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Europe Solidaire Sans Frontières

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            • Des membres de la LCR et du NPA
            • Edouard Renard
            • Emile Fabrol
            • Emmanuel Terray
            • Enzo Traverso (Fr)
            • Eric Hazan
            • Erim Can
            • Etienne Saunier
            • François Chesnais
            • François Gèze
            • François Sabado
            • Georges Fontenis
            • Gérard Chaouat
            • Gérard Drumont
            • Gérard Martin
            • Gérard Prévost
            • Gérard Quillaud
            • Gilbert Hernot
            • Gilles Cazin
            • Gilles Perrault
            • Gisèle Halimi
            • Guy Debord
            • Hélène Châtelain
            • Henri Leclerc
            • Henri Lefebvre
            • Henri Weber
            • Isaac Johsua
            • Jack Houdet
            • Jacqueline Lorthiois
            • Jacques Berthelot
            • Jacques Gaillot
            • Jacques Giron
            • Jacques Soncin
            • Janette Habel, Jeannette Pienkny
            • Jean Chesneaux
            • Jean Jaurès
            • Jean Marie Canu
            • Jean Puyade
            • Jean-Jacques Rousseau
            • Jean-Marie Muller
            • Jean-Michel Krivine
            • Léonce Aguirre (Daniel Noverraz)
            • Louis Fontaine
            • Louis Joinet
            • Lucien Goldmann
            • Lucien Sève
            • Manouchian (le groupe)
            • Manuel De Jesus
            • Marcel Barang
            • Marcel-Francis Kahn
            • Marcelle Berthaud
            • Marguerite Métayer
            • Marie-France Ordonez-Oriolez
            • Marieme Helie Lucas
            • Maurice Rajsfus
            • Maya Surduts
            • Michael Löwy
            • Michel Dupin
            • Michel Foucault
            • Michel Husson
            • Michel Lequenne
            • Miguel Abensour
            • Mireille Delmas-Marty
            • Olivier Besancenot
            • Patrice Lepesqueur
            • Paul Adam
            • Paul Blanquart
            • Philippe Corcuff
            • Pierre Bourdieu
            • Pierre Brocheux
            • Pierre Frank
            • Pierre Goldman
            • Pierre Granet
            • Pierre Rousset
            • Pierre Salama
            • Pierre Vandevoorde
            • Régine Cazin
            • René Cottrez
            • Robert Cruau
            • Robert Mencherini
            • Roger Mathieu
            • Roland Lew
            • Roland Vacher
            • Sophie Ozanne
            • Suzanne Citron
          • Santé (Gauche radicale, France)
            • Epidémies, pandémies (Gauche radicale, France)
          • Histoire du PCF (France)
        • Capitalisme français, patronat
        • Fascisme, extrême droite, droite extrême (France)
          • Extrême droite (écologie, France)
          • Extrême droite juive (France)
          • Femmes, genres, sexualités (extrême droite)
          • Histoire (extrême droite, France)
          • Jean-Marie Le Pen
        • Agriculture, pêche, rural (France)
        • Andorre
        • Culture (France)
          • Edition, livre (culture, France)
          • France : Culture et conditions de travail
        • Démographie (France)
        • Droits humains, libertés (France)
          • Répression (France)
          • Attentats (France)
          • Epidémies, pandémies (droits humains, France)
          • Handicap, handicapé (droits humains et libertés, France)
          • Justice, droit (France)
            • Syndicat de la magistrature
          • Liberté académique (France)
          • Liberté d’association (France)
          • Liberté de presse, d’expression, de manifester (France)
          • Politiques sécuritaires (France)
            • Police, armes (France)
            • Services secrets (France)
          • Prisons (France)
        • Écologie (France)
          • Ecologie : Parc des Beaumonts (France)
            • Informations, guide (Parc des Beaumonts)
            • Interlocuteurs territoriaux (Parc des Beaumonts)
            • Chroniques beaumontoises
            • Nature : chroniques d’ailleurs
            • Objectifs et conceptions (Parc des Beaumonts)
            • Vagabondages (Parc des Beaumonts)
            • Amphibiens
            • Botanique
              • Botanique : chroniques
              • Botanique : rapports
            • Champignons
              • Champignons : Chroniques
              • Champignons : Rapports
            • Crustacés : chroniques
            • Entomologie
              • Rapports (Entomologie)
                • Rapports d’ailleurs (entomologie)
              • Chroniques (Entomologie)
            • Géographie environnementale (Parc des Beaumonts)
            • Mammifères
            • Mollusques
              • Mollusques : chroniques
              • Mollusques : rapports
            • Ornithologie
              • Ornithologie : chroniques
              • Ornithologie : chroniques d’ailleurs
              • Ornithologie : rapports
            • Reptiles
          • Mouvements (écologie)
          • Orientation gouvernementale (Ecologie, France)
          • Biodiversité (France)
          • Catastrophe naturelle (France)
          • Catastrophes industrielles (France)
          • Chasse, braconnage (France)
          • Climat (France)
            • Climat & taxe carbone (France)
          • Condition animale (France)
          • Eau, cours d’eau (France)
          • Energie (France)
          • Energie nucléaire (France)
          • Grands Projets (France)
          • Lettre de la CNE (LCR, France)
          • Ressources minières (écologie, France)
          • Transports (Ecologie, France)
        • Economie, social, inégalités (France)
          • Inégalités sociales (France)
          • Budget (France)
          • Dette (France)
          • Finance (France)
          • Fiscalité (France)
          • Géographie sociale (France)
          • Industrie (France)
          • Migrants (France, économie)
          • Pauvreté (France)
          • Précarité, crise socio-économique (France)
          • Transports (France)
            • Transports - Automobile
            • Transports - Publics, en commun (France)
            • Transports - SNCF, rail (France)
            • Transports - Vélo (France)
            • Transports aérien (France)
        • Education & jeunesse (France)
          • Analyse, histoire de la jeunesse (France)
          • Epidémies, pandémies (éducation, France)
          • Histoire des luttes de la jeunesse scolarisée (France)
          • Pédagogie : L’école de la soumission
        • Enfance (France)
          • Droit(s) des enfants (France)
          • Epidémies, pandémies (enfant, santé, France)
          • Violences contre les enfants (France)
        • Handicap, handicapé (France)
        • Histoire (France)
          • Histoire & mémoire
            • De Gaulle, Ve République (histoire, France)
            • Front Populaire (1936)
            • Guerres mondiales (Histoire, France)
            • La France de Vichy
            • La France en Algérie (1945-1962)
            • La France et la question coloniale
            • La Révolution française
          • Histoire (Corse)
          • Histoire des luttes populaires (France)
        • Impérialisme français, relations internationales (France)
          • Armement, nucléaire (France)
          • Françafrique / Océan Indien occidental (France)
            • La France et le Rwanda (France)
          • France, MOAN, Méditerranée (France)
            • Palestine, Israël (France, relations internationales)
          • Relations France-AL/Caraïbes (France)
          • Relations France-Asie & Pacifique (France)
          • Transnationales (France)
        • Laïcité et religions (France)
          • Christianisme (France)
          • Enfants victimes (religions, France)
          • Femmes (laïcité, France)
          • Islam / Musulmans (France)
        • LGBT+ (France)
          • LGBT+ (France et autres - tri en cours)
          • LGBT+ (Histoire, France)
        • Logement (France)
        • Luttes & solidarités (France)
          • Coopération & convergence des résistances sociales (France)
          • Vagues d’indignation
          • Associatif (France)
        • Media (France et voisinage)
        • Migrant.es, réfugié.es, diaspora (France)
          • Citoyenneté, droits (Migrant.esn France)
            • Droit et lois (Migrant.es, France)
            • La Cimade
          • Enfant, jeune (Migrant.es, France)
          • Histoire (Migrations, France)
          • LGBT+ (Migrant.es, France)
          • Afghan.es (migrations, France)
          • Africain.es (Migration, France)
          • Chinois.es (Migration, France)
          • Maghrébin.es (Migration, France)
          • Palestien.nes (migrants ; France)
          • Santé (migrants, France)
            • Epidémies, pandémies (santé, Migrant.es, France)
          • Syriens / Syriennes (réfugié.es, France)
          • Tamoul.es (Migration, France)
          • Tchétchènes (migrants, France)
          • Ukraine (migrants, France)
        • Militaire (France)
          • Armes, Armées (France)
        • Nationalité, citoyenneté (France)
        • Outre-Mer (possessions françaises, France)
          • Epidémies, pandémies (santé, Outre-Mer, France)
        • Protection sociale, droits sociaux (France)
          • Chômage, emploi (France)
          • Couverture maladie, sécu (France)
            • Caisse nationale des allocations familiales (CNAF)
          • Droit du travail (France)
          • Retraites (France)
          • Salaire (France)
          • Temps de travail (France)
        • Quartiers populaires (France)
        • Racisme (France)
          • Gauches en France (Racisme, antiracisme)
          • Racisme et police (France)
          • Racisme et syndicalisme (France)
          • Asiatiques (racisme, France)
          • Chrétiens (racisme, France)
          • Juif (racisme, France)
          • Kurdes (racisme, France)
          • Musulmans, Arabes (racisme, France)
          • Noirs (racisme, France)
          • Roms (racisme, France)
          • Tchétchènes (racisme, France)
        • Régimes, partis politiques, idéologies (France)
        • Salariat, travail, syndicats (France)
          • Mutation du travail (France)
            • Plateformes (France)
            • Télétravail (mutations du travail, France)
          • Syndicats (France)
            • Epidémies, pandémies (syndicats, santé, France)
          • Agroalimentaire (France)
          • Commerce (France)
          • Fonction publique (France)
          • Pompiers (France)
          • Poste & communication (France)
          • Recherche (France)
          • Travail, temps de travail, temps libre (France)
          • Ville, urbain (France)
        • Sexualité (France)
        • Sport (France)
          • Femmes (sport, France)
          • Handicap (sport, France)
          • Les JO-JOP 2024 (France)
        • Union européenne (France)
      • Géopolitique européenne (Europe)
      • Quelle Europe ?
      • Union européenne & co. (hors France)
        • Constitution, histoire, crise (UE)
          • Droit européen et droits nationaux (UE)
        • Crise catalane (UE)
        • Femme (UE)
          • Droits reproductifs (Femme, UE)
        • Agriculture & pêche (UE)
          • OGM (UE)
        • Biodiversité (UE)
        • Climat (UE)
        • Droit et grandes entreprises (UE)
        • Economie & social (UE)
        • Education, formation (UE)
        • Energie, nucléaire (UE)
        • Libertés (UE)
        • Migrations (UE)
        • Militaire (UE)
        • Pays (UE)
          • Agriculture, rural (Europe, Pays)
          • Ecologie (pays, UE)
          • LGBT+ (pays, UE)
          • Racisme, xénophobie (pays, UE)
            • Mamadou Ba
          • Santé (pays, UE)
            • Epidémies, pandémies (santé, pays, UE)
          • Social, économique (pays, UE)
        • Régimes politiques, partis (UE)
        • Relations internationales (UE)
          • Relations Europe-Afrique (UE)
          • Relations Europe-Amérique du Nord (UE)
          • Relations Europe-Amérique latine (UE)
          • Relations Europe-Asie (UE)
          • Relations Europe-Méditerranée (UE)
            • Palestine-Israël (relations internationales, UE)
        • Santé (UE)
          • Epidémies, pandémies (santé, UE)
        • Services publics (UE)
        • Transports (UE)
      • A Gauche (Europe)
        • GACE, rencontres européennes (Europe)
        • Gauche radicale, épidémies, santé (Europe)
        • Histoire de la gauche (Europe, hors France)
          • Andre Henry
          • Antonio Gramsci
          • Camillo Berneri
          • Carlo Rosselli
          • David Harvey
          • Denis Horman
          • Enrico Berlinguer
          • Eric Hobsbawm
          • François Houtart
          • Franz Kafka
          • Georg Jungclas
          • Görgy Lukács
          • Greta Thunberg
          • Hendrik « Pips » Patroons
          • Henk Sneevliet
          • István Mészáros
          • Karl Liebknecht
          • Karol Modzelewski
          • Louis Althusser
          • Manolis Glezos
          • María Teresa Carbonell
          • Marijke Colle
          • Miguel « Moro » Romero
          • Otelo Saraiva de Carvalho
          • Otto Bauer
          • Pasquale Loiacono
          • Peter Gowan
          • Peter Waterman
          • Petr Uhl
          • Rosa Luxemburg
          • Rossana Rossanda
          • Sal Santen
          • Silke Helfrich
          • Stavros Tombazos
          • Stephen Bouquin
          • Sylvia Pankhurst
          • Troglo – José Ramón Castaños Umaran
          • Tzvetan Todorov
          • Victor Serge
          • Walter Benjamin
          • Wilebaldo Solano
        • Le Parti de gauche européen
        • Projet K (Europe)
      • Catastrophes humanitaires (Europe)
      • Crise de société (Europe)
      • Environnement (Europe)
        • Climat (Europe)
      • Fascisme, extrême droite, droite extrême (Europe)
      • Femme (Europe hors France)
        • Dette (Femme, Europe)
        • Droits reproductifs (Europe)
        • Famille (Europe)
        • Femme et travail (Europe)
        • Histoire des luttes de femmes (Europe)
        • Violences à l’égard des femmes (Europe)
      • Histoire moderne (Europe)
        • Histoire des mouvements populaires (Europe)
        • Nazisme et camps de concentration
      • Histoire pré-moderne (Europe)
      • Jeunesse, Education (Europe)
      • Justice, droit (Europe hors France)
      • Migrants, Réfugiés (Europe)
        • Femme (Migrantes, Europe)
        • Migration, étranger, citoyenneté
      • Mouvements sociaux, salariat (Europe)
        • Automobile (Europe)
        • Retraites (Europe)
        • Vie chère (Europe)
      • Racisme (Europe)
      • Religion (Europe)
      • Balkans
        • Balkans : Crise yougoslave des années 90
        • Balkans : Révolution yougoslave
      • Grande-Bretagne / Royaume uni (Europe)
        • Brexit
        • Ecosse
        • Pays de Galles
        • Capitalisme britannique
        • Droits humains, libertés (GB / RU)
        • Extrême droite, fascisme (Grande-Bretagne)
        • Histoire (Grande-Bretagne)
        • Migrants - refugié.es, racisme (UK)
        • Monarchie (Royaume uni)
        • Mouvement ouvrier, luttes sociales (Grande-Bretagne)
        • Nucléaire (Grande-Bretagne)
        • Santé (Grande-Bretagne, UK)
          • Pandémies, épidémies (Santé, RU)
      • LGBT+ (Europe hors France)
      • Russie & Europe orientale
        • Biélorussie / Bélarus
          • Femmes
        • Histoire. Bloc soviétique, URSS, Empire russe
          • Révolution russe (Russie)
          • Régime concentrationnaire (URSS)
          • Transition capitaliste en Russie et dans l’Est européen
          • Alexandra Kollontaï
          • Clara Zetkin
          • Joseph Staline
          • Lénine
          • Léon Trotsky
          • Nadejda Kroupskaïa
          • Sultan Galiev
        • Moldavie
        • Roumanie
          • Sport (Roumanie, bloc soviétique)
        • Russie
          • A gauche (Russie)
            • Esteban Volkov
          • Alexi Navalny
          • Capacités militaires (Russie)
          • Economie (Russie)
          • Femmes (Russie)
          • LGBT+ (Russie)
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La formation de la Quatrième Internationale

