Europe Solidaire Sans Frontières
, par ROUGET Antton
Mehdi, Abdelkarim, Jalil, Virgil, Nathaniel ont tous perdu un œil. Hedi a la tête fracassée. Aimène est dans le coma. Mohamed est mort. Un mois après le décès de Nahel, Mediapart dresse un premier bilan provisoire d’une vague impressionnante de violences policières.
Mesurera-t-on un jour (…)
, par HOURDEAUX Jérôme
Au moment de l’adoption, sous pression des policiers, de la loi de 2017 modifiant les conditions d’usage des armes à feu par les forces de l’ordre, la Commission nationale consultative des droits de l’homme, le Défenseur des droits et la société civile avaient alerté sur l’inévitable explosion (…)
, par ROCHER Paul
Un énième cas de violences policières mortelles secoue le pays. Dans pareille situation, les autorités préfèrent habituellement contester la véracité des faits. Cette fois, une vidéo montrant les circonstances de la mort de Nahel et la révolte qu’elle a entrainée ne pouvaient être ignorées. Se (…)
, par NPA / NPA l’Anticapitaliste
Deux jours après la mort du jeune Nahel, tué par un policier lors d’un contrôle routier à Nanterre, la colère est là, et elle s’exprime.
Colère face à un énième crime raciste commis par la police, qui a heureusement été filmé, sans quoi les mensonges des policiers se seraient, une fois de (…)
, par Association des Ami.e.s de Maurice Rajsfus
Nahel n’est pas la victime d’un « refus d’obtempérer » mais bien celle d’une police sûre de son bon droit et agissant sur des réflexes racistes et néocoloniaux qui ne font aucun doute et, par-là même, très « explicables », n’en déplaise aux autorités et au locataire de l’Élysée qui nient en (…)
, par Les ami·es des Soulèvements de la Terre
Mardi matin, un policier a assassiné froidement à bout portant Nahel, jeune livreur de 17 ans. Ce nouveau crime policier flagrant n’est pas une « bavure », une « dérive ». Il est symptomatique d’un ordre étatique raciste fondé sur la violence contre les personnes racisées et tous les corps jugés (…)
, par PEPS
Le meurtre de Nahel, 17 ans, mardi dernier à Nanterre, tué à bout portant d’une balle dans la poitrine lors d’un contrôle routier est la victime de trop. PEPS apporte tout son soutien à la famille face à ce drame et à cette injustice.
Alors que les morts de la police s’égrènent au fil des (…)
, par SALINGUE Julien
Une semaine après le scandale des violences policières au Stade de France, c’est un crime policier qui a eu lieu dans le 18e arrondissement de Paris avec la mort de la passagère d’une voiture prise pour cible par des flics. Il est temps d’en finir avec les violences et l’impunité de la police. (…)
, par DEJEAN Mathieu
Après la marche pour l’égalité organisée à Paris samedi 12 février, le Comité Adama veut continuer à faire entendre sa voix à l’approche de la présidentielle. Nous avons interrogé ses protagonistes sur leur positionnement.
Une vague d’indignation parcourt la foule. Au micro, du haut du camion, (…)
, par GUEYE Awa
Entretien. Nous avons rencontré Awa Gueye, quelques jours avant le rassemblement du 5 décembre à Rennes, cinq ans après l’assassinat de son frère Babacar par la police à Rennes.
Awa Gueye
Sidonie et Vincent – Que s’est-il passé il y a 5 ans ?
Awa Gueye – Dans la nuit du 2 au 3 décembre (…)
, par PASCARIELLO Pascale
Les agissements de la police ont enfin été mis sous le feu des projecteurs depuis deux ans. Dans un courriel de mars 2019, que Mediapart publie, la police des polices reconnaît elle-même l’importance des enregistrements vidéo pour alerter et élucider les affaires.
Interpellé par les forces de (…)
, par PASCARIELLO Pascale
Menotté et plaqué au sol sur le ventre par au moins trois policiers, Cédric Chouviat, 42 ans, avait crié à sept reprises « j’étouffe » avant de succomber, selon les derniers éléments de l’enquête auxquels nous avons eu accès.
Cette phrase, Cédric Chouviat l’a répétée sept fois, le 3 janvier, (…)
, par VACHETTA Roseline
Il n’y a pas ou très peu de réelles « bavures » policières, mais un système de violence ordinaire dans lequel la police utilise largement le champ immense qui lui est ouvert.
Le droit d’un État qui organise la domination et la reproduction de la classe des possédants sur le reste de la (…)
, par BOUTROS Magda , ISRAEL Liora
Loin de n’être qu’un écho aux mobilisations américaines consécutives au meurtre de George Floyd, les manifestations contre les violences policières racistes qui ont réuni dans toute la France en juin des milliers de personnes s’inscrivent dans un mouvement qui a vu, depuis une quinzaine (…)
, par POLLONI Camille
En décembre dernier, un policier dénonçait ses collègues après avoir découvert qu’ils échangeaient des messages racistes, antisémites, sexistes et homophobes dans un groupe WhatsApp privé. Cinq mois plus tard, ils sont toujours en poste.
« Le racisme n’a pas sa place dans la police (…)
, par OULKHOUIR Latifa, VACHETTA Roseline
À Bondy, dans la nuit du 25 au 26 mai, Gabriel Djordjevic est interpellé par des policiers après avoir tenté, semble-t-il, de voler un scooter avec un autre jeune. En voyant arriver la police, ils fuient chacun de leur côté. Pour cela il sera tabassé.
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Du quartier aux urgences (…)
, par BOUAMAMA Saïd
Une déclaration de la chanteuse Camélia Jordana sur les violences policières a provoqué un nouvel accès de fièvre idéologique sur la scène politique et médiatique française. Elle n’a pourtant fait que mettre des mots sur une réalité : ces violences sont logiques et prévisibles. Rendre visible (…)
, par PASCARIELLO Pascale
Mediapart s’est procuré plusieurs notes de la gendarmerie nationale et de CRS qui questionnent la légalité des ordres donnés par le préfet de police de Paris : « Des pratiques contraires à la législation ainsi qu’à la réglementation » et « des emplois disproportionnés de la force ».
Bien que (…)
, par SALINGUE Julien
« Pour nous, ça ne change rien puisque la GLI est remplacée par la GM2L » : c’est ainsi qu’a réagi un CRS, cité par l’AFP, suite à l’annonce par Christophe Castaner du retrait « immédiat » des grenades GLI-F4. Voilà qui confirme sans ambiguïté, pour ceux qui en doutaient, que la décision du (…)
, par ROCHE Sebastian
Du fait de la banalisation des violences policières, l’érosion de la confiance envers la police – que connaissait déjà la banlieue – s’étend désormais à une grande part du pays, constate le sociologue Sebastian Roché dans une tribune au « Monde »
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Le 12 janvier 2019 à Bordeaux, un (…)
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