlerin. Photos David Thorns le 1er avril.
Faucon pèlerin. Photo David Thorns le 7 avril
Poule d’eau Gallinula chloropus S
Une bonne année encore - nidification confirmée. Comme l’année dernière, quasiment absente pendant le second semestre.
Quatorze données du au 26 juillet, à la Mare perchée [EK, LR, LP, PR, IG, DT]
Jusqu’à 4 poussins notés (la végétation de la mare perchée rend difficile leur comptage).
Poule d’eau. Photo Pierre Rousset le 5 juin 2023
Poule d’eau. Photos Pierre Rousset le 13 juin 2023
Vanneau huppé Vanellus vanellus M H
Encore une année décevante – noté une fois en automne.
Un groupe d’une quarantaine d’individus le 15 octobre.[IG, AL]
Mouette rieuse Chroicocephalus ridibundus S M
Observée régulièrement en petits groupes (en général 1-10 oiseaux) survolant le parc en hiver, au début du printemps et automne. Peu commune et irrégulière entre mai et fin août.
Migration diffuse au printemps, à partir de mars, et commence en juillet à l’automne pour se poursuivre jusqu’en hiver.
Vingt-quatre données et 244 individus du 2 janvier au 10 décembre.
Dernière donnée du premier semestre le 6 avril.
Première donnée du second semestre le 26 août.
Maximum : environs 70 en vol nord le 11 février.[DT]
Récapitulatif migration (Trektellen) :
2 en avril, 5 en octobre - total 7
Goéland argenté Larus argentatus S M
Survols. Observé irrégulièrement en petites quantités (en général 1-2 oiseaux) en hiver, au printemps et en automne.
Migration diffuse fin février-mars au printemps et à partir de septembre-octobre en automne pour se poursuivre jusqu’à l’hiver.
Douze données et probablement moins de 50 individus du 2 janvier au 6 décembre.
Dernière donnée du premier semestre le 2 mai.
Première donnée du second semestre le 14 octobre.
Goéland leucophée Larus michahellis H M
Probablement sous-évalué à cause de la difficulté présentée par l’identification de goélands en vol à distance.
Migration en février-mars surtout au printemps et de (mai) juin à novembre en automne.
Quatre données et probablement 7 individus du 2 janvier au 22 octobre.
Deux données le premier semestre (2 janvier et 7 avril).
Deux données le second semestre (15 et 22 octobre).
Goéland brun Larus fuscus S M
Relativement commun – noté en petit nombre en hiver, au printemps et en automne.
Huit données et 38 individus du 13 février au 15 octobre.
Six données au premier semestre (dernière le 7 avril) et deux au second (29 août et 15 octobre).
En migration :
1 le 4 avril.[SCo, IG, SK, DT]
Larus (Goéland ou mouettes) indéterminés
Neuf données et 139 individus du 6 janvier au 10 décembre.
Cinq données au premier semestre (dernière le 7 avril).
27 individus en vol Est le 6 janvier au crépuscule.[PR]
Quatre données au second semestre (première le 14 octobre).
12 individus en migration le 14 octobre.[IG]
86 individus le 15 octobre – 52 en vol sud (migration ?) et 34 en vol nord. [IG]
Pigeon biset Columba livia S
Résident commun dans le secteur bâti, observé tous les jours dans le parc.
Pigeon biset domestique. Photo Pierre Rousset 27 février
Pigeon colombin Columba oenas S M
Nichant aux alentours, un résident relativement commun, noté en survol en petits nombres durant toute l’année (en général des petits groupes en survolant vers l’est). Bien que rarement observé posé sur place, nidification néanmoins possible.
Migration difficile à déterminer (par rapport aux déplacements régionaux) en (février) mars-avril et en automne de septembre à la fin novembre.
Dix-sept données et plus de 52 individus du 5 février au 22 octobre.
Pigeon ramier Columba palumbus S M
Résident commun, nichant sur le site – observé tous les jours.
Les effectifs visibles sur place sont relativement faibles, mais difficiles à évaluer (se trouvant dans les arbres) et sont augmentés par les déplacements d’individus ou de petits groupes survolant le parc en altitude et dans diverses directions. Les oiseaux survolent le parc généralement vers le nord-est pendant la matinée, et reviennent vers Paris en fin de journée.
Migration en février-avril et de septembre à la mi-décembre (surtout de la mi-octobre à la fin novembre).
Maximum une cinquantaine sur place le 26 mai.[LP]
Pas de vols importants en transit ou migration noté cette année.
Tourterelle turque Streptopelia decaocto S
Résidente relativement commune. 1-2 oiseaux observés régulièrement en vol ou parfois posés dans les arbres, à la Mare Perchée ou à la déchetterie. Nidification probable.
Touterelle turque. Photo Pierre Rousset le 20 mars
Chouette hulotte Strix aluco S
Entendue hululer par deux fois lors des séances nocturnes d’observation des papillons de nuit, les 16 juillet et 12 août. [PR]
Martinet noir Apus apus E M
Commun en été – observé tous les jours en petits nombres. Niche aux alentours. Les martinets sont plus faciles à observer des balcons environnant (plutôt que du parc), d’où on peut en voir 200 ou plus.
Migration de printemps d’avril à début mai (occasionnellement fin mars). Pic pendant la seconde moitié d’avril. En automne, de juillet à octobre, surtout fin juillet et août (occasionnellement en novembre). Rare au-delà du début octobre.
Noté du 27 avril (30 individus) au 15 août (4 individus), maximum 38 le 28 mai [EK]
Martinet genre Apus Apus sp M
1 le 22 octobre. Arrive du nord à 14h20 et file au sud.
