Introduction
Le site d’observation « Molière » est situé au cœur de Montreuil (Seine-Saint Denis) [1], rue Molière (d’où son nom), entre l’avenue du Président Wilson et la rue Clothilde Gaillard. Un appartement situé au quatrième étage (ce n’est pas très haut) et doté de deux balcons donnant l’un au sud, l’autre au nord.
Merci pour leurs commentaires et aide à Frédéric Malher, Stéphane Chambris et David Thorns.
Sources des données utilisées
Mes observations personnelles constituent la première et principale source de données (les données sans autre mention d’auteur.e sont miennes). Elles ont pour la plupart été réalisées de mes balcons — le nord étant privilégié lors de la migration de départ (automne), le sud lors de la migration de retour (printemps) ; sinon à l’occasion de déplacements dans la commune. Le balcon sud surplombe le petit jardin de mon immeuble, ainsi que celui des voisins [2].
Toutes mes données sont disponibles sur le site Internet Faune-Ile de France [3] et, pour ce qui est des migrations, sur le site Internet européen géré aux Pays-Bas, Trektellen [4] (c’est le seul qui soit conçu pour suivre les migrations à l’échelle européenne, et un peu au-delà).
La seconde source provient du site Internet Faune-Ile de France que David Thorns et moi-même alimentons régulièrement - une base majeure de données (en particulier dans le domaine ornithologique), cependant les données fournies notamment via le suivi des jardins n’ont pas encore été suffisament exploitées [5].
D’autres sources sont susceptibles d’être utilisées à l’avenir.
Zones concernées
Pour ce qui est des oiseaux en vol, tout ce qui peut être vu et identifié est pris en compte. Cela peut être loin.
Pour ce qui est des oiseaux posés, la zone géographique retenue s’étend au sud jusqu’à la frontière de Vincennes, s’arrête à l’est là où commence le « territoire » des Beaumonts (le parc et ses environs immédiats), englobe au nord la Mairie et à l’ouest la Croix-de-Chavaux. Une cartographie assez flexible (vers Robespierre notamment) et qui ne dépend pas des limites administratives (on mord sur Vincennes, même si l’on exclut le bois qui, par ailleurs, est sous gestion parisienne).
Le quartier « Montreuil centre » ainsi défini comprend deux tours et un grand ensemble (qui me bouchent la vue), des immeubles d’appartements de toutes tailles et un riche tissu « pavillonnaire » avec de nombreux jardins privés. Il est placé sous l’influence de deux importants espaces verts : le parc des Beaumonts et le bois de Vincennes.
Période concernée
En ce qui concerne mes données, les premières commencent dans les années 1980s et, surtout, à partir de 1993. Concernant les migrations, ce n’est qu’à l’automne 2011 qu’un suivi, toujours irrégulier, mais un peu systématique a commencé. Ce suivi est devenu progressivement plus régulier.
Les migrations
En quantité, les données migratoires sont très petites, compte tenu d’un champ de visibilité « tronqué » par les immeubles environnants (et du fait des limites intrinsèques de l’unique observateur), mais la diversité des espèces identifiées reste intéressante. Par comparaison, voir sur Trektellen le relevé des espèces, beaucoup plus consistant, notées du parc des Beaumonts situé à environ 1 km de mon appartement [6]. Pour les migrateurs en particulier, les informations concernant l’abondance estimées du parc sont beaucoup plus utiles que celles fournies ci-dessous. Un exemple : une seule donnée du chevalier cul-blanc de mes balcons, alors qu’il est en fait le limicole (petit échassier) le plus fréquent.
Par ailleurs, il ne faut jamais oublier que ce qui est noté, c’est avant tout la présence des observateur.es. Un exemple : le 29 septembre 2013, 41 buses variables ont été vues en comptant (sans doublon) les données faites des Beaumonts et de mon balcon, dont un groupe de 18 individus (voir photo ci-dessous). Une journée exceptionnelle ! Si nous n’avions pas été à nos postes d’observation ce jour-ci, toute la physionnomie de la migration d’automne de cette espèce serait apparue différente.
Note sur les données dites migratoires : Il n’est pas toujours possible d’être certain que des oiseaux comptés étaient effectivement en migration active. Il est même possible que certaines espèces n’aient jamais été observées en migration, mais seulement en survols régionaux (canard colvert...) ; on les a quand même introduites dans la liste systématique.
Deux fois plus d’espèces ont été déterminées aux Beaumonts [7]. Toutes les espèces listées ici ont été aussi observées du parc des Beaumonts, voisin, sauf le héron garde-bœufs, le vautour fauve et la mouette pygmée.
L’espace aérien couvert par mes balcons est englobé dans celui des Beaumonts. Les observations de rapaces, cigognes, etc., peuvent se recouper. Cependant, la plupart des passereaux identifiés dans un site ne sont pas visibles ou identifiables de l’autre ni les oiseaux volant bas. Des temps d’observation ont lieu de mon appartement à des moments où aucun.es observateur.es n’est présent.e au parc. C’est notamment ce qui fait l’intérêt des microsites et explique que des raretés puissent y être parfois identifiées sans avoir été notées par le « grand frère » beaumontois.