jeudi 4 septembre 2025, par LE MOAL Patrick

  

« Pour répondre aux défis de notre époque, pour penser la possibilité d’un parti pour la transformation révolutionnaire de la société dans la période actuelle, pour voir le présent avec plus de recul, il est incontournable de tirer les leçons du bilan des deux siècles passés, positives ou négatives, de revenir aux grandes controverses de cette question du parti. »

Troisième texte sur trois.

Pour le premier, voir sur ESSF (article 76156), L’élaboration de la forme parti : de la secte au parti de masse, du parti éphémère au parti historique

Pour le deuxième, voir sur ESSF (article 76281), Émergence des partis du court 20e siècle : Partis révolutionnaires d’avant garde contre partis réformistes, la troisième internationale et sa dégénérescence

  Sommaire  
  • 1- La dégénérescence bureaucra
  • 2- Quelles bases programmatiqu
  • 3 - Comment aller vers une (…)
  • 4 - Le Congrès de Fondation de
  • 5 – Quelques réflexions (…)
  • ANNEXES

● Ce troisième texte sur la question du part aborde des questions très différentes des deux premiers. Les temporalités, les problématiques ne sont pas les mêmes.

Au 19e siècle, de la secte aux « partis historiques » constituant la classe pour elle-même en passant par les partis « éphémères », on a abordé les caractéristiques et problèmes de ces différentes formes, et surtout des « partis historiques ». Partis dont la durée de vie a été très variable, pour la plupart se limitant à moins de 50 ans, parfois même beaucoup moins.

Au 20e siècle, les partis révolutionnaires d’avant garde dans la conception léniniste ont eux aussi eu des existences courtes, de 20 à 30 ans maximum, avant d’être remplacés par des partis ouvriers bureaucratisés et stalinisés. Sont restés dans nombre de pays jouant le rôle de « partis historiques ».

On a donc abordé les problèmes de grands partis, qui ont joué un rôle central dans les luttes de classe, avec une existence limitée dans le temps.

● Dans cette histoire, dès la naissance du mouvement ouvrier, la question de l’Internationale a toujours été le centre de gravité de la politique révolutionnaire.