Mis en Apus sp, car cette date de passage est tardive pour un Martinet noir.[AL, IG]
Martinet genre Apus. Photo Isabelle Giraud et Arnaud Ladole le 22 octobre.
En fin de saison, le Martinet pâle peut (rarement !) être présent dans notre région, alors que le Martinet noir a, en règle générale, cessé de l’être. Le Martinet pâle est une espèce méditerranéenne, mais en octobre-novembre, elle peut apparaître dans l’ouest et le nord de la France.
Perruche à collier Psittacula krameri F
Relativement commune – leur nombre a fortement augmenté depuis quelques années. Nichent actuellement sur place dans le parc. Les observations se rapportent habituellement à des individus ou à de petits groupes volants bruyamment au-dessus du parc ; il est supposé qu’une grande partie de ces oiseaux sont en route depuis/vers leurs sites de nidification/dortoirs du parc Montreau, bois de Vincennes et/ou Roissy.
Nidification confirmée le 26 mai [LP]
Le transit de retour aux dortoirs s’effectue au crépuscule ¬– plus de 70 notés en vol N le 6 janvier et plus de 60 le 13 mars. [PR]
Pic vert Picus viridis S
Au moins un couple niche dans le parc ou aux alentours – observé ou entendu régulièrement toute l’année.
Pic épeiche Dendrocopos major S
Au moins un couple résidant et nichant au parc ou aux alentours – observé ou entendu régulièrement pendant toute l’année.
Pic épeiche. Photo Pierre Rousset le 20 janvier
Pic mar Dendrocopus medius S
Présence facilement sous-estimée (évolue surtout haut dans les arbres). Encore une bonne année.
Six données :
Le 25 janvier.[PR]
Le 5 février.[PR]
Le 18 juin.[DT]
Le 7 octobre.[IG]
Le 15 décembre.[PR] photo
Le 23 décembre.[TP]
Pic Mar. Photo Pierre Rousset le 15 décembre.
Pic Mar. Photos David Thorns le 18 juin.
Pic épeichette Dendrocopos minor S
Au cours des dernières années, cette espèce est devenue rare au parc. Observée huit fois.
Sept données au premier semestre du 27 janvier au 27 mars
1 le 25 janvier.[PR]
1 le 27 janvier.[LP]
2 le 28 janvier.[PR]
1 le 20 février.[PR]
1 le 27 mars.[PR]
Trois données au second semestre du 7 octobre au 17 décembre
2 le 7 octobre.[AD, IG, PRa]
1 le 14 octobre.[IG]
1 le 17 décembre.[PR]
Pic épeichette. Photos Pierre Rousset le 17 décembre
Alouette des champs Alauda arvensis M
Survols. Malgré un déclin très prononcé, migratrice encore relativement commune, surtout en automne.
Migration en février-avril et de la fin septembre (surtout à partir de la mi-octobre) jusqu’à la fin novembre parfois.
Quatre données migratoires (27 individus) en octobre
2 le 7 octobre.[AL, IG]
1 le 14 octobre.[IG]
8 le 15 octobre.[IG]
16 le 22 octobre.[AL, IG]
Alouette lulu Lullula arborea M
Survols. Alors qu’elle est beaucoup moins commune que l’espèce précédente, migratrice régulière.
Migration discrète au printemps (février-avril) et, en automne, de la fin septembre à la mi-novembre (surtout octobre).
Cinq données migratoires en octobre (174 individus).
4 le 7 octobre.[AL, IG]
3 le 10 octobre.[IG]
39 le 14 octobre.[IG, AL]
63 le 15 octobre.[IG, AL]
65 le 22 octobre.[IG, AL]
Hirondelle rustique Hirundo rustica E M
Migratrice assez commune au printemps. Très peu observée en été.
Migration de la mi-mars à juin au printemps et, en automne, à partir de la fin août (surtout de la mi-septembre à la mi-octobre). Se termine généralement début novembre. Elle dépend beaucoup des conditions météorologiques.
Neuf données du 31 mars au 29 août (16 individus)
Huit données au premier semestre (15 individus)
1 le 31 mars en migration.[RJ, DT]
1 le 1er avril [NS, DT] transit sud-nord
1 le 4 avril en migration.[SCo, IG, SK, DT]
2 le 5 avril.[DT]
6 le 6 avril.[DT]
3 le 7 avril.[DT]
1 le 8 avril.[DT]
1 le 16 juin.[DT]
Une donnée au second semestre
1 le 29 août.[DT, PR]
Hirondelle rustique. Photo David Thorns le 1er avril.
Hirondelle de fenêtre Delichon urbicum E M
Migration débute au printemps fin mars-début avril pour se terminer tout début juin. En automne, fin août-début octobre surtout (occasionnellement jusqu’à la mi-décembre).
Six données du 5 avril au 7 octobre (onze individus)
Quatre données au premier semestre (cinq individus)
1 le 5 avril.[DT]
1 le 6 avril.[DT]
2 le 8 avril.[DT]
1 le 1er mai.[EK]
Deux données au second semestre (six individus)
5 le 29 août.[DT, PR]
1 le 7 octobre.[IG, AL]
Hirondelles indéterminées Hirondinidae sp
Une données : 1 le 30 mars.[DT]
Pipit farlouse Anthus pratensis M
Un migrateur commun au printemps et (surtout) en automne. Absent en été.
Migration en mars-avril et de la mi-septembre à mi-novembre (pic en octobre).
Onze données et 247 individus du 30 mars au 22 octobre.