Récapitulatifs
Le tableau général est assez rébarbatif à étudier. Des données récapitulatives concernant, par exemple les migrants rares ou les nicheurs locaux ont été et seront ajoutées.
Des notes sont aussi introduites, présentant une courte synthèse d’espèces d’intérêt particulier.
Présentation de la liste générale
L’ordre systématique des espèces est conforme à la Liste des oiseaux de France (LOF) publiée par la Comission de l’avifaune française (CAF) [8]. Il est assez déroutant pour qui était habitué à l’ancienne classification, très différente (les rapaces, par exemple, ne sont plus regroupés, les faucons étant reportés loin des autres).
Les symboles suivants sont utilisés dans le tableau ci-dessous.
Toutes colonnes
I : irrégulier.
P : en petit nombre.
R : rare.
Colonnes I & 2
Le nom français est donné en premier, suivi du nom latin.
Pour les noms français, les synonymes sont indiqués quand ils sont (ou ont été) d’usage courant.
Colonnes 3 (statut régional)
La troisième colonne concerne le statut régional de chaque espèce : sédentaire (S), estivante (E), migrante (M), hivernante (H). De nombreuses espèces combinent plusieurs statuts saisonniers. Cette présentation est un peu simplifiée : les hivernants rares ne sont pas mentionnés, ne concernant pas mes balcons ! [9]. La parution prochaine d’un nouvel atlas des oiseaux nicheurs dans le Grand Paris (incluant donc la banlieue) permettra de préciser le statut de nombreuses espèces [10].
E : « Estivant », migrateur présent dans la région au printemps et en été (nicheur).
F : « Féral ». Ce terme désigne une espèce issue de captivité ou introduite, mais qui se reproduit en liberté et a formé une population capable de se maintenir sans nouvel apport artificiel. Il est ici utilisé dans un sens plus général. Il désigne une espèce « exotique » qui, parfois au moins, niche en liberté. Un individu donné peut donc provenir de captivité ou être né en liberté.
H : « Hivernant », migrateur visible en automne et en hiver (non nicheur).
Inc : Inconu.
M : « Migrateur », observé lors des migrations d’automne et de printemps ou bien lors de déplacements erratiques. Le nom des saisons prend ici un sens un peu différent de celui du langage courant. Suivant les espèces, la migration d’automne peut en effet commencer dès août (voire en juillet) et la migration de printemps (le retour des quartiers d’hiver) dès février.
S : « Sédentaire », présent toute l’année (la population nicheuse locale pouvant être renouvelée ou augmentée de migrateurs et hivernants).
Une espèce peut évidemment combiner plusieurs statuts.
Colonne 4
La quatrième colonne vise à mieux cerner le statut local. Pour le préciser, des symboles détaillent dans quelles conditions les espèces sont observées :
• Est observée exclusivement (V) ou presque exclusivement (Vp) en vol.
• Non nicheur observé posé / perché (Po) et pas seulement en vol en hiver et lors des migrations.
• Se reproduit à Montreuil dans la zone géographique retenue (N) ou aux environs (Ne). La nidification sur place peut être irrégulière (Ni), possible / probable (N ?) ou rare (Nr). Les « environs » comprennent notamment le parc des Beaumonts et le bois de Vincennes d’où peuvent provenir des espèces en vol local visibles de mes balcons. Ils peuvent être étendus au-delà pour expliquer l’apparition plus ou moins régulière d’une espèce (exemple : le faucon pèlerin).
Colonne 5
La cinquième colonne fournit une estimation de l’abondance.
A : « Abondant » (relativement nombreux).
C : « Commun », ce qui ne veut pas dire nombreux (voir l’exemple du faucon crécerelle).
I : « Irrégulier ». La présence de l’espèce est très variable selon les années, au moins en ce qui concerne l’un de ses principaux statuts (celui d’estivant nicheur, par exemple).
P : « Peu commun » ou « Petit nombre ». Concerne des espèces que l’on voit normalement chaque année (dans la mesure où des observateurs sont présents aux dates favorables) mais en petit nombre (généralement moins de 10 par an, compte non tenu d’éventuels passages exceptionnellement nombreux).
R : « Rare ». L’espèce n’est pas observée tous les ans et généralement en très petit nombre.
O : « Occasionnelle ». N’est observé que de façon exceptionnelle.
Ech : Echapée
Note : la fréquence est ici mesurée en « données » (observations), ce qui est différent du nombre d’individus. Par exemple, une donnée peut concerner le passage solitaire d’une grande aigrette aussi bien qu’un vol d’une centaine de vanneaux huppés.