La première Internationale (1864-1876) rassemblait toutes les formes d’organisation du mouvement ouvrier : partis, syndicats, mutuelles, sectes. Après l’écrasement de la Commune de Paris (1871), elle disparaît. La Deuxième Internationale, constituée à la fin du 19e siècle, a organisé le début du mouvement social-démocrate, des partis et syndicats de masse autour de la social-démocratie allemande. Elle sombre dans le réformisme, capitule face à la première guerre mondiale et combat la révolution russe. Elle continue à exister, a pris en 1951 le nom d’Internationale socialiste[1], mais son rôle progressiste a disparu en août 1914.

La Troisième Internationale est créée sur la base de la révolution russe, a organisé un vaste mouvement « communiste » avec des courants et militants d’origine diverses –syndicalistes révolutionnaires, socialistes de gauche etc. – en soutien à la révolution russe. Devenue au cours des années 20 l’instrument de la bureaucratie stalinienne au pouvoir en Union soviétique pour défendre ses intérêts en URSS, elle est dissoute en 1943. Si le Kominform reconstitué en en 1948 a permis le maintien de relations de subordination des PCs à l’URSS plus ou moins conflictuelles jusque dans les années 70, cette structure pas plus que la précédente à partir des années 30 ne représentait une organisation dont la perspective était la construction d’un socialisme émancipateur…

● La quatrième internationale fondée en 1938 existe toujours aujourd’hui, depuis plus de 85 ans, comme une organisation minoritaire. Elle regroupe des camarades, des groupes militants plus ou moins importants qui militent dans leurs pays, dans leurs espaces régionaux respectifs, qui confrontent et rassemblent leurs expériences, ce qui aide à avoir une vue plus globale de la société, du monde, des perspectives révolutionnaires mais à partir de l’expérience d’organisations qui sont minoritaires, parfois même très petites.

Pour reprendre une formulation d’Ernest Mandel, ce sont des « organisations d’avant garde », qu’il différencie des « Partis d’avant garde » :

« Avant toute chose, j’utilise les termes « Organisations d’avant-garde », et non « Partis d’avant-garde ». Il s’agit d’une différence conceptuelle sur laquelle je veux insister. Je ne crois pas aux partis auto-proclamés. Je ne crois pas en cinquante ou cent personnes qui, en pleine rue, se frappent la poitrine en hurlant « nous sommes le parti d’avant-garde ! ». Ils le sont sans doute dans leurs esprits, mais si le reste de la société n’en n’a pas grand chose à faire, ils peuvent encore rester longtemps à crier ainsi dans la rue sans obtenir le moindre résultat dans la vie pratique ou, pire encore, ils tenteront d’imposer leurs convictions sur les masses au travers de la violence. Une organisation d’avant-garde est quelque chose de permanent. Un parti d’avant-garde doit être construit à travers un long processus.[2] Une des caractéristiques de son existence est qu’un parti doit être reconnu comme avant-garde par au moins une minorité substantielle de la classe elle-même. On ne peut pas avoir un parti d’avant-garde si l’on n’a pas de partisans dans la classe.

Une organisation d’avant-garde se transforme en parti lorsqu’une minorité substantielle de la classe, des travailleurs, des jeunes révolutionnaires, des femmes révolutionnaires, etc. le reconnaissent comme leur parti d’avant-garde (autrement dit qu’ils le suivent dans ses actions). Qu’ils soient dix ou quinze pour cent, cela n’a pas d’importance, mais cela doit être un secteur réel de la société. Si tel n’est pas le cas, alors il ne peut y avoir de véritable parti, il n’y a qu’a que le semence pour un futur parti. Ce qu’il adviendra de cette semence, seule l’histoire pourra le démontrer. [3] ».

Évidemment on peut discuter de cette formulation, de ce concept d’« organisation d’avant garde ». Par exemple un marxiste révolutionnaire américain, Hal Drapper, non membre de la quatrième internationale, utilise un autre concept, celui de « centre politique » comme alternative à la secte[4], structure beaucoup moins structurée qu’une organisation, un « centre de propagande/éducation sans adhésions par opposition à un groupe d’adhérents entouré de murs organisationnels ».

● Quoiqu’il en soit, on voit bien qu’il s’agit de groupes politiques basés sur une spécificité politique, programmatique. Cela pose une autre question qu’on ne peut esquiver : comment faire pour qu’ils jouent le rôle précisé par Ernest Mandel sans devenir des sectes, telle que les définit Marx « une secte ne cherche pas sa raison d’être et son point d’honneur dans ce qu’elle a de commun avec le mouvement de classe, mais dans le schibboleth qui l’en distingue [5] ».

Il faut avoir conscience de ce problème central pour regarder lucidement à la fois l’utilité, la garantie que donne ce cadre international pour des dizaines de milliers de militant·es, des dizaines de groupes pour maintenir en vie l’internationalisme, pour garder une approche marxiste révolutionnaire ouverte sur le monde, pour tourner les organisations qui en sont membres à une action visant à modifier effectivement les rapports de force dans la lutte des classes, pour élaborer des textes aussi importants que le « Manifeste du marxisme révolutionnaire à l’ère de la destruction écologique et sociale du capitalisme », pour promouvoir et mettre en œuvre un programme pour l’écosocialisme tout en étant conscient des risques de sectarisation.

● Afin de mesurer comment, malgré les difficultés, les erreurs, les limites, la quatrième internationale a survécu, justement pas comme une secte politique, il est nécessaire de comprendre d’où elle vient. Savoir qui nous sommes, connaître les grandes batailles politiques qui nous ont constitué en tant que courant, de quel héritage programmatique nous assurons la continuité vivante est plus que nécessaire pour tracer un chemin dans la période historique que nous connaissons, de crise de l’alternative socialiste face à la crise multiforme de la « civilisation » capitaliste, d’effondrement du mouvement ouvrier du 20e siècle.

La IVe Internationale a été fondée en 1938 sur l’idée que la crise de l’humanité se réduisait à la crise de sa direction révolutionnaire. L’idée est juste dans le contexte de l’époque. Il existe alors un mouvement ouvrier organisé puissant en Europe et aux États-Unis, ayant plus ou moins clairement « pour but déclaré le renversement du capitalisme même s’ils se divisent sur les moyens, entre réformistes et révolutionnaires. La continuité des générations n’est pas encore brisée. L’événement fondateur d’Octobre n’est pas éloigné dans le temps (vingt ans à peine) et son rayonnement demeure actif malgré le Thermidor bureaucratique ... On peut donc légitimement espérer que le phénomène inédit du despotisme totalitaire issu de cette contre-révolution ne résistera pas aux conflits prévisibles et que le mouvement d’émancipation retrouvera, avec une maturité accrue, l’élan qui fut le sien au lendemain de la Première Guerre mondiale.

La Seconde Guerre mondiale a bien été suivie d’une vague révolutionnaire impétueuse (révolutions yougoslave et chinoise, guerre civile en Grèce ), mais le stalinisme ne s’est pas effondré. Il a, au contraire, reçu une nouvelle légitimation lors de la victoire contre le nazisme, avec l’extension de sa domination au camp dit socialiste et le partage du leadership mondial symbolisé par les accords de Yalta et Potsdam. .. on ne demande pas des comptes aux vainqueurs ! On a toujours tort en histoire de raisonner par analogie et c’est pourtant l’un des seuls recours du raisonnement stratégique….. Les fondateurs de la IVe Internationale avaient sans doute imaginé l’issue de la Seconde Guerre mondiale à l’image de la première avec des conseils ouvriers à Berlin et à Turin, des soviets retrouvés à Petrograd et à Moscou. Du fait que le scénario ne s’est pas vérifié, certains n’ont pas tardé à conclure qu’il fallait jeter l’éponge et changer de projet.

En réalité, la fondation de la IVe Internationale pouvait être liée à des hypothèses stratégiques (vérifiées quant à l’imminence de la guerre, et démentie quant au renversement du stalinisme), mais elle ne découlait pas d’un pronostic. Elle reposait sur un programme[6] ».

Et ce programme actualisé, revisité, garde toute sa force, malgré les remodelages successifs opérés dans le monde depuis la seconde guerre mondiale.

● Quelles sont les questions politiques qui se sont posés au milieu de ces années 1930 au moment de prendre la décision de constituer une nouvelle Internationale, d’emblée minoritaire.

- Quand ? À partir de quel moment, de quels critères ?

- Sur quelles bases programmatiques délimiter un nouveau courant international ?

- Comment, quelle méthode ?

- Avec qui, en prenant en compte le rapport complexe entre la construction de groupes, de sections nationales et de l’internationale elle-même ?

 -1- La dégénérescence bureaucratique de l’IC

Quel test historique crucial ?

La IV est fondée en 1938, mais le courant politique qui en est à l’initiative apparaît dans les années 25-27, dans la lutte de l’opposition de gauche contre la stalinisation de l’URSS et de l’Internationale communiste, c’est donc l’aboutissement d’un long processus lui même compliqué. Qui ne doit pas oublier que notre origine est russe : les premiers membres de l’opposition de gauche sont des militants communistes russes.