Huit données et 208 individus au premier semestre
2 le 30 mars.[DT, PR]
25 le 1er avril.[NS, DT]
34 le 4 avril.[SCo, IG, SK, DT]
42 le 5 avril.[DT]
60 le 7 avril.[DT]
45 le 8 avril.[DT, PR]
Cinq données et 39 individus au premier semestre
Pipit farlouse. Photo David Thorns le 8 avril
4 le 7 octobre.[IG, AL]
2 le 10 octobre.[IG]
28 le 14 octobre.[IG]
2 le 15 octobre.[IG, AL]
3 le 22 octobre.[IG, AL]
Pipit farlouse en vol. Photo David Thorns le 8 avril
Pipit des arbres Anthus trivialis M
Un migrateur relativement commun au printemps et en automne.
Migration surtout de la mi-avril à fin mai, au printemps, et (diffuse) de la mi-août à la fin septembre (pic mi-septembre).
Une seule donnée le 29 août.
Une belle obs : il se pose quelques minutes sur le site [DT]
Pipit des arbres. Photo David Thorns le 29 août.
Bergeronnette grise Motacilla alba M
Survols. Migratrice assez commune au printemps et à l’automne.
Migration en mars-avril (parfois plus tôt), s’achevant en mai au printemps et, en automne, d’août à mi-novembre (pic durant la première quinzaine d’octobre).
Neuf données et 114 individus du 30 mars au 27 octobre.
Quatre données et 6 individus au premier semestre
2 le 30 mars.[DT]
1 le 5 avril.[DT]
1 le 6 avril.[DT]
2 le 19 mai.[PR]
Cinq données et 108 individus au premier semestre
18 le 7 octobre.[IG, AL]
22 le 10 octobre.[IG]
40 le 14 octobre.[IG]
15 le 15 octobre.[IG]
13 le 22 octobre.[IG, AL]
Bergeronnette printanière Motacilla flava flava M
Migratrice relativement commune au printemps et (dans une moindre mesure) en automne.
Migration en mars-mai (pic mi-avril) et, en automne, en septembre-octobre. Peut commencer plus tôt et s’achever en novembre.
Trois données et 5 individus du 4 avril au 29 août.
Deux données et 3 individus au premier semestre
1 le 4 avril.[DT]
2 le 8 avril.[DT]
Une donnée et 2 individus au second semestre
2 le 29 août.[DT]
Bergeronnette des ruisseaux Motacilla cinerea S M
Résidente et migratrice peu commune - ne niche pas au parc.
Neuf données et 14 individus du 1er avril au 23 décembre.
Trois données et 4 individus au premier semestre du 1er avril au 13 juin
1 le 1er avril, descend vers la mare perchée.[DT]
1 le 14 avril, en vol.[TP]
2 le 13 juin, se nourrissant autour de la flaque d’eau (polluée) derrière la fontaine nord.[PR]
Bergeronnettes des ruisseaux. Photos Pierre Rousset le 13 juin
Six données et 10 individus (dont 4 en migration) au second semestre du 7 octobre au 23 décembre.
Migration du début mars à la mi-avril, puis de septembre à la mi-novembre (pic en octobre).
1 le 7 octobre.[IG, AL]
4 le 14 octobre, 3 en migration, une locale.[IG]
2 le 15 octobre, une en migration, une locale.[IG]
1 le 22 octobre, locale.[IG, AL]
1 le 10 décembre, survol.[TP]
1 le 23 décembre, survol.[TP]
Troglodyte mignon Troglodytes troglodytes S
Résident commun, nichant au parc – normalement 1-4 oiseaux observés tous les jours.
Noté de 1 à 6 [LP, TP] individus du 5 janvier au 25 décembre.
Troglodyte mignon. Photo Pierre Rousset le 13 février.
Accenteur mouchet Prunella modularis S M
Résident et commun, nichant au parc.
Noté du 6 janvier au 25 décembre (maximum 6).
Accenteur mouchet. Photo Pierre Rousset le 30 mars
Rougegorge familier Erithacus rubecula S M
Résident assez commun, nichant sur place. 1-4 oiseaux notés presque tous les jours. Comme l’espèce précédente, plus discret durant la période de nidification. Apport d’hivernant.
Jeunes observés pour la première fois le 27 mai.[AC]
Rougegorge familier. Photo Pierre Rousset le 5 février.
Rossignol philomèle Luscinia megarhynchos E M
Migrateur peu commun – nicheur occasionnel.
Migration fin mars mi-mai (pic en avril), puis probablement août-septembre.
Une année médiocre - noté deux fois.
1 le 12 avril.[PR]
1 le 7 septembre. L’oiseau d’automne n’est noté que grâce à un enregistrement sonore.
Tarier des prés Saxicola rubetra M
Migrateur peu commun. Observé une fois en automne.
Migration en (mars) avril-mai et de la mi-août à septembre (octobre).
1 le 25 août.[DR/DT].
Rougequeue noir Phoenicurus ochruros M
Migrateur plutôt irrégulier et peu commun. Absent durant l’été, alors qu’il niche aux proches abords. Des données concernent parfois des oiseaux présents sur les immeubles de bordure. Les hivers doux, un certain nombre d’individus peuvent hiverner en Ile-de-France.
Migration début mars (parfois février) à la mi-avril, puis de mi-septembre à fin octobre.
Deux données et 7 individus du 7 avril au 25 décembre.
Quatre données et 5 individus du 7 avril au 1er juin.
2 le 7 avril.[DT]
1 le 17 mai (code atlas 40).[TP]
2 mâles le 26 mai, immeubles de pourtour.[LP]
1 mâle le 1er juin, immeuble de pourtour.[LP]
Trois données et 3 individus du 29 août au 25 décembre.
1 mâle le 29 août, posé.[PR]
1 le 7 octobre.[IG, AL]
1 le 25 décembre, date très tardive, mais il y a eu un hivernage notable cet hiver 2023-2024 dans la région.[LR]
Rougequeue à front blanc Phoenicurus phoenicurus M
Migrateur peu commun. Noté au printemps et (surtout) au début de l’automne.