Liste des espèces observées
Nom français | Nom latin | Stat Reg | Stat local | Abon |
---|---|---|---|---|
Cygne tuberculé | Cygnus olor | S H | V - Ne | P |
Oie cendrée | Anser anser | M | V | R |
Bernache du Canada | Branta canadensis | S | V - Ne | P |
Ouette d’Egypte | Alopochen aegyptiaca | F | V | O |
Sarcelle d’hiver | Anas crecca | M H | V | O |
Canard colvert | Anas platyrhynchos | S M H | V | P |
Canard pilet | Anas acuta | M Rr | V | O |
Grand cormoran | Phalacrocorax carbo | S M H | V | C |
Aigrette garzette | Egretta garzetta | M H | V | O |
Grande Aigrette | Casmerodius albus | M H | V | R |
Héron garde-bœufs | Bubulcus ibis | M | V | O |
Héron cendré | Ardea cinerea | S M H | V | P |
Héron pourpré | Ardea purpurea | M Rr | V | O |
Cigogne noire | Ciconia negra | M Rr | V | O |
Cigogne blanche | Ciconia ciconia | M | V | P |
Bondrée apivore | Pernis apivorus | E M | V | I |
Milan noir | Milvus migrans | E M | V | P |
Milan royal | Milvus milvus | M Rr | V | R |
Vautour fauve | Gyps fulvus | O | V | O |
Busard des roseaux | Circus aeruginosus | M | V | I |
Busard Saint-Martin | Circus cyaenus | E M | V | R |
Busard cendré | Circus pygargus | M Rr | V | O |
Epervier d’Europe | Accipiter nisus | S M H | V - Ne | C |
Buse variable | Buteo buteo | S M H | V - Ne | P |
Balbuzard pêcheur | Pandion haliaetus | M | V | P |
Grue cendrée | Grus grus | M Rr | V | O |
Pluvier doré | Pluvialis apricaria | M H | V | I |
Vanneau huppé | Vanellus vanellus | M H | V | I |
Courlis corlieu | Numenius phaeopus | M Rr | V | O |
Barge à queue noire | Limosa limosa | M | V | O |
Chevalier culblanc | Tringa ochropus | M | V | O |
Chevalier gambette | Tringa totanus | M | V | O |
Bécasse des bois | Scolopax rusticola | S M H | V | O |
Sterne pierregarin | Sterna hirundo | E M | V | O |
Mouette rieuse | Chroicocephalus ridibundus | S M H | Vp | A |
Mouette pygmée | Hydrocoloeus minutus | E M Rr | V | O |
Mouette mélanocéphale | Larus melanocephalus | E M Rr | V | O |
Goéland cendré | Larus canus | M H | V | R |
Goéland brun | Larus fuscus | M H | V - Ne | P |
Goéland argenté | Larus argentatus | S M H | V - Ne | P |
Goéland leucophée | Larus michahellis | M H | V - Ne | P |
Pigeon biset « des villes » | Columba livia | S | N | A |
Pigeon colombin | Columba oenas | S M H | V - N | C |
Pigeon ramier | Columba palumbus | S M H | V - N | A |
Tourterelle turque | Streptopelia decaocto | S M | N | C |
Tourterelle des bois | Streptopelia turtur | S M | V | O |
Chouette hulotte | Strix aluco | S | N ? | R |
Martinet noir | Apus apus | E M | V - N | A |
Pic vert | Picus viridis | S | N | C |
Pic épeiche | Dendrocopos major | S | N | C |
Pic épeichette | Dendrocopos minor | S | N ? | O |
Faucon crécerelle | Falco tinnunculus | S M H | N | C |
Faucon émerillon | Falco columbarius | M | V | O |
Faucon hobereau | Falco subbuteo | E M | V - Ne | I |
Faucon pèlerin | Falco peregrinus | S M Rr | V - Ne | P |
Perruche ondulée | Melopsittacus undulatus | F | Ech | O |
Perruche à collier | Psittacula krameri | S - F | Ne | A |
Pie bavarde | Pica pica | S | N | A |
Geai des chênes | Garrulus glandarius | S M | N | C |
Choucas des tours | Corvus monedula | S M H | V - Nr ? | I |
Corbeau freux | Corvus frugilegus | S M H | V | I |
Corneille noire | Corvus corone | S M | N | A |
Roitelet huppé | Regulus regulus | S M H | N ? | P |
Mésange bleue | Cyanistes caeruleus | S M H | N | A |
Mésange charbonnière | Parus major | S M H | N | A |
Mésange huppée | Lophophanes cristatus | S | N ? | P |
Mésange nonnette | Poecile palustris | S | Ne | R |
Alouette lulu | Lullula arborea | S M | V | I |
Alouette des champs | Alauda arvensis | S M H | V | I |
Hirondelle de rivage | Riparia riparia | E M | V | P |
Hirondelle rustique (de cheminée) | Hirundo rustica | E M | V - N ? | C |
Hirondelle de fenêtre | Delichon urbicum | E M | V - N | P |
Mésange à longue queue | Aegithalos caudatus | S | N | P |
Pouillot véloce | Phylloscopus collybita | E M Hr | N ? | P |
Pouillot fitis | Phylloscopus trochilus | E M | M - Nr ? | R |
Fauvette à tête noire | Sylvia atricapilla | M E Hr | N | A |
Fauvette des jardins | Sylvia borin | E M | Ne | R |
Fauvette grisette | Sylvia communis | E M | Ne | R |
Sittelle torchepot | Sitta europaea | S | N | P |
Grimpereau des jardins | Certhia brachydactyla | S | N | C |