Mais quel seuil franchi dans la dégénérescence peut justifier la création d’une nouvelle organisation internationale ?

● La deuxième internationale n’a pas basculé en un jour. Les divergences dans les débats contre le révisionnisme de Bernstein, la question du ministérialisme, les positions chauvines sur la question coloniale, montraient des signes alarmants, mais pour la déclarer faillie, il fallait autre chose que des divergences de congrès, il fallait un test historique crucial. Ce sera le ralliement des grands partis sociaux démocrates à l’Union sacrée, confirmé et renforcé par la lutte contre la Révolution russe.

Que sera le seuil de cette importance historique pour l’IC, sachant que son existence est adossée à celle d’un État ouvrier ?

● En effet, le processus de dégénérescence commence très tôt dans les années 20.

Après la vague révolutionnaire de 17-23 en Russie, en Allemagne, Hongrie, Pologne, Italie du Nord, la révolution reflue. En Russie, le mouvement révolutionnaire est saigné par la guerre civile, les cadres du parti sont décimés, la fatigue de la population, de la classe ouvrière est immense. On l’a vu, tout cela favorise la montée de la bureaucratie, qui se constitue tant avec des membres de l’ancien appareil d’État que des membres du nouvel appareil d’État issu de la révolution. Elle va progressivement prendre le contrôle de l’appareil, étouffer la discussion politique et réprimer les oppositions … pour se maintenir au pouvoir. Trotsky date de 1924 le commencement de Thermidor.

Des résistances apparaissent très vite dans le parti bolchevik contre la bureaucratisation, pour la démocratie.

Face aux zig zags économiques, l’opposition de gauche propose contre les mesures autoritaires une série de mesures pour renforcer le poids de la classe ouvrière et construire une alliance ouvrière et paysanne.

Contre la théorie stalinienne du « socialisme dans un seul pays », Trotsky et de l’Opposition de gauche maintiennent un cap révolutionnaire internationaliste avec des propositions qui combinent le pouvoir révolutionnaire en URSS dans une société en transition à l’extension de la révolution à l’échelle internationale. Construire le socialisme dans un seul pays n’était pas possible, la Russie n’avait de base économique, industrielle et sociale suffisamment importante, et cela ne pouvait que conduire à des mesures autoritaires à l’intérieur et à l’abandon des tâches d’extension de la révolution à l’extérieur. C’est ce qui va se passer notamment en Chine par la subordination à la bourgeoisie des communistes chinois dans le Guomingdang[7] ou la collusion avec les appareils bureaucratiques dans la constitution du comité anglo-russe avec les dirigeant syndicaux britanniques qui s’opposent à une grève générale en Angleterre ; et plus tard avec la destruction du pouvoir populaire au bénéfice de l’état bourgeois au cours de la révolution espagnole.

● L’opposition de gauche est défaite en 1927, Léon Trotski est expulsé en 1929 à Alma Ata puis à Prinkipo. Malgré la lutte de fraction très violente, la répression des oppositionnels envoyés dans les camps, Trotski pensait encore que sur la base de l’expérience et de la discussion on pouvait renverser les choses et qu’il fallait l’existence de grands événements historiques pour passer du redressement ou de la réforme de son parti à un autre parti.

En 1932, dans les documents de l’opposition de Gauche, c’est toujours la ligne politique du redressement de l’IC qui est défendue, mais apparaît une nouvelle idée : « une catastrophe telle que la chute de l’État soviétique entraînerait sans aucun doute celle de la 3e Internationale. De même la victoire du fascisme en Allemagne et l’écrasement du prolétariat allemand permettraient difficilement au Komintern de survivre aux conséquences de sa politique désastreuse ».

Cette politique désastreuse était celle dite de la « 3e période », la théorie du « social-fascisme », le refus de front unique, une politique active de division… qui mènera à la défaite le prolétariat allemand sans combat et la prise de pouvoir par Hitler en mars 1933.

Trotski en tire d’abord une conclusion : « Le prolétariat allemand se relèvera. Le parti communiste jamais ». En conséquence, il demande aux oppositionnels de gauche allemands d’arrêter la politique de redressement du KPD et de construire une nouvelle organisation indépendante.

On est bien en face d’un grand évènement historique, pas simplement de divergences politiques, événement qui justifie la création d’un nouveau parti, l’ancien ayant failli.

● A ce moment, en mars 1933, face à l’arrivée au pouvoir d’Hitler, dans les écrits de Trotski, seul le parti allemand doit être remplacé, mais pas encore l’IC.

Il est vrai que la bolchevisation de l’IC se fait de manière inégale, avec des effets divers : normalisation dans la plupart des cas, mais aussi étouffement du parti communiste naissant ailleurs comme en Espagne, d’autant que la politique de la troisième période provoque des ruptures ou scissions en Suède (la majorité), ou des courants minoritaires en Allemagne, en Catalogne.

L’IC des années 30 n’est pas l’internationale sociale démocrate d’avant 14, la victoire du fascisme en Allemagne n’opère pas comme révélateur sur l’ensemble du mouvement ouvrier international de la même manière que le déclenchement de la première guerre mondiale.

● Malgré tout, le choc que provoque la défaite du PC allemand est important en URSS même, ce qui amplifie la répression, les expulsions et emprisonnements des oppositionnels, au moment où les conséquences de la collectivisation forcée sont dramatiques. Fallait-il appeler également dès ce moment à construire un nouveau parti communiste de Russie ?

Car à la différence des débats sur la dégénérescence de la IIe internationale, se pose en même temps la question de l’existence d’un État ouvrier. Appeler à la constitution d’un nouveau parti communiste en URSS, c’est appeler à une nouvelle révolution en URSS. Or il est impossible au début des années 30 de dire que le capitalisme était rétabli en URSS.

● Trotski essaie alors de résoudre cette contradiction en avançant la notion de « révolution politique » qui a pour objectif de chasser la bureaucratie sans remettre en cause les rapports de propriété issus de la révolution d’Octobre. Cette révolution devra être menée par ce nouveau parti communiste. Ce projet de révolution politique fait passer de la ligne de la réforme à la ligne d’une nouvelle révolution, c’est-à-dire au renversement de la bureaucratie.

A partir de ce moment, la création d’une nouvelle internationale devient cohérente.

On peut évidemment aujourd’hui, plus de 80 ans après, alors qu’aucune révolution politique n’a eu lieu, se questionner sur cette notion ; pouvait-on penser, même en 1930, qu’une révolution politique qui chasse la bureaucratie peut exister sans effets sociaux majeurs, sans remettre en cause les rapports de production ?

Mais ce choix d’un projet de Révolution ayant pour projet le renversement de la bureaucratie, au-delà des débats sur « révolution politique » /« Révolution sociale » était fondamental.

● D’autres faits qui s’accumulent confirment que le basculement est en train de s’opérer, que la IIIe IC a failli définitivement.

Par exemple en France la déclaration Laval Staline qui soutient la militarisation du gouvernement bourgeois, ce qui fait disparaître le travail antimilitariste du PC, le travail anti impérialiste, et introduit le recours à la marseillaise et au drapeau tricolore, avant de transformer le PC en PCF.

La politique des Fronts populaires synthétise le basculement définitif de l’IC en un instrument de défense de la bureaucratie soviétique contre les perspectives révolutionnaires, avec la perspective de l’alliance des partis ouvriers, communistes et socialistes, avec les partis bourgeois « démocratiques », le soutien à des gouvernements bourgeois et la lutte contre la grève générale en France (il faut savoir terminer un grève de Maurice Thorez) et contre la révolution en Espagne ...

Les procès de Moscou qui mettent en scène la liquidation des derniers bolcheviks survivants en URSS, la destruction du PC polonais ...

La dernière réunion de l’IC en 1935, avant d’être sabordée officiellement en 1943 ...

Le pacte Hitler Staline de dépeçage de la Pologne ...

● On peut donc discuter à quel moment le seuil est franchi, est-ce au tout début de la défaite de l’opposition de gauche en 1927, en 1933, où après ?… il est clair que le basculement s’est produit dans cette période. Si le débat a un intérêt historique, il n’est pas l’objet de cette contribution.

Par contre, il est essentiel pour la suite d’apprécier en quoi cette décision était juste du point de vue de la méthode.

« En dépit de ces difficultés, il faut retenir la leçon de méthode,qui reste fondamentalement correcte. Pour juger de la nature des organisations, elle part des grands événements historiques et non de critères subjectifs. Elle part des faits (même si le choix des faits « significatifs » est toujours discutable), et non des pronostics. …. cette méthode est fondamentalement correcte, y compris pour les petites organisations ? Il est vrai que le poids des erreurs théoriques ou des dérapages programmatiques peut être plus immédiat et catastrophique pour les organisations qui entretiennent des liens ténus et fragiles avec le mouvement de masse, que les partis de classe [8] »

● Au delà des termes, voire même des erreurs, des fautes des dirigeants de l’opposition de gauche, leur lutte permet aujourd’hui de distinguer la révolution et la continuité révolutionnaire russe et internationale de la dégénérescence stalinienne. Elle permet de faire la différence entre la révolution et la contre-révolution stalinienne alors que nombre d’idéologues ou d’historiens « bien intentionnés » confondent communisme et stalinisme.