Migration de la fin mars à début mai, puis de septembre à la mi-octobre (ou la fin du mois).
Une seule donnée le 26 août.[DT]
Merle à plastron Turdus torquatus M
Migrateur peu commun mais régulier (surtout en avril).
Migration de fin-février à début mai (pic en avril), puis fin septembre et octobre (novembre).
Une seule donnée le 7 avril en migration (vol N, 8h55).[DT]
Merle noir Turdus merula S M
Résident commun, nichant au parc. Petits nombres (normalement 1-3 oiseaux) observés à chaque visite. Apport d’hivernant.
Noté du 2 janvier au 25 décembre.
Maximum 20 les 2 et 3 janvier.[PR]
7 le 4 avril (visite d’un site de nidification probable).[DT]
13 le 9 juin (présence de jeunes venant de quitter le nid).[DT]
Grive litorne Turdus pilaris H M
Migratrice peu commune à la fin de l’automne, au printemps et en hiver.
Migration en février-avril (pic en mars), puis (parfois fin septembre) octobre-novembre.
Quatre données et 8 individus du 11 février au 11 décembre. Faiblement présente la fin d’hiver 2022-2023 et le début d’hiver 2023-2024.
Une donnée au premier semestre
Le 11 février, posé dans la friche centrale [DT]
Trois données et 6 individus au second semestre
5 le 15 octobre.[IG, AL]
1 le 6 décembre.[PR]
1 le 11 décembre.[PR]
Grive musicienne Turdus philomelos S M
Résidente commune, bien que plutôt discrète, nichant au parc (au moins 3 couples estimés). En général, 1-3 oiseaux observés chaque jour. Leur nombre est augmenté au printemps et en automne par les migrateurs.
Migration février-avril, puis mi-septembre-novembre (pic en octobre).
Notée du 5 janvier au 25 décembre.
Chant discret noté le 27 janvier.[PL]
Chants notés le 13 février (4 individus).[IG]
Comportement territorial le 17 mai.[TP]
Grive musicienne. Photo David Thorns le 7 avril
En migration (74 individus) :
9 le 7 octobre.[IG, AL]
22 le 10 octobre.[IG]
6 le 14 octobre.[IG]
27 le 15 octobre.[IG]
10 le 22 octobre.[IG]
Maximum sur place 11 le 11 décembre.[PR]
Grive mauvis Turdus iliacus H M
Migratrice et hivernante relativement commune au printemps et à la fin de l’automne. Irrégulière en hiver.
Migration en mars (surtout) et avril, puis en octobre.
Vingt-trois données du 2 janvier au 25 décembre.
Dix-neuf données et 147 individus au premier semestre (surtout en hiver) du 2 décembre au 1er avril. Notons en particulier :
16 le 5 janvier.[PR]
20 le 20 janvier.[PR]
20 le 25 janvier.[PR]
Plus de 10 le 27 janvier.[PL]
12 le 3 mars.[PL]
3 en vol le 11 mars.[TP]
1 le 12 mars [TP] avant une interruption.
2 le 1er avril [DT], en fin de période de migration.
Cinq données et 10 individus au second semestre du 14 octobre au 25 décembre, dont :
4+ le 25 décembre.[LR]
Photos Pierre Rousset le 5 janvier
Grive draine Turdus viscivorus S M
Résidente nicheuse relativement commune, 1-3 oiseaux observés régulièrement durant toute l’année.
Migration en février-mars, puis de mi-septembre à mi-octobre (novembre)
Vingt-deux données et 35 individus du 5 janvier au 27 décembre.
Treize données et 17 individus du 5 janvier au 6 avril au premier semestre
1 le 20 janvier.
Grive draine. Photo Pierre Rousset le 20 janvier
Neuf données et 18 individus du 5 janvier au 6 avril au second semestre
1 le 15 août Photo
9 le 15 octobre (migration ?).[IG]
Merles / grives indéterminés. Turdus sp
4 le 31 mars.[RJ, DT]
Cinq données du 17 au 22 octobre en migration (228 individus)
2 le 7 octobre.[IG]
157 le 10 octobre.[IG]
5 le 14 octobre.[IG]
53 le 15 octobre.[IG]
11 le 22 octobre.[IG]
Rousserolle effarvatte Acrocephalus scirpaceus E M
Estivante et nicheuse irrégulière.
Migration d’avril à mi-juin (pic début mai), puis surtout en septembre-octobre (parfois plus tôt ou plus tard).
Sept données du 13 juin au 21 juillet d’un ou deux individus.
6 données d’un individu du 13 au 21 juin au premier semestre
Un mâle chanteur s’installe dans la roselière de la mare perchée, annonçant une possible nidification. Malheureusement, le 21 juin, un groupe de musique (ce n’était pas de la flute !) s’est installé en bordure de la mare et y a passé une bonne partie de la nuit à l’occasion de la fête de la musique. L’effarvatte n’a pas été revue après. [DT, PR]
1 donnée au second trimestre, le 21 juillet [PR]. Il peut évidemment s’agir d’un autre individu que celui du printemps.
Rousserolle effarvatte. Photos David Thorns le 14 juin.
***Rousserolle verderolle Acrocephalus palustris M
Un des points marquants de l’année dernière, un couple nicheur étant présent à la fin du printemps et en été. Cette année, sa présence n’a été détectée que deux fois dans la roselière de la mare perchée.
Migration de printemps tardive : en mai jusqu’à début juin (rarement dès la fin avril), puis, diffuse, probablement de la mi-juillet à septembre.