Troglodyte mignon | Troglodytes troglodytes | S M H | N | A |
Etourneau sansonnet | Sturnus vulgaris | S M | N | A |
Merle à plastron | Turdus torquatus | M | V | R |
Merle noir | Turdus merula | S M H | N | A |
Grive litorne | Turdus pilaris | M H | Vp - Hi | I |
Grive musicienne | Turdus philomelos | S M H | N | A |
Grive mauvis | Turdus iliacus | M H | Vp | I |
Grive draine | Turdus viscivorus | S M H | N | C |
Gobemouche gris | Muscicapa striata | E M | Vp | R |
Rougegorge familier | Erithacus rubecula | S M H | N | A |
Gobemouche noir | Ficedula hypoleuca | E M | Vp | R |
Rougequeue noir | Phoenicurus ochruros | E M | N | C |
Rougequeue à front blanc | Phoenicurus phoenicurus | E M | Vp - Ne | R |
Tarier pâtre (Traquet pâtre) | Saxicola torquata | E M | Vp | R |
Traquet motteux | Oenanthe oenanthe | M | Vp | R |
Accenteur mouchet | Prunella modularis | S M H | N | C |
Moineau domestique | Passer domesticus | S | N | C |
Bergeronnette printanière | Motacilla flava | E M | Vp | I |
Bergeronnette des ruisseaux | Motacilla cinerea | S M H | V - Nr | P |
Bergeronnette grise | Motacilla alba | S M H | Vp — N ? | C |
Pipit des arbres | Anthus trivialis | E M | V | I |
Pipit farlouse (des prés) | Anthus pratensis | E M H | V | A |
Pinson du Nord | Fringilla montifringilla | M H | Vp | I |
Pinson des arbres | Fringilla coelebs | S M H | V - N | A |
Grosbec cassenoyau | Coccothraustes coccothraustes | S M H | V - Hr | R |
Bouvreuil pivoine | Pyrrhula pyrrhula | S M | Ne | R |
Verdier d’Europe | Carduelis chloris | S M | V - N | A |
Linotte mélodieuse | Carduelis cannabina | S M H | V | I |
Chardonneret élégant | Carduelis carduelis | S M H | V - N | C |
Serin cini | Serinus serinus | E M H | V - N | P |
Tarin des aulnes | Carduelis spinus | M H | Po - V | I |
Bruant jaune | Emberiza citrinella | S M | V | R |
Bruant des roseaux | Emberiza schoeniclus | M Hi | V | I |
Total : 113 espèces recensées (environ 200 pour le parc des Beaumonts), toutes catégories confondues.
Espèces nicheuses
Légende du tableau :
Statut : S (sédentaire (S) ou estivant (E)
Régularité :
Niche tous les ans T, irrégulièrement I, rarement (R.
A niché de façon certaine dans le passé, mais cela reste à confirmer aujourd’hui H.
Nidification incertaine à confirmer (N ?)
Abondance : A (abondant) C (commun) P (peu nombreux)
Pigeon biset « des villes » | Columba livia | S | T | A |
Pigeon colombin | Columba oenas | S | T | C |
Pigeon ramier | Columba palumbus | S | T | A |
Tourterelle turque | Streptopelia decaocto | S | T | C |
Martinet noir | Apus apus | E | T | A |
Pic vert | Picus viridis | S | T | C |
Pic épeiche | Dendrocopos major | S | N ? | C |
Faucon crécerelle | Falco tinnunculus | S | T | C |
Perruche à collier | Psittacula krameri | S | N ? | A |
Pie bavarde | Pica pica | S | T | A |
Geai des chênes | Garrulus glandarius | S | T | C |
Corneille noire | Corvus corone | S | T | C |
Roitelet huppé | Regulus regulus | S | N ? | P |
Mésange bleue | Cyanistes caeruleus | S | T | A |
Mésange charbonnière | Parus major | S | T | A |
Hirondelle rustique (de cheminée) | Hirundo rustica | E | N ? | C |
Hirondelle de fenêtre | Delichon urbicum | E | H | P |
Mésange à longue queue | Aegithalos caudatus | S | T | P |
Pouillot véloce | Phylloscopus collybita | E | N ? | P |
Pouillot fitis | Phylloscopus trochilus | E | N ? | R |
Fauvette à tête noire | Sylvia atricapilla | E | T | A |
Sittelle torchepot | Sitta europaea | S | N ? | P |
Grimpereau des jardins | Certhia brachydactyla | S | T | C |
Troglodyte mignon | Troglodytes troglodytes | S | T | A |
Etourneau sansonnet | Sturnus vulgaris | S | T | A |
Merle noir | Turdus merula | S | T | A |
Grive musicienne | Turdus philomelos | S | T | P |
Grive draine | Turdus viscivorus | S | T | P |
Rougegorge familier | Erithacus rubecula | S | T | A |
Rougequeue noir | Phoenicurus ochruros | E | T | A |
Accenteur mouchet | Prunella modularis | S | T | C |
Moineau domestique | Passer domesticus | S | T | C |
Bergeronnette des ruisseaux | Motacilla cinerea | S | R | P |
Pinson des arbres | Fringilla coelebs | S | T | C |
Verdier d’Europe | Carduelis chloris | S | T | C |
Chardonneret élégant | Carduelis carduelis | S | N ? | P |
Serin cini | Serinus serinus | E | I | P |
Total : ≤37 espèces
Notes sur les espèces nicheuses
[Partie qui reste à développer.]