 -2- Quelles bases programmatiques ?

Le programme qui synthétise les leçons de la lutte de classe, c’est la délimitation du parti, c’est lui qui sélectionne les militant·es, qui permet d’éduquer et de former des cadres.

● Dès 1933, les bases fondamentales du courant sont stabilisées, dans les onze points de l’opposition de gauche internationale élaborés en février 1933 (voir en annexe). Ils sont révisés par Trotsky en juillet 1933 sur un seul point, le point 10 qui prévoit « la reconnaissance de la nécessité d’une internationale révolutionnaire authentique ».

Ce document très court, trois pages, part de la référence aux principes des quatre premiers congrès de l’IC, «  le rapport à l’impérialisme et à l’état bourgeois, la dictature du prolétariat, la paysannerie et les nations opprimées, les soviets, le travail dans les syndicats, le parlementarisme, la politique de Front Unique », réaffirme un socle politique solide prenant en compte le bilan des luttes de classes depuis la révolution russe, l’indépendance du parti prolétarien, la Révolution permanente contre la théorie du socialisme dans un seul pays, la caractérisation de l’URSS comme état ouvrier bureaucratiquement dégénéré, la démarche transitoire, la politique de Front unique (contre le social fascisme), la nécessité du travail dans les syndicats réformistes, et la démocratie dans le parti, et bien sûr dans sa version corrigée, la création d’un nouvelle internationale.

● Ces onze points ont « condensé les questions programmatiques cruciales [9] » pendant un demi siècle, même s’ils ont été enrichis et précisés durant toute cette période, prenant en compte de nouvelles expériences. Car le programme n’est jamais achevé, il va par exemple être complété cinq ans plus tard par le programme de transition.

Et nous avons appris des développements de la révolution mondiale, des mobilisations de masse, tenté de comprendre les grandes évolutions. Les victoires des révolutions chinoise, cubaine, vietnamienne, l’essor des luttes de libération des pays dépendants, colonisés, les luttes anti bureaucratiques ont complexifié le panorama des forces et débats politiques, et nous avons essayé au mieux possible d’apprendre des formes luttes ouvrières, de l’essor du mouvement autonome des femmes, des luttes écologistes et anti nucléaires. Le fait de ne pas être un secte nous a permis, malgré nos limites et nos erreurs de rester une organisation révolutionnaire en lien militant avec les les principales évolutions de la lutte de classe, alors que d’autres courants disparaissaient.

Mais force est de constater que ces onze points, même augmentés des élaborations politiques et militantes de la fin du 20e siècle, ne peuvent répondre aujourd’hui aux multiples questions qui sont posées à l’humanité.

● Nous connaissons depuis la fin du siècle dernier des modifications considérables qui justifient de nouvelles réflexions, de nouvelles réponses :

- l’effondrement des pays bureaucratiques, leur retour au capitalisme, l’absence de toute révolution politique selon le concept de Trotsky des années 30,

- la crise/effondrement des organisations ouvrières adossées à cette histoire,

- la mondialisation néolibérale qui a profondément restructuré les classes sociales, la domination impérialiste,

- la crise de l’alternative socialiste face à la crise multiforme de la « civilisation capitaliste »

- la profondeur de la crise écologique qui modifie en profondeur les conditions de la vie de l’espèce humaine sur la terre et donc des conditions des luttes de classe.

Notre programme est vivant face au monde qui bouge, comme l’illustre le « Manifeste pour une révolution écosocialiste, rompre avec la croissance capitaliste  » adopté par le dernier congrès de la quatrième internationale comme une réponse à la mesure de la nouvelle situation, qui redéfinit de nouvelles délimitations politiques.

Introduction Manifeste

Ce Manifeste est un document de la Quatrième Internationale, fondée en 1938 par Léon Trotsky et ses camarades pour sauver l’héritage de la Révolution d’Octobre du désastre stalinien. Refusant un dogmatisme stérile, la IVe Internationale a intégré dans sa réflexion et sa pratique les défis des mouvements sociaux et de la crise écologique. Ses forces sont limitées, mais elles sont présentes sur tous les continents et ont activement contribué à la résistance au nazisme, à Mai 68 en France, à la solidarité avec les luttes anticoloniales (Algérie, Vietnam), à l’essor du mouvement altermondialiste et au développement de l’écosocialisme.

La IVe Internationale ne se considère pas comme la seule avant-garde ; elle participe, dans la mesure de ses forces, à de larges formations anticapitalistes. Son objectif est de contribuer à la formation d’une nouvelle Internationale, à caractère de masse, dont elle serait l’une des composantes.

Notre époque est celle d’une double crise historique : la crise de l’alternative socialiste face à la crise multiforme de la « civilisation » capitaliste.

Si la IVe Internationale publie ce Manifeste en 2025, c’est parce que nous sommes convaincu·es que le processus de révolution écosocialiste à différentes échelles territoriales, mais à dimension planétaire, est plus que jamais nécessaire : il s’agit désormais non seulement de mettre fin aux régressions sociales et démocratiques qui accompagnent l’expansion capitaliste mondiale, mais aussi de sauver l’humanité d’une catastrophe écologique sans précédent dans l’histoire humaine. Ces deux objectifs sont inextricablement liés.

Cependant, le projet socialiste qui est à la base de nos propositions nécessite une large refondation nourrie par l’évaluation pluraliste des expériences et par les grands mouvements de lutte contre toutes les formes de domination et d’oppression (classe, genre, communautés nationales dominées, etc.). Le socialisme que nous proposons est radicalement différent des modèles qui ont dominé le siècle dernier ou de tout régime étatiste ou dictatorial : c’est un projet révolutionnaire, radicalement démocratique, nourri par l’apport des luttes féministes, écologiques, antiracistes, anticolonialistes, antimilitaristes et LGBTQI.

Nous utilisons le terme d’écosocialisme depuis quelques décennies, car nous sommes convaincus que les menaces et les défis globaux posés par la crise écologique doivent imprégner toutes les luttes au sein de/ contre l’ordre globalisé existant et nécessitent une reformulation du projet socialiste. La relation avec notre planète, le dépassement de la « fracture métabolique » (Marx) entre les sociétés humaines et leur milieu de vie, le respect des équilibres écologiques de la planète ne sont pas seulement des chapitres de notre programme et de notre stratégie, mais leur fil conducteur.

La nécessité d’actualiser les analyses du marxisme révolutionnaire a toujours inspiré l’action et la pensée de la Quatrième Internationale. Nous poursuivons cette démarche dans notre travail de rédaction de ce Manifeste écosocialiste : nous voulons contribuer à la formulation d’une perspective révolutionnaire capable d’affronter les défis du XXIe siècle. Une perspective qui s’inspire des luttes sociales et écologiques, et des réflexions critiques authentiquement anticapitalistes qui se développent dans le monde.

 - 3 - Comment aller vers une nouvelle internationale ?

Avec qui et comment la construire ?

Entre 1933 et 1938, c’est une période de bouleversements fantastiques : après les victoires de Mussolini en Italie, d’ Hitler en Allemagne, la révolution et contre-révolution en Chine, le mouvement de libération nationale au Vietnam, la guerre en Éthiopie, les Fronts populaires en France et en Espagne, la répression en URSS avec les procès de Moscou, et la crise tchécoslovaque qui annonce la guerre.

Ces grands évènements qui définissent les grandes délimitations programmatiques bousculent tous les courants politiques.

● Quelles sont les « forces » de l’opposition de gauche en 1933 ?

Voici les chiffres recensés par Michel Dreyfus et Pierre Broué dans les notes de l’édition française des œuvres de Trotski, cités par Daniel Bensaid[10] qui les estime optimistes :

500 militant·es en Allemagne, 800 en Tchécoslovaquie, 300 en Pologne, 300 en France, une centaine en Belgique, 500 aux États Unis, 300 en, Espagne, 2000 en Grèce divisés en deux groupes, et quelques centaines ou milliers en URSS dispersé·es dans les camps.

En plus de ces marxistes révolutionnaires, existent d’autres organisations issues de la social démocratie : SAP allemand, OSP Hollandais, ILP en Grande Bretagne, maximalistes italiens … ou de l’IC : la majorité du PC suédois, de la DNA de Norvège, du RSP hollandais, du BOC en Catalogne, puis le POUM, plus deux groupes allemands ...