Un chant tonitruant le 30 mai.[PR]
Observée allant se percher dans les arbres de l’ilot et entendue dans la roselière nord, le chant répété vers 15h30 étant parfois très développé, incluant diverses imitations. [PR]
Hypolaïs polyglotte Hippolais polyglotta E M
Migrateur peu commun – ne niche plus dans le parc depuis 2012.
Migration en avril-mai, puis août-septembre (octobre).
Trois données les 3, 8 et 17 juin.
1 le 3 juin, petite prairie, chante sur un buisson haut, répondant à une fauvette des jardins.[AC]
1 le 8 juin dans les mêmes conditions que le 3.[PR]
1 le 16 juin.[DT]
1 le 17 juin, à la mare perchée.[PR]
Hypolaïs polyglotte. Photo David Thorns le 16 juin.
Hypolaïs polyglotte. Photo Pierre Rousset le 17 juin.
Fauvette à tête noire Sylvia atricapilla H E M
Estivante, nicheuse et migratrice commune.
Migration en mars-mai, puis août-octobre.
Notée du 18 janvier au 7 octobre.
Présence hivernale les 18 janvier (mâle) [PR], 27 janvier (femelle) [LP], 7 février [PR], 13 février (femelle) [IG].
Présence s’affirme tout du long du moins de mars avec, notamment, 5 le 3 mars (chants) [PL], 7 le 31 [DT] et courant avril, 7 le 3 (IG], 12 le 4 [DT], 8 le 19 [TP], 10 le 23 [RZ] et le 1er mai [EK], 12 le 26 [PL]…
Quelques individus notés du 26 août au 7 octobre. Maximum de 6 le 14 septembre.[IG]
Fauvette des jardins Sylvia borin E M
Estivante, nicheuse, migratrice.
Migration en avril (surtout) et mai, puis en août-septembre (octobre).
Vingt-trois données du 3 mai [AC] au 26 juillet [PR] (un seul individu noté à chaque fois).
Comportement territorial le 19 mai.[TP]
Photo et enregistrement de mâle chanteur le 1er juin.[PL]
Fauvette des jardins. Photo David Thorns le 16 juin.
Fauvette babillarde Curruca curruca E
Migration de la mi-avril (parfois fin mars) à la fin mai, puis probablement en août-septembre (octobre).
Une seule donnée le 30 avril.[PR]
Fauvette grisette Sylvia communis E
Estivante nicheuse assez commune, même s’il y a eu moins d’oiseaux que durant les années précédentes.
Migration en avril-mai, puis surtout en août-septembre (octobre).
Vingt données du 21 avril [TP] au 30 août. Généralement un individu noté à chaque fois.
3 le 23 avril.[RZ]
Nidification confirmée cette année le 26 mai avec 5 individus notés, dont un mâle et une femelle qui transportent de la nourriture (principalement dans l’écopâturage).[DT]
2 individus le 19 juin. Visite d’un site de nidification probable.[DT]
Fauvette grisette. Photos David Thorns le 26 août.
Pouillot véloce Phylloscopus collybita E M H
Nicheur commun en été – observé à chaque visite.
Migration en mars-avril, puis août-octobre.
Noté du 28 janvier au 27 décembre. Nidification très probable, mais non confirmée.
Présence hivernale notée le 28 janvier [PR], 5 février [CV, PR] et 21 février.[PR]
1 noté début mars, les 3 [PL], 11 [TP] et 12 [SD], puis 2 le 15 mars [TP] et au minimum 5 [LW]… 10 le 23 avril [RZ]
7 le 17 mai.[TP]
Régulièrement observé jusqu’au 22 octobre (3 individus) [SC, IG]
Présence (quasi) hivernale notée avec 2 individus le 22 novembre [SC] et 8 données en décembre dont 5 individus à la mare perchée le 2 [PR], 1 les 23 [TP] et 27 décembre [PR]
Pouillot fitis Phylloscopus trochilus E M
Estivant et migrateur peu commun, ne nichant pas au parc. Noté irrégulièrement au printemps et en automne.
Migration de la mi-mars à la fin mai (pic mi-avril), puis surtout en août-septembre (octobre, voire novembre).
Six données du 31 mars au 2 septembre (un seul individu noté chaque fois).
Printemps
Le 31 mars. [DT]
Le 1er avril. Chant.[NS, DT]
Le 5 avril. [DT]
Le 26 mai. Mâle chanteur.[PL]
Fin d’été
Le 26 août.[DT]
Le 30 août [JB].
Roitelet huppé Regulus regulus S M
Résident peu commun – nidification probable dans la partie nord du parc mais pas confirmée.
Migration diffuse.
Vingt-trois données du 5 janvier au 23 décembre (généralement 1 ou 2).
Cinq données en janvier.
Quatre données en février.
Six données en mars, dont 2 le 3 [PL] et le 28.[PR]
Deux données en avril : 2 le 4 [IG] et le 14 [TP]
Une donnée en mai : au minimum 3 le 17.[TP]
Une donnée en novembre : au minimum 2 le 26.[AC]
Quatre données en décembre, dont 5 le 10 [TP] et au minimum 4 le 23.[TP]
Roitelet à triple-bandeau Regulus ignicapillus S M
Résident peu commun.
Migration en mars-avril, puis octobre-novembre.
Vingt-quatre données du 5 janvier au 23 décembre. En général un ou deux individus notés. Maximum 6.
Environs 5 le 30 mars [DT, PR]
Nidification confirmée :
6 le 17 mai (dont des jeunes récemment sortis du nid).[TP]
Roitelet à triple-bandeau. Photo Pierre Rousset 27 février
Roitelet indéterminé
Sept données du 25 janvier au 14 octobre (un individu à chaque fois).
Gobemouche gris Muscicapa striata M
Migrateur peu commun mais régulier.