Les goélands
En milieu urbain, les goélands nichent sur les toits. A notre connaissance, ce n’est pas le cas dans notre secteur d’étude. Ils le font, en revanche non loin : à Saint-Mandé, sur le bord du périphérique et sans doute ailleurs (au zoo de Vincennes ?). Cela explique la fréquence avec laquelle on les observe en vol local, notamment de mes balcons !
Trois espèces de goélands sont ici concernés : les Goéland brun (Larus fuscus), Goéland argenté (Larus argentatus) et Goéland leucophée (Larus michahellis). D’autres ne sont observées qu’en migration ou survols régionaux.
Martinet noir Apus apus
Nidification pour l’heure confirmée en trois endroits.
A niché en nombre sur l’immeuble contigu (notamment sous la gouttière) avant le ravalement consécutif à la tempête de 1999 qui a dû réduire considérablement les cavités favorables. Des anfractuosités des murs de briques ont cependant été visitées et peut-être utilisées depuis, sans que la nidification ait été confirmée.
Martinet noir, mur visité durant la période de nidification (gros plan), balcon, 6 juin 2015. Cliché Pierre Rousset.
L’un des emplacements prospectés sur un mur de briques devant mon balcon (l’anfractuosité à droite, pas la cavité carrée). Jusqu’à cinq anfractuosités ont occupées à diverses reprises en mai 2020 sur ce mur de brique, mais sans que cela débouche sur une nidification. Il s’agit probablement d’immatures qui prospectent en cette saison des sites qu’ils utiliseront peut-être les années suivantes.
• Nidification en 2018 et 2019 sous une gouttière de la façade de l’immeuble au du 47 rue Michelet. Au moins sept (2018) ou trois (2019) nids. Obs en 2019 les 26 juin et 6 juillet ; en 2018 les 5, 7 et 8 juillet (Emeline Oudin).
• En 2019 (et avant), un bâtiment de la cité Jean Moulin, situé en face du parc des Beaumonts, a été a accueilli une petite colonie d’oiseaux (un minimum de huit nids actifs estimé le 6 juillet). Bien que la colonie semble avoir quitté cette zone le 13 août, au moins un nid est resté actif plus longtemps – les cris ont été entendus à l’aube et des oiseaux observés (soit quittant ou volant tout près du bâtiment), les 17 et 21 août 2019 (date tardive).
Hirondelle de fenêtre Delichon urbicum
L’espèce a été observée à plusieurs reprises nichant dans le secteur du Bas-Montreuil en 1993-1998, présente dans le secteur en avril- juin 2013 (Jean-Michel Enard) :
• les 25 juin 1993 et 28 juin 1994 au carrefour Robespierre/Barra/P. Eluard ;
• à nouveau à trois reprises du 19 juillet au 15 août 1994 (rue Bara) ;
• à six reprises du 19 au 30 juin 1995 (rue Bara) ;
• le 20 mai 1996 (rue Bara) ;
• le 28 mai 1998 (142 rue de Paris) ;
• le 18 mai 2014, au moins deux nids (28, rue Raspail) (Ludovic Goubier).
Aux alentours :
• Une colonie d’hirondelle de fenêtre était par ailleurs établie en bordure est du parc des Beaumonts, jusqu’à ce que l’immeuble qui l’abritait soit démoli.
Mésange à longue queue Aegithalos caudatus
Niche en général dans des milieux arbustifs ou de grands jardins avec des secteurs propices (fouillis).
Voir ci-dessous la photo de la mésange à longue queue portant des duvets pour le nid (16 mars 2018).
Pouillot fitis Phylloscopus trochilus
Six données : quatre de mon fait concernant le petit jardin en dessous de mon balcon, une fournie par des membres de la LPO-IdF concernant le square Papa Poule (proche), une autre d’un jardin local. Dans deux cas, il s’agissait d’un mâle chanteur, les 29 mai 2001 et 27 avril 2018. Avril est le pic du passage des migrateurs, qui chantent lors des haltes, mais la date du 29 mai notamment pose la question d’une nidification possible
Roitelet huppé Regulus regulus
Quelques rares données aux Beaumonts en mai et juin laisse penser à une possible nidification aux alentours.