Ces courants étaient appelés à l’époque « centristes » : « oscillant entre la réforme et le révolution », oscillant entre l’Opposition de gauche et leurs anciens partis PS ou PC. Cette caractérisation politique n’est jamais définitive, pour Trotski, ce qui est important c’est la dynamique, dans quel sens cela va l’évolution du courant, de la droite vers la gauche et là on peut faire des compromis.. et de la gauche vers la droite et là c’est régressif. Avec ces courants, l’objectif est d’avancer par l’action, l’expérience et le débat.

● Pour avancer vers une nouvelle internationale dans toute cette période, le problème pour les trotskystes n’est pas l’auto-proclamation de petits groupes mais la délimitation programmatique et le rassemblement.

Dès que l’opposition de gauche adopte la ligne pour une nouvelle Internationale, Trotski se tourne vers toutes les organisations indépendantes.

Avec deux méthodes,

- la bataille persévérante pour la construction de la nouvelle Internationale sur les bases programmatiques clairement délimitées,

- la mise sur pied de simples coordinations sur la base d’accords minimaux. De nombreuses fois Trotski indique que sommes prêts à être en minorité dans une internationale révolutionnaire qui ne soit pas sur toutes les bases du trotskysme… à condition que celle-ci soit sur une base politique révolutionnaire…

● Dès août 1933 parait un appel pour la quatrième internationale signé par l’opposition de gauche internationale (qui vient de prendre le nom de Ligue Communiste Internationaliste) et le SAP allemand, le RSP et l’OSP hollandais[11].

S’il intègre l’internationalisme contre la théorie du socialisme dans un seul pays, la dégénérescence de l’URSS et la faillite de l’IC, la défense de l’état ouvrier, la démocratie dans le parti et la nécessité d’une nouvelle internationale, il ne reprend pas celles de révolution permanente, d’indépendance de classe, de front unique ouvrier et de démarche transitoire.

Quelques jours après se réunit ce qui s’appellera le « bureau de Londres » avec toutes les organisations non membres de l’opposition de gauche, donc les trois qui avaient signé cet appel pour la quatrième internationale (le SAP allemand, le RSP et l’OSP hollandais) qui adopte des thèses de lutte contre le fascisme et se prononce pour l’unification organiques des IIe et IIIe internationales. L’opposition de gauche y est présente pour défendre ses positions. Trotski appellera ironiquement ce groupement l’internationale 2,5.

1934, c’est l’écrasement du prolétariat viennois, les manifestations fascistes en France

1935, le pacte Laval Staline et la ligne des Fronts populaires

● C’est aussi à cette époque que Trotski pousse à l’entrisme, qui va se réaliser dans trois pays France, Belgique et États Unis.

Ce choix est fait pour

- répondre à la montée du fascisme qui liquide les bases de la démocratie bourgeoise, des institutions parlementaires, donc de la social démocratie ( qui défend toujours à cette époque la dictature du prolétariat) dans laquelle peut apparaître une radicalisation pour survivre, avec émergence de courants de gauche en fécondant « le front unique d’un contenu révolutionnaire »,

- que les révolutionnaires soient dans un parti de masse pour lutter contre le danger de sectarisation « le développement d’un esprit de petit cercle vivant dans une atmosphère confinée, qui guette les jeunes organisations de de l’opposition de gauche internationale[12] »

En France l’entrisme se fait à drapeau déployé à une centaine en janvier 34, avec des résultats rapides. En juin 35 sur l’assemblée de Paris les trotskystes du « groupe bolchevik léniniste » obtiennent 1037 voix contre 2370 à la bataille socialiste (aile gauche de la SFIO) et 1570 en faveur de Blum et du front populaire… Ils font un travail de construction de la SFIO, notamment dans la jeunesse avec les « TPPS[13] » véritable service d’ordre de la SFIO…

Mais dés que l’accord entre la SFIO, le PCF et donc Moscou se fait ... une des conditions, c’est l’expulsion des trotskystes qui vont de succès en succès.

Et apparaît alors le problème de l’entrisme, quel est le bon moment pour sortir ? C’est une question qui se pose dans toutes les tactiques entristes. Il y a une scission dans la section française sur les conditions de la sortie, comme souvent dans ces circonstances. Les trotskistes fonderont le POI avec 615 militant·es.

Aux États Unis, l’entrée dans le PS, qui n’est pas un parti de masse, se fait à condition de l’abandon d’une presse indépendante et l’intégration individuelle les militants du WPUS. Ils seront exclus un an après, fonderont le SWP, en tirant un bilan positif de cet entrisme.

● En 1936, se produit la rupture politique avec Nin et la majorité de l’opposition de gauche espagnole qui ont signé, à travers leurs appartenance au POUM, l’accord de Front populaire.

Tant les tensions politiques qui vont résulter de cette rupture que de la politique entriste vont accentuer l’éloignement de la plupart des groupes non membres de l’opposition de gauche.

Il est vrai que la situation mondiale est de plus en plus inquiétante, entre les procès de Moscou (Trotski rédige « La Révolution trahie » dans cette période[14]), la montée du fascisme, la menace de plus en plus claire d’une guerre, tout cela peut expliquer sans les justifier la brutalité des arguments, la violence des échanges, le ton polémique.

● En juillet 1936, se réunit la Conférence du Mouvement pour la quatrième internationale

Sont représentés la France ( la section est alors en crise), la Belgique, la Hollande (ils vont quitter la conférence avec fracas), la Grande Bretagne, la Suisse, les États Unis, l’Allemagne et l’Italie ( des exilés), la Russie (déportés) , une vingtaine de pays sont mentionnés où existent des groupes.

Elle adopte des textes mais ne proclame pas la quatrième internationale.

  - 4 - Le Congrès de Fondation de la IV

La fondation formelle va avoir lieu alors que la défaite est consommée et Espagne, en France, et après les grandes purges staliniennes à Moscou.

Onze sections sont présentes la France, la Belgique, la Hollande, la Grande Bretagne, les Etats Unis, l’Allemagne, l’Italie, la Grèce, le Brésil, la Pologne, l’URSS. Le POUM et le PSOP de Marceau Pivert qui vient de sortir de la SFIO ont vu leur demande d’assister à la réunion rejetée pour des raisons de sécurité.

Il est vrai que dans cette période les militants trotskistes sont assassinés par les staliniens et le guepéou : après Erwin Wolf et Andreu Nin en Espagne, Ignace Reiss en Suisse, en juillet 1938 le secrétaire administratif responsable de la préparation de la conférence de fondation Rudolf Klement est assassiné à Paris.

La conférence se déroule tout un mois dans la banlieue parisienne, en commissions avant et après la conférence elle-même, mais il n’y a qu’une séance plénière sur une journée, le 3 septembre[15].

● La base de fondation c’est le programme de transition « L’agonie du capitalisme et les tâches de la IV e Internationale[16] », un programme de revendications immédiates, sociales, démocratiques, anti-impérialistes et transitoires (contrôle ouvrier, échelle mobile des salaires et heures de travail, armement du prolétariat), qui doivent mener à une seule conclusion : la perspective d’un gouvernement ouvrier, d’une rupture avec le capitalisme.

De nombreux autres textes sont également adoptés, y compris sur des situations nationales, et les statuts (voir en annexe Statuts 1938 et 2003).

L’accord est général sur le programme et sur la nécessité de la IV, mais il y a désaccord sur la décision de fondation, notamment de la section polonaise.

Leurs représentants pensent que ce n’est pas le moment pour proclamer la IV : « nous sommes trop faibles », disent-ils, et « les conditions historiques trop difficiles ». Les autres internationales ont été créées dans les périodes de soulèvement révolutionnaire. Marx, par exemple n’a pas essayé de créer la 1er Internationale en 1848, la 2e a été crée avec la poussée des partis de masses au début du siècle, la 3e pas au moment de Zimmervald, mais avec la révolution russe… Mais là, la IV est proclamée avec la défaite prolétarienne face au fascisme et au nazisme. Il faut juste en affirmer la nécessité, sans aller jusqu’à la proclamation.

L’écrasante majorité se prononce pour la création, refusant l’attentisme, tirant le bilan de 5 années de débats avec les courants centristes, qui malgré la gravité des événements n’évoluent pas et estime qu’il serait stérile d’attendre encore. Elle décide de s’atteler à la construction concrète, avec les forces actuelles, d’une organisation pour faire face aux épreuves qui s’annoncent imminentes.

Cf Souvenirs d’un participant, Michel Pablo : « Sur la conférence de fondation régnait, comme je l’ai dit, une lourde atmosphère et chacun de nous était surtout dominé par le sentiment d’endosser une responsabilité écrasante, à un moment culminant de la réaction et de l’approche de la guerre, mesurant au fond de soi la force numérique dérisoire de notre mouvement naissant, et ses propres capacités subjectives restreintes. Mais il fallait franchir le Rubicon et affronter le destin[17] ».