Migration dès août, surtout septembre, derniers débuts octobre.
Deux données seulement les 26 et 27 août.[DT]
Gobemouche noirFidecula hypoleuca M
Migrateur peu commun mais régulier.
Six données du 26 août au 15 septembre. Vu surtout en août-septembre lors de la migration d’automne.
Migration en (mars) avril, puis en (juillet) août-septembre (début octobre).
1 le 26 août.[DT]
1 le 27 août.[DT]
1 le 30 août.[JB]
1 le 2 septembre.[PR]
2 le 14 septembre.[IG]
1 le 15 septembre.[PR]
Gobemouche noir. Photo David Thorns le 30 août.
Mésange à longue queue Aegithalos caudatus S
Résidente relativement commune, nichant sur place. Groupes d’environ 5-15 oiseaux observés irrégulièrement pendant toute l’année (maximum 26).
Quarante données du 5 janvier au 25 décembre.
Premier semestre du 5 janvier au 15 juin. Notons en particulier :
6 le 5 janvier.[PR]
4 le 27 janvier.[PL]
15 le 5 février.[PR]
8 le 3 mars.[PL]
Photo PR le 3 mars
7 le 11 mars.[TP]
Au moins 5 le 1er juin (dont des jeunes récemment sortis du nid).[PL]
Mésange à longue queue. Photo Pierre Rousset le 20 janvier
Mésange à longue queue. Photo Pierre Rousset le 3 mars.
Second semestre du 15 août au 25 décembre. Notons en particulier :
5 le 15 août.[PL]
6 le 30 août.[JB]
Au moins 6 le 6 septembre.[AC]
Au moins 5 le 15 septembre.[IG]
8 le 22 octobre.[IG]
Au moins 10 le 26 novembre.[AC]
14 le 15 décembre.[PR]
26 le 23 décembre.[PR]
7 le 25 décembre.[LR]
Mésange nonnette Poecile palustris S
Curieusement peu commune et irrégulière au parc.
Trois données seulement :
1 le 27 janvier.[PL]
1 le 3 mars.[PR]
1 le 23 décembre.[PR]
Mésange huppée Lophophanes cristatus M H
Plutôt rare et irrégulière au parc - notée une fois seulement.
1 le 6 décembre.[PR]
Mésange noire Peripatus ater H M
Hivernante et migratrice peu commune.
Une seule donnée :
1 le 15 octobre.[AL]
Mésange bleue Cyanistes caeruleus S M
Résidente commune, nichant au parc. Se déplace parfois en bandes hors de la saison de nidification (les rondes). Notons en particulier :
26 le 27 janvier.[PL]
12 le 13 février.[IG]
18 le 3 mars.[PL]
3 le 15 mars (comportement territorial).[TP]
Au minimum 2 le 6 avril.[DT] code Atlas 10
4 le 14 avril.[TP]
4 le 17 mai (jeunes récemment sortis du nid).[TP]
9 le 26 mai.[PL]
Au moins 6 le 19 juin.[DT]
Mésange bleue. Photos Pierre Rousset le 7 février.
12 le 30 août.[JB]
Au moins 10 le 14 septembre en ronde.[IG]
Au moins 5 le 24 septembre. Se nourrissent sur des feuilles malades de marronniers.[SC]
6 le 19 octobre.[RZ]
Au moins 20 le 11 décembre (ronde).[PR]
35 le 23 décembre.[PR]
Mésange charbonnière Parus major S M
Résidente nicheuse commune, nichant au parc. Se déplace parfois en bandes hors de la saison de nidification (les rondes). Notons en particulier :
15 le 27 janvier.[PL]
8 le 19 février.[RG]
14 le 3 mars.[PL]
6 le 4 avril, dont deux couples qui transportent de la mousse pour leurs nids.
8 le 14 avril.[TP]
8 le 26 mai, dont des jeunes récemment sortis du nid.[TP]
11 le 1er juin.[PL]
4 le 5 juin. Boivent à la cascade.[PR]
Mésange charbonnière prenant un bain de soleil. Photo Pierre Rousset le 6 juin.
5 le 6 septembre (dont trois jeunes).[AC]
Au moins 6 le 14 septembre.[IG]
8 le 6 octobre.[SC]
Au moins 8 le 26 novembre.[AC]
Au moins 20 le 11 décembre.[PR]
40 le 24 décembre.[PR]
2 le 25 décembre.[LR]
Sittelle torchepot Sitta europaea S
Curieusement absente et peu commune au parc (concurrence d’autres espèces pour les cavités dans le tronc des arbres ?).
Deux données hivernales seulement (hivers 2022-2023 et 2023-2024) :
25 janvier.[PR]
16 décembre.[PR]
Grimpereau des jardins Certhia brachydactyla S
Résident nicheur (au moins 2 couples estimés). Des oiseaux isolés observés régulièrement durant toute l’année.
7 février.[PR]
2 le 13 février. Chante.[IG]
4 le 19 février.[RG]
Au moins 4 le 21 février.[PR]
3 le 17 mai.[TP]
Grimpereau des jardins. Photo Pierre Rousset le 7 février.
Grimpereau des jardins. Photo Pierre Rousset le 21 février.
3 le 10 septembre.[JB]
3 le 20 octobre.[SC]
Au moins 3 le 26 novembre.[AC]
4 le 10 décembre.[TP]
2 le 25 décembre.[LR]
Geai des chênes Garrulus glandarius S M
Résident assez commun – nichant au parc. Normalement 1-3 oiseaux observés lors des visites.
2 le 2 janvier.[PR]
3 le 29 janvier.[PR]
4 le 3 mars.[PL]
3 le 11 mars.[TP]
9 ensembles le 3 avril.[IG]
Au moins 5 le 5 avril.[DT]
7 le 7 avril.[DT]
1 le 27 juin.[PR]
Geai des chênes. Photo Pierre Rousset le 29 janvier
1 le 15 août.