Etourneau Sturnus vulgaris
L’étourneau niche surtout dans les cavités d’arbres morts et les bosquets, mais à l’occasion aussi sur des murs. De mes balcons, l’observation de la nidification sur les arbres est impossible, en revanche divers emplacements ont été relevés sur les immeubles : anfractuosité, cavité laissée par une brique disjointe sur une façade, conduit d’aération, sous une gouttière... Une bonne partie des ces ouvertures sont aussi susceptible de convenir aux martinets noirs.
Etourneau, balcon, une anfractuosité qui abrite un nid, 4 avril 2020. Cliché Pierre Rousset.
Etourneau, balcon, une « cavité » murale abritant un nid, 6 mai 2014. Cliché Pierre Rousset.
Rougequeue noir Phoenicurus ochruros
Il peut nicher en ville dans des endroits surprenants, mais le plus souvent sur des bâtiments : cavités dans les murs, sous les mansardes...
Cet emplacement a été utilsé plusieurs fois avant que les planches ne soient enlevées.
Rougequeue noir, balcon, le nid est situé sur les planches disjointes sous l’avant-toit, 10 mai 2016. Cliché Pierre Rousset.
On devine deux jeunes (au moins) à l’orée de la cavité.
Rougequeue noir, balcon, nid dans un conduit d’aération, 28 avril 2015. Cliché Pierre Rousset.
Espèces rares ou rarement observées
Les espèces rarement observées ne sont pas nécessairement rares : elles peuvent passer inaperçues car, discrètes, les endroit où elles se trouvent ne sont pas prospectées.
Ouette d’Egypte Alopochen aegyptiaca
Une seule donnée personnelle, le 27 avril 1998, en vol N, passant au-dessus de la rue de Paris.
Canard pilet Anas acuta
Six données personnnelles (sur quatre années). Du fait de sa silhouette et du plumage du mâle, ce canard est plus facile à identifier en vol par rapport au Colvert (le seul commun ici) que d’autres, comme le Chipeau.
Les 7 mai 2014 (une femelle), 20 avril 2016 (quatre), 2 avril 2018 (un), 23 février 2019 (deux mâles), 4 avril 2019 (cinq).
Héron garde-bœufs Bubulcus ibis
Trois observations personnelles ont été effectuées de mon balcon dans de bonnes conditions (survols proches, bien éclairés) :
• Le 1er septembre 2012 (présente encore une bonne part de son plumage nuptial, vol sud).
• Le 17 mai 2014 (plumage nuptial, vol nord-est, 12 h).
• Le 4 mai 2016 (vol nord, plumage nuptial, 9h50)
Notons aussi que dans notre région :
• François Gasnot a photographié deux garde-bœufs à Saint-Denis / La Courneuve le 12 septembre 2014 (deux autres individus étant observés en vol).
• Bruno Rogez à photographié un garde-bœufs le 1er mai 2016 à Haute-Ile.
Cigogne noire Ciconia negra
Quatre données personnelles : les 23 août 2012 (une, cercle à l’ouest, 14h45), 25 mai 2013 (deux en vol WNW, 19h10), 22 mai 2014 (une, vol N, 13h35), 16 août 2015 (une, vol S, 13h, annoncée du parc des Beaumonts par David Thorns).
Héron pourpré Ardea purpurea
Trois données personnelles (sur deux années) : les 25 avril et 19 mai 2016, le 16 avril 2018.
Milan royal Milvus milvus
Six données personnelles (sur cinq années) : les 30 octobre 2011, 26 septembre et 21 octobre 2012, le 30 octobre 2016, le 23 avril 2018, les 18 et 28 octrobre 2019.
Vautour fauve Gyps fulvus
Une seule donnée personnelle. Un groupe de 7 individus le 16 juin 2014. C’est l’observation la plus inattendue que j’ai faite de mon balcon ! Ils s’élèvent lentement en cerclant jusqu’à mi-hauteur, puis glissent vers le SE. Fort bien vu, malgré brume de pollution. Je balayais le ciel de mes jumelles par acquit de conscience, n’espérant pas grand-chose vu la période et la brume. Comme quoi...
C’est en fait une date classique pour des vautours en IdF où ils sont devenus d’observation quasiment annuelle. C’est en juin que les jeunes de l’année précédente partent en grande vadrouille vers le nord.
Busard cendré Circus pygargus
Une seule donnée personnelle, le 22 mai 2018. Passe à 13h05 en vol N proche (sous une couverture nuageuse basse) presqu’à la verticale de mon balcon.
Courlis corlieu Numenius phaeopus
Deux données personnnelles à un an d’interval, les 12 août 2013 et 26 juillet 2014, dans des conditions similaires : trois observés de mon balcon en vol S, proche et bas, bon éclairage.