Il est vrai que

- c’est une internationale minoritaire, sans section de masse,

- elle est née d’une suite de défaites,

- elle se crée alors que dans certains pays clefs le mouvement ouvrier n’est pas vierge, est déjà organisé et divisé,

- le courant stalinien a une base matérielle puissante .

Trotski dans certains textes prédit à la IV le développement de la III après la Seconde Guerre mondiale et un effondrement de l’impérialisme et du stalinisme. On sait qu’il n’en a rien été : le nazisme a été défait, mais le stalinisme a différé les échéances de son déclin avec la victoire de Stalingrad – et la IV est restée minoritaire.

Mais il a toujours conçu que la quatrième Internationale puisse rassembler des forces plus larges, et que les marxistes révolutionnaires pourraient n’être qu’une des composantes d’une Internationale rassemblant les révolutionnaires anti staliniens.

● La fondation de la IV n’était pas un choix organisationnel découlant d’un pronostic, c’était celui de faire vivre un programme marxiste révolutionnaire au sens large.

Il fallait qu’existe un courant délimité du stalinisme et de la social-démocratie pour assurer la continuité du marxisme révolutionnaire. Les conditions de création étaient telles que la tension permanente entre le danger de s’adapter à des forces plus larges sans construire d’instrument politique, en sacrifiant le programme, et le danger de pétrification sectaire étaient énormes, difficiles à gérer.

Au bout du compte, parce que nombre d’organisations et de courants se sont effondrés durant la guerre, seuls ceux que l’histoire a appelé trotskystes ont permis cette continuité, avec toutes ses limites et ses vicissitudes.

 - 5 – Quelques réflexions conclusives

● La nécessité d’un Internationale révolutionnaire est-elle dépassée ?

Évidemment non, au contraire même l’existence d’une force internationale et internationaliste dans le monde actuel est la seule à même d’offrir une perspective à l’humanité, débarrassée des différentes formes d’exploitation et d’oppression imposées par le capitalisme.

« sans l’effort permanent pour traduire cette compréhension en effort de construction, l’internationalisme le plus sincère ne va pas au-delà de la solidarité active et des bons sentiments… l’existence organisationnelle internationale détermine la conscience internationaliste s’efforçant de saisir les diverses dimensions de la lutte de classe à l’échelle internationale[18] »

● Le programme a-t-il été capable de prendre en compte les leçons des luttes de classes du siècle qui vient de s’écouler. ?

Oui, même avec des difficultés, des limites, des soubresauts, il a été pertinent pendant un demi siècle et a su s’adapter. C’est-à dire que le cadre ne s’est pas transformé en secte juste capable de tenter de façonner le monde avec le monde du 21è siècle avec le regard bloqué au 20è siècle ânonnant les éléments adaptés au moment de sa fondation.

Et ajoutons qu’il n’existe aujourd’hui aucune autre cadre supérieur d’analyse à l’échelle mondiale !

● Enfin cette internationale a-t-elle fait faillite dans la pratique ?

Le critère fondamental reste la réponse aux guerres et aux révolutions.

Avec nos faibles forces, nous avons réussi à maintenir une politique internationaliste face aux événements majeurs depuis 1938, ce qui n’est pas le cas de bien d’autres courants révolutionnaires.

● N’y a-t-il pas un danger sectaire à rester minoritaire sur une période aussi longue ?

Bien sur !

« lutter à contre-courant peut être un vertu ? Cela peut devenir une seconde nature et un mauvais pli. Mais quel remède au danger ? Et quel vaccin ? La seule arme, qui n’est pas absolue, c’est l’éducation des directions et des militants dans l’esprit du manifeste communiste, selon lequel les militants communistes véritables n’ont pas d’intérêt distinct du prolétariat. Nous n’avons jamais été de ceux qui assistent en commentateurs cyniques des révolutions qu’ils ne dirigent pas. Même quand nous critiquions les directions, nous saluions les victoires comme celles du prolétariat dans son ensemble [19] ».

En faisant cela nous rejoignons la démarche de Trotski en février 1936 lors d’une discussion avec deux militants américains alors que se discute la création de l’Internationale :

« Je ne sais à quelle étape arrivera la IVe. Personne ne le sait. Il est possible que nous devions entrer de nouveau dans une Internationale unifiée, avec la IIe et la IIIe. Il est impossible de considérer le destin de la IVe Internationale indépendamment de celui des sections nationales et vice versa. …. il nous faut prévoir des situations sans précédent dans l’histoire…..Si nous considérons la IVe Internationale seulement comme une « firme » internationale qui nous oblige à demeurer des sociétés indépendantes propagandistes dans toutes les conditions, nous sommes perdus. Non, la IVe Internationale est un programme, une stratégie, un noyau de direction internationale. Sa valeur doit consister en une attitude qui ne soit pas trop juridique. ... Nous devons viser loin. Nous devons être patients, tendus[20] »

● La fonctionnalité d’une organisation nationale qui a pour tâche stratégique la lutte pour la destruction de l’état bourgeois, la conquête du pouvoir des classes dominées face à la bourgeoisie n’est pas celle d’un internationale qui a pour fonction de maintenir une conscience commune devant les grands événements et la perception de l’intérêt commun par delà les particularisme nationaux.

De cette différence découlent des régimes internes différents de conception du rôle des directions : l’internationale a comme unité de base ses sections.

Rouen juillet 2025

Patrick Le Moal


 ANNEXES

LES « ONZE POINTS » RÉVISÉS

(13 juillet 1933)

Les « Onze points » avaient été adoptés comme base de principe de l’Opposition de gauche internationale à sa pré conférence de février 1933. La révision en était rendue nécessaire par le tournant vers le « nouveau parti » en Allemagne et surtout par la décision de se mettre à la construction d’une nouvelle Internationale. Trotsky rédigea ce nouveau texte — où le point 10 est le seul élément nouveau — en vue du plénum international qui devait l’adopter en septembre.

L’Opposition de gauche internationale se situe sur le terrain des quatre premiers congrès de l’I.C.. Cela ne signifie pas qu’elle s’incline devant chaque lettre de leurs décisions, dont beaucoup n’ont eu qu’un caractère temporaire, et qui, dans leurs conséquences pratiques, pour certaines, ont été réfutées par la pratique ultérieure. Mais tous les principes essentiels (rapport à l’impérialisme et à l’État bourgeois, là dictature du prolétariat, la paysannerie et les nations opprimées, les soviets, le travail dans les syndicats, le parlementarisme, la politique du front unique), demeurent aujourd’hui encore l’expression la plus élevée de la stratégie prolétarienne à l’époque de la crise générale du capitalisme.

L’Opposition de gauche rejette les décisions révisionnistes des 5e et 6e congrès mondiaux et considère qu’il faut reformuler le programme de l’I.C. dans lequel l’or du marxisme a été complètement dévalué par l’alliage centriste.

Conformément à l’esprit et à la lettre de ces décisions, l’Opposition de gauche pose les principes suivants, les développe sur le plan théorique et les réalise en pratique :

1) L’indépendance du parti prolétarien, toujours et dans toutes les conditions, la condamnation de la politique avec le Kuomintang[21] en 1924-28, la condamnation de la politique du comité anglo-russe de Staline en 1924-28, la théorie de partis ne reposant pas sur une classe (ouvriers et paysans) et toute la pratique basée sur cette théorie, condamnation des congrès d’Amsterdam dans lesquels le P.C. s’est dissous dans le marais centriste.

2) La reconnaissance du caractère international et par là permanent de la révolution prolétarienne, le rejet de la théorie du socialisme dans un seul pays comme de la politique du national bolchevisme qui la complète en Allemagne[22] (la théorie de la « libération nationale »).

3) La reconnaissance de l’État soviétique comme un État ouvrier en dépit de la dégénérescence croissante du régime bureaucratique, l’exigence inconditionnelle que tous les travailleurs défendent l’État soviétique contre l’impérialisme et contre les agents de la contre-révolution à l’intérieur.

4) Condamnation de la politique économique de la fraction stalinienne, aussi bien dans sa phase d’opportunisme économique de 1923 à 1928 (lutte contre les superindustrialistes et tout jouer sur les kulaki[23], comme dans sa phase d’aventurisme économique de 1928 à 1932 (rythme suraccéléré de l’industrialisation, collectivisation radicale, liquidation administrative des kulaki en tant que classe), condamnation de la criminelle légende bureaucratique selon laquelle « l’État soviétique est déjà entré dans le socialisme » ; reconnaissance de la nécessité d’un retour à l’économie politique réaliste du léninisme.

5) Reconnaissance de la nécessité d’un travail communiste systématique dans les organisations prolétariennes de masse, particulièrement dans les syndicats réformistes, condamnation de la théorie et de la pratique de l’organisation de l’I.S.R. en Allemagne et autres constructions semblables dans les autres pays[24].

6) Rejet de la formule de la « dictature démocratique des ouvriers et des paysans » en tant que régime séparé, distinct de la dictature du prolétariat qui entraîne derrière elle les masses paysannes et les opprimés en général, rejet de la théorie antimarxiste de la « transcroissance » pacifique de la dictature démocratique en dictature socialiste.