2 le 10 septembre.[JB]
17 le 14 septembre. 3 sur place et 14 en migration (un groupe de 11, un second de 3).[IG]
4 le 9 octobre.[PR]
2 le 26 novembre.[AC]
2 le 10 décembre.[TP]
1 le 25 décembre.[PR]
Pie bavarde Pica pica S
Résidente très commune, nicheuse : 5-20 oiseaux généralement observés.
17 le 27 janvier. Certaines s’affairent déjà à leur nid.[PL]
18 le 19 février.[RG]
27 le 3 mars. Transport de matériel et construction de nids à toits.[LP]
Au moins 20 le 11 mars.[TP] Transport de matériel et construction de nids.
6 le 3 avril. Transport de matériel et construction de nids.[IG]
15 le 14 avril. Comportement protecteur, querelle d’un couple avec une corneille.
30 le 23 avril.[RZ]
9 le 17 mai. Jeunes récemment sortis du nid.
11 le 15 août.[PL]
15 le 30 août et 10 septembre.[JB]
10 le 22 octobre.[SC]
Au moins 10 le 26 novembre.[AC]
15 le 2 décembre.[PR]
Au moins 10 le 10 décembre.[TP]
Au moins 4 le 25 décembre.[LR]
Choucas des tours Corvus monedula H M
Peu commun : observés en vol à cinq reprises.
Migration en février-mars, puis octobre-novembre.
1 le 20 janvier.[PR]
1 le 7 février.[PR]
2 le 6 avril en migration.[DT]
1 le 7 avril en migration.[DT]
1 le 14 septembre.[IG]
Corbeau freux Corvus frugilegus M
Migrateur peu commun mais régulier.
Migration surtout de la mi-février à la mi-mars, puis arrivées de la mi-octobre à décembre.
2 le 1er avril en migration.[DT]
1 le 4 avril en migration.[SCo, IG, SK, DT]
3 le 3 avril.[IG]
2 le 4 avril en migration.[DT]
1 le 8 avril en migration.[DT]
Corneille noire Corvus corone S
Résidente commune, nicheuse. Environ 10 oiseaux régulièrement observés (maximum environ 60).
Au moins 60.[PR]
16 le 27 janvier.[PL]
11 le 19 février.[RG]
Environ 30 le 3 mars, dont une double baguée MNHN G522
16 le 11 mars.[TP]
Au moins 15 le 14 avril.[TP]
12 le 1er mai.[EK]
15 le 26 mai.[PL]
14 le 19 juin.[DT]
33 le 13 juillet.[PR]
25 le 15 août.[PL]
12 le 10 septembre.[JB]
Au moins 25 le 13 octobre.[SC]
20 le 10 décembre.[TP]
Corneille noire. Photo Pierre Rousset le 18 janvier
Étourneau sansonnet Sturnus vulgaris S M
Résident assez commun, nichant au parc. Régulièrement observé en petites quantités (souvent de 1 à 4).
Migration en février-début avril, puis septembre-novembre.
Migration au printemps peu évidente. En automne, noté à 2 reprises les 10 et 14 octobre.
8 le 27 janvier.[PL]
12 le 13 février.[IG]
26 le 27 février.[PR]
Au moins 30 le 3 mars.[PL]
13 le 20 mars.[PR]
Plus de 10 le 8 avril.[DT]
16 le 25 avril.[PR]
7 le 1er mai.[EK]
7 le 26 mai.[PL]
20 le 28 mai.[EK]
Au moins 10 le 14 juin.[DT]
61 le 21 juin.[PR]
Au moins 10 le 7 octobre en migration.[IG,AL]
16 le 14 octobre en migration.[IG]
9 le 15 octobre.[IG]
5 le 23 décembre. [TP]
Moineau domestique Passer domesticus S
Résident assez commun, nichant aux alentours. Seulement 3 données cette année à l’intérieur du parc.
2 le 13 mars.[PR]
1 le 27 avril.[PR]
Au moins 3 le 6 septembre.[AC]
Pinson des arbres Fringilla coelebs S M
Résident relativement commun, surtout en hiver – régulièrement observé en petites quantités. Plus discret et peu observé en été. Quelques données :
2 le 2 janvier.[PR]
12 le 5 janvier.[PR]
2 le 15 janvier.[TP]
6 le 27 janvier.[PL]
13 le 28janvier.[PR]
4 le 13 février (un chanteur).[IG]
7 le 19 février.[SC, RG]
20 le 20 février.[PR]
16 le 3 mars.[PL]
5 le 11 mars, comportement territorial.[TP]
6 le 28 mars.[PR]
8 le 4 avril, dont 7 en migration.[SCo, IG, SK, DT]
Au moins 5 le 14 avril.[TP]
4 le 30 avril.[PR]
4 le 17 mai.[TP]
5 le 26 mai.[PL]
5 le 8 juin.[PR]
205 le 7 octobre en migration.[IG, AL]
265 le 10 octobre en migration.[IG]
638 le 14 octobre.[IG, DT, HV, SC, AL, JB…]
471 le 15 octobre en migration.[IG, AL]
298 le 22 octobre en migration.[IG, AL]
Soit 1867 individus en 5 sessions.
9 le 10 décembre.[TP]
1 le 25 décembre.[LR]
Pinson du Nord Fringilla montifringilla H M
Migrateur et hivernant peu commun mais régulier. Seulement 2 données cette année.
Migration en février-mars (parfois juin-juillet), puis octobre-novembre (rarement début septembre).