Chevalier culblanc Tringa ochropus
Une seule donnée personnelle, le 24 septembre 2018. Pas rare, mais rarement observée ici... Aux Beaumonts, en revanche, c’est le limicole (petit échassier) le plus souvent observé. Il est notamment attiré par les mares du parc.
Chevalier gambette Tringa totanus
Une seule donnée personnelle, le 5 avril 2015 (un vol N assez bas, proche).
Bécasse des bois Scolopax rusticola
Deux observations personelles. Le 2 avril 1996, et le 08h30 du matin (vol bas N, traverse le début de la rue Douy-Delcupe). Le 22 février 2016, de mon balcon : vol bas, WNW, 11h20 (dérangée ?).
Sterne pierregarin Sterna hirundo
Trois données personnelles : les 21 octobre 2012, 8 mai 2015 et 9 septembre 2018.
Mouette pygmée Hydrocoloeus minutus
Une seule observation personnelle le 23 septembre 2017. Vol sud, bas, proche, juste au-dessus des toits.
Mouette mélanocéphale Larus melanocephalus
Cinq observations personnelles en survol. Les 20 avril 2014, 22 avril 2015 et, en 2020, les 5 avril, 12 avril, 24 avril.
Gobemouche gris Muscicapa striata
Deux donnée personnelles, de mon balcon, le 13 mai 2014 et le 6 mai 2020. Dans les deux cas vol bas N ou NE très proche – et fort bien éclairé. A ma connaissance, ne fréquente pas notre quartier.
Rougequeue à front blanc Phoenicurus phoenicurus
• Deux observations personnelles, les 10 avril 2011 et 22 septembre 2017.
• A partir du 16 mai 2020 (mais il pouvait être présent plus tôt), David Thorns a observé un rougequeue à front blanc mâle chantant régulièrement dans le jardin de la bibliothèque (à côté de la Mairie). Photo ci-dessous. A suivre.
A niché jusqu’en 1994 à Paris. Utilise surtout les boisements clairs dans notre région.
Grosbec cassenoyau Coccothraustes coccothraustes
Quatre données personnelles en vol, de mon balcon, soit migratoires en octobre (8 et 9 individus), soit probablement locales (vers les Beaumonts ?) en avril et octobre (un individu chaque).
Bouvreuil pivoine Pyrrhula pyrrhula
Cinq données personnelles (un à trois individus), en vol de mon balcon.
La visibilité des modifications de l’avifaune
Des modifications de l’avifaune régionale peuvent être enregistrées de mon petit poste d’observation, notamment quand des espèces rares deviennent fréquentes. Voir le cas du milan noir ou du goéland brun.
La chute massive des effectifs aussi (alouette des champs...), mais les données quantitatives sont trop aléatoires pour être mesurées d’ici.
Galerie de photos
Grand cormoran Phalacrocorax carbo
Grand cormoran, balcon, 16 avril 2020. Cliché Pierre Rousset.
Grand cormoran, balcon, 9 octobre 2018. Cliché Pierre Rousset.
Cigogne noire Ciconia negra
David Thorns m’a annoncé, du parc des Beaumonts, cette cigogne que j’ai pu suivre de mon balcon. Cette photo a été prise dans des circonstances difficiles. David en a fait de bien meilleure..., mais c’est la seule qui a été vue simultanément des deux points d’observation.
Cigogne noire, parc des Beaumonts, 16 août 2015. Cliché David Thorns.
Cigogne blanche Ciconia ciconia
Cigogne blanche, balcon, 18 août 2020. Cliché Pierre Rousset.
Epervier d’Europe Accipiter nisus
Porte souvent ses proies vers l’est (les Beaumonts ?).
Epervier d’Europe, balcon, portant une proie à la tombée de la nuit, 18 avril 2017. Cliché Pierre Rousset.
Epervier d’Europe, balcon, femelle poursuivant une corneille noire, 17 septembre 2017. Cliché Pierre Rousset.
Parfois observé perché sur un toit voisin (ou plus haut et lointain).
Epervier d’Europe, balcon, 28 mars 2017. Cliché Pierre Rousset.
Buse variable Buteo buteo
Buse variable, balcon, 30 octobre 2016. Cliché Pierre Rousset.
Ce jour exceptionnel 35 buses variables ont été vues des Beaumonts et 29 de mon balcon – soit 41 en tout, en enlevant les doublons –, dont un groupe de 18 individus, photographié ici.
Buses variables, parc des Beaumonts, 29 septembre 2013. Cliché David Thorns.
Grue cendrée Grus grus
Grue cendrée, balcon, 3 mars 2017. Cliché Pierre Rousset.
Mouette mélanocéphale Larus melanocephalus
Deux individus observés simultanément du parc des Beaumonts (d’où elles ont été repérées) et de mon balcon.
Mouette mélanocéphale, parc des Beaumonts, 24 avril 2020. Cliché David Thorns.
Mouette rieuse Chroicocephalus ridibundus
Mouette rieuse, posée, 16 janvier 2019. Cliché Pierre Rousset.
Goéland brun, Larus fuscus
Goéland brun, balcon, probablement premier hiver (seconde année calendaire), 26 avril 2020. Cliché Pierre Rousset.
Pigeon biset « des villes » Columba livia
Pigeon biset « des villes », balcon, 10 avril 2020. Cliché Pierre Rousset.
Pigeon colombin Columba oenas
Pigeon colombin, balcon, 5 avril 2020. Clichés Pierre Rousset.
Pigeon ramier Columba palumbus
Pigeon ramier, adulte, balcon, 6 avril 2020. Clichés Pierre Rousset.
Pigeon ramier, adulte en vol avec un pigeon colombin perché, balcon, 6 avril 2014. Clichés Pierre Rousset.
Tourterelle turque Streptopelia turtur
Tourterelle turque, balcon, 9 mai 2019. Cliché Pierre Rousset.
Tourterelle turque, balcon, 27 avril 2020. Clichés Pierre Rousset.
Martinet noir Apus apus
Martinet noir, balcon, 6 juin 2015. Cliché Pierre Rousset.
Faucon crécerelle Falco tinnunculus
Faucon crécerelle, balcon, 30 septembre 2019. Cliché Pierre Rousset.
Perruche à collier Psittacula krameri
Perchée dans un tulipier de Virgine (Liriodendron tulipifera) dont elle mange, notamment, les fleurs.
Perruche à collier, balcon, 14 octobre 2018. Clichés Pierre Rousset.
Pie bavarde Pica pica
Pie bavarde, balcon, 29 mars 2020. Cliché Pierre Rousset.
Pie bavarde, balcon, juvénile, 6 octobre 2018. Cliché Pierre Rousset.
Geai des chênes Garrulus glandarius
Geai des chênes, balcon, 20 avril 2018. Cliché Pierre Rousset.
Geai des chênes, balcon, 15 mai 2020. Cliché Pierre Rousset.
Choucas des tours Corvus monedula
Choucas des tours, 15 mars 2020. Cliché Pierre Rousset.
Corneille noire Corvus corone
Corneille noire, 25 août 2017. Cliché Pierre Rousset.
Corneille noire, 7 août 2020. Cliché Pierre Rousset.
Mésange bleue Cyanistes caeruleus
Mésange bleue, 15 mars 2020. Cliché Pierre Rousset.
Mésange bleue, 14 juin 2020. Cliché Pierre Rousset.
Mésange charbonnière Parus major
Mésange charbonnière, femelle, 28 avril 2018. Cliché Pierre Rousset.
Mésange à longue queue Aegithalos caudatus
Elle collecte des matériaux pour son nid.
Mésange à longue queue, 16 mars 2018. Clichés Pierre Rousset.
Mésange à longue queue, 19 avril 2020. Cliché Pierre Rousset.
Etourneau Sturnus vulgaris
Etourneau, balcon, 6 octobre 2018. Cliché Pierre Rousset.
Etourneau, balcon, 1er janvier 2015. Cliché Pierre Rousset.
Etourneau, rue Ferrer, 17 mai 2014. Cliché Pierre Rousset.
Merle noir Turdus merula
Merle noir, mâle, balcon, 18 avril 2014. Cliché Pierre Rousset.
Merle noir, jeune, balcon, 14 juillet 2014. Cliché Pierre Rousset.
Rougegorge familier Erithacus rubecula
Rougegorge familier, balcon, 25 octobre 2014. Cliché Pierre Rousset.
Rougequeue noir Phoenicurus ochruros
Rougequeue noir, mâle, balcon, 22 septembre 2017. Cliché Pierre Rousset.
Rougequeue noir, mâle, balcon, 3 avril 2016. Cliché Pierre Rousset.
Rougequeue noir, femelle, balcon, 11 avril 2017. Cliché Pierre Rousset.
Rougequeue noir, jeunes, balcon, 24 mai 2016. Cliché Pierre Rousset.
Rougequeue à front blanc Phoenicurus phoenicurus
Rougeque à front blanc, mâle, jardin de la bibliothèque, 18 mai 2020. Cliché David Thorns.
Moineau domestique Passer domesticus
Moineau domestique, mâle et femelle, balcon, 17 novembre 2019. Cliché Pierre Rousset.
Moineau domestique, mâle, balcon, 27 avril 2020. Cliché Pierre Rousset.
Bergeronnette des ruisseaux Motacilla cinerea
Bergeronnette des ruisseaux, mâle, chante perché sur une antenne, balcon, 3 avril 2020. Cliché Pierre Rousset.
Bergeronnette des ruisseaux, femelle (au-dessus) et mâle (au-dessous), collectent du duvet pour un nid, balcon, 17 mars 2020. Clichés Pierre Rousset.
Pinson des arbres Fringilla coelebs
Pinson des arbres, femelle, balcon, 6 janvier 2018. Cliché Pierre Rousset.
Pinson des arbres, mâle, balcon, 17 février 2018. Cliché Pierre Rousset.