7) Reconnaissance de la nécessité de mobiliser les masses sous des mots d’ordre de transition correspondant à la situation concrète dans chaque pays et particulièrement sur des mots d’ordre démocratiques, quand il s’agit de lutte contre les rapports féodaux, l’oppression nationale ou les différentes espèces de dictature impérialiste ouverte (fascisme, bonapartisme, etc.).

8) Reconnaissance de la nécessité de développer une politique de front unique vis-à-vis des organisations de masse de la classe ouvrière, tant syndicales que politiques, y compris la social démocratie en tant que parti. Condamnation du mot d’ordre ultimatiste du « front unique à la base seulement » qui signifie en pratique le refus du front unique et par conséquent le refus de créer des soviets. Condamnation de l’application opportuniste de la politique de front unique comme dans le comité anglo-russe (bloc avec les dirigeants sans les masses et contre elles) ; double condamnation de la politique de l’actuel C.C. allemand qui com bine les mots d’ordre ultimatistes « à la base seulement » avec la pratique opportuniste des accords parlementaires avec les dirigeants de la social-démocratie.

9) Rejet de la théorie du social-fascisme et de toute la pratique en liaison avec elle, comme servant le fascisme d’un côté et la social-démocratie de l’autre.

10) Lutte pour le regroupement des forces révolutionnaires de la classe ouvrière mondiale sous le drapeau du communisme international. Reconnaissance de la nécessité de la création d’une Internationale communiste authentique capable d’appliquer les principes énumérés ci-dessus[25].

11) Reconnaissance de la démocratie du parti, non seulement en paroles, mais aussi en actes ; condamnation catégorique du régime stalinien de plébiscite (le fait que la volonté et la pensée du parti soient muselées, domination des usurpateurs, suppression délibérée de l’information dans le parti, etc.)

Les principes fondamentaux énumérés ci-dessus, qui sont d’une importance fondamentale pour la stratégie du prolétariat dans la période actuelle, mettent l’Opposition de gauche dans la position d’une hostilité irréconciliable à la fraction stalinienne qui domine actuellement l’U.R.S.S. et 1’1.C. La reconnaissance de ces principes sur la base des décisions des quatre premiers congrès de 1’1.C. est une condition indispensable pour l’admission d’organisations, groupes ou individus au sein de l’Opposition de gauche internationale.


Statuts de la IVe internationale, adoptés en 1938

-1- Tous les militants prolétariens et révolutionnaires du monde qui acceptent et appliquent les principes et le programme de la IV7 internationale se réunissent en une seule organisation mondiale sous une direction centralisée internationale et une même discipline. Cette organisation a le nom de IVe Internationale (Parti mondial de la révolution socialiste) et est réglée par les présents statuts.

-2- Dans tous les pays, les membres de la IVe Internationale s’organisent en partis ou ligues, qui constituent la section nationale de la IVe Internationale (Parti mondial de la révolution socialiste).

-3- Les sections nationales se constituent sur la plate forme et selon la structure organisationnelle définies et établies par le congrès de fondation de la IVe Internationale (septembre 1938). Dans sa plate forme, la IVe Internationale concentre l’expérience internationale du mouvement révolutionnaire marxiste, en particulier telle qu’elle ressort des conquêtes socialistes de la Révolution d’Octobre 1917 en Russie. Elle assimile et s’appuie sur toutes les expériences sociales progressives de l’humanité, qui conduisent à l’expropriation de la classe capitaliste et à la suppression finale des classes.

-4- Le régime intérieur de l’Internationale, à l’échelle locale, nationale et mondiale, est déterminé par les principes et la pratique du centralisme démocratique.

Les sections sont tenues d’observer les décisions et résolutions de la conférence internationale et, dans l’intervalle, du Comité exécutif international, représenté dans l’intervalle de ses sessions par le secrétariat international, tout en conservant le droit d’appel devant les instances immédiatement supérieures jusuq’à la prochaine conférence internationale.

-5- Les sections nationales doivent verser une cotisation régulière (mensuelle ou trimestrielle) à la trésorerie du Secrétariat international destinées au fonctionnement des organismes internationaux, qui sera proportionnelle au nombre de ses adhérents.

-6- Dans chaque pays, il ne peut y avoir qu’une seule section de la IVe Internationale, c’est à dire qu’une seule organisation dans chaque pays peut être régulièrement affiliée à la IVe Internationale.

La procédure pratique et les mesures pratiques pour la formation et la reconnaissance de nouvelles sections nationales dans les pays où elles n’existent pas seront établies par le Comité exécutif international pour chaque cas particulier, et soumises à la ratification de la Conférence internationale. La fusion d’une organisation évoluant vers la IVe Internationale et d’une section nationale pourra être réglée par le Secrétariat international et soumis à la décision du Comité exécutif international.

-7- L’instance suprême de la IVe Internationale à l’échelle mondiale est la conférence internationale, qui fixe la politique de l’Internationale et des sections dans toutes les questions politiques importantes, adopte les résolutions et tranche en dernière instance les questions d’organisation et les conflits intérieurs.

La Conférence internationale sevra se réunir au moins tous les deux ans. Elle sera convoquée ordinairement par le CEI et sera composée des délégués, ou de leurs représentants mandatés, de toutes les sections. Elle pourra être convoquée extraordinairement sur demande de plus d’un tiers des sections nationales.

-8- Dans l’intervalle entre les conférences internationales, la direction internationale est confiée au CEI, composé de 15 membres, appartenant aux sections nationales les plus importantes et élus par la Conférence internationale.

Le CEI se réunit au moins une fois tous les 3 mois, pour examiner le travail du Secrétariat international et délibérer sur les problèmes les plus importants. Les délibérations du Secrétariat international ne sont susceptibles d’appel que devant le CEI ou la Conférence internationale. Le CEI peut être convoqué extraordinairement par décision majoritaire du SI ou par demande d’au moins 3 directions nationales.

Le CEI est responsable devant tout l’Internationale de l’exécution des décisions et l’application de la ligne politique adoptés par la Conférence internationale.

-9- Une section nationale peut proposer la révocation ou la substitution d’un de ses membres appartenant au CEI. Cette mesure doit être approuvée par le vote majoritaire des membres du CEI .

-10- Le travail administratif et politique quotidien , ainsi, que les liaisons régulières avec les sections, est assuré par un Secrétariat international, composé de 5 membres résidant au siège du secrétariat, choisis dans leur majorité parmi les membres du CEI et par celui-ci.

Le SI aura au moins un camarade permanent dont l’activité sera entièrement consacrée au travail du SI et dont l’appointement sera assuré par les contributions des sections. Le SI édite un bulletin régulier mensuel, au moins en langue française, anglaise et allemande eu nom du CEI.

-11- Les membres du SI peuvent être remplacés par décision majoritaire du CEI, qui aura aussi le droit d’appeler à son travail des collaborateurs qualifiés.

-12- Dans le but d’assurer une meilleure liaison et une plus grande cohésion organisationnelle et politique entre les pays des continents éloignés du siège du SI, il est prévu la constitution de sous-secrétariats chargés des mêmes tâches que le SI, mais soumis à la même juridiction de celui-si.

La constitution de ces sous-secrétariats est décidée dans les cas concrets par décisions de la Conférence internationale, et en l’absence de celle-ci par le CEI.

-13- Le CEI a le droit de prononcer, après examen et consultation des intéressés , l’exclusion de sections ou de membres individuels de la IVe Internationale. Les décisions d’exclusion sont exécutoires, bien que les intéressés conservent le droit d’appel devant la Conférence internationale.


Statuts actuels adoptés par le XV Congrès mondial, 2003

PREAMBULE

1. La 4° Internationale - organisation internationale luttant pour la révolution socialiste - est composée de sections, de militants qui acceptent et appliquent ses principes et son programme. Organisés en sections nationales, ils sont unis dans une seule organisation mondiale, agissant en commun sur les grandes questions politiques, et débattant librement dans le respect des règles de la démocratie.

2. Son but est de favoriser la prise de conscience politique et d’aider à l’organisation de l’activité du prolétariat et des autres classes exploitées par l’impérialisme dans tous les pays, pour abolir le capitalisme avec son oppression, sa misère, son insécurité ses guerres et ses effusions de sang. Elle cherche à établir une société socialiste démocratique, fondée sur le principe que « l’émancipation de la classe ouvrière et de tous et toutes les opprimé(e)s et exploité(e)s sera l’œuvre des travailleurs et travailleuses eux-mêmes », première étape vers une société future sans classe. Pour assurer, dans une économie démocratiquement planifiée, une paix définitive, l’égalité sociale, la défense de l’environnement, la lutte contre toutes les oppressions, la solidarité humaine.

3. La 4° Internationale cherche à incorporer dans son programme les expériences sociales