1 le 4 avril en migration (enregistrement des cris sur Faune-Ile de France).[SCo, IG, SK, DT]
1 le 15 octobre, dans un petit groupe de pinsons des arbres.[IG, AL]
Serin cini Serinus serinus S M
Résident peu commun, nichant probablement aux alentours. L’espèce est en déclin et devient de plus en plus rare au parc.
Migration irrégulière en mars-avril, puis de septembre à la mi-novembre.
Une seule donnée cette année (deux l’an passé).
1 le 19 octobre.[RZ]
Verdier d’Europe Chloris chloris S M
Résident commun, nichant au parc ou aux alentours. 1-7 oiseaux observés régulièrement durant toute l’année.
Plus discret au printemps et en été.
Migration de printemps variable (février-mars), puis septembre-novembre.
Trente-trois données du 2 janvier au 22 octobre. Pourquoi aucune donnée ultérieure ?
5 le 6 janvier.[PR]
5 le 27 janvier.[PL]
10 le 11 février.[DT]
8 le 13 février.[IG]
12 le 3 mars.[PL]
1 à 2 en avril.
Pas de donnée en mai.
1 à 2 en juin.
Pas de donnée en juillet.
2 le 30 août.[JB]
5 le 14 septembre.[IG]
6 le 7 octobre en migration (et 3 sur place).[IG, AL]
5 le 15 octobre.[IG]
3 en migration (et au moins 5 sur place) le 22 octobre.[IG]
Chardonneret élégant Carduellis carduellis S M
Résident relativement commun, nichant au parc ou aux alentours. Observé en petit nombre irrégulièrement durant toute l’année.
Migration de printemps discrète (mars-avril), puis de la mi-septembre à novembre.
Vingt-huit données du 15 janvier au
5 le 15 janvier.[TP]
8 le 29 janvier.[PR]
2 le 3 avril.[IG]
1 le 4 avril en migration.[SCo, IG, SK, DT]
2 le 30 avril.[PR]
Au moins 5 le 5 et le 8 avril.[DT]
1 le 17 mai, nidification possible.[TP]
1 le 3 juin.[AC]
Pas de donnée en juillet.
1 le 30 août.[JB]
3 le 7 octobre.[IG]
23 le 15 octobre (migration ?).[IG, AL]
Pas de données en novembre.
10 le 10 décembre.[IG]
2 le 24 décembre.[SC]
Chardonneret élégant. Photos Pierre Rousset le 29 janvier.
Tarin des aulnes Spinus spinus H M
Hivernant peu commun. Des oiseaux notés en migration au printemps et en automne.
Migration en mars-avril, puis surtout octobre-novembre.
Dix données du 28 janvier au 22 octobre.
12 le 28 janvier.[PR]
5 le 4 avril.[SCo, IG, SK, DT]
3 le 5 avril.[DT]
6 le 6 avril.[DT]
1 sr place [Pra] et 15 en migration le 7 octobre.[IG, AL]
1 le 19 octobre.[RZ]
Au moins 39 le 22 octobre en migration.[IG, AL]
Linotte mélodieuse Linaria cannabina M
Migratrice assez commune notée lors de son passage au printemps et en automne.
Migration en février-avril, puis de la mi-septembre au début novembre.
Plus évidente au printemps qu’en automne cette année.
9 données du 4 avril au 22 octobre (en migration).
5 données en avril : les 4 (au moins sept), 5 (quinze), 6 (au moins deux), 7 (six) et 8 (au moins deux).[toutes données DT et al.]
4 données en octobre : les 4 (sept), 14 (trois), 15 (douze) et 22 octobre.[toutes données IG, AL].
Bouvreuil pivoine Pyrrhula pyrrhula S
Résident discret. En déclin au parc et moins observé que les années précédentes. Il n’est pas certain qu’il niche encore au parc.
Trois données seulement, d’un individu chaque fois, les 20 février, 3 mars et 2 décembre.[PR]
Gros-bec casse-noyaux Coccothraustes coccothraustes H M
Hivernant et migrateur peu commun.
Quatre données seulement.
4 le 11 février.[DT]
Au moins un le 13 février.[DT]
1 le 1er avril.[SC]
1 le 4 avril, en migration, mais se pose brièvement près de la Mare perchée, avant de reprendre sa route.[SCo, IG, SK, DT]
Bruant ortolan Emberiza hortulana M
Enregistré en migration nocturne une fois en automne, le 6 septembre.
Passereaux indéterminés en migration
Le comptage des passereaux indéterminés a de l’importance dans l’évaluation quantitative des flux migratoires dont ils représentent parfois une proportion significative. Ils sont essentiellement mentionnés dans la base de donnée Trecktellen. Son dépouillement ne se fera que progressivement.
Printemps :
Automne
Pierre Rousset
Références
Stéphane Chambris, Les oiseaux de Seine-Saint-Denis (deuxième édition augmentée) :
https://www.lpo-idf.fr/site/_fichiers/pages/oiseaux_de_seine_st_denis_ed2.pdf
Pierre Le Maréchal, David Laloi, Guillaume Lesaffre, Les oiseaux d’Ile-de-France. Nidification, migration, hivernage Delachaux et Niestlé, Corif, Paris 2013.
LPO, Faune-Ile de France (site) :
https://www.faune-iledefrance.org
Frédéric Malher, Oiseaux nicheurs de Paris, Delachaux et Niestlé, Corif, Paris 2010.
David Thorns, Les oiseaux du parc des Beaumonts, publié à compte d’auteur.
— Site Internet : « Birding Beaumonts » en anglais et en français. Skutchia
https://www.skutchia.com
Liste des oiseaux des Beaumonts et leur statut (novembre 2020, à mettre à jour) :
https://www.europe-solidaire.org/spip.php?article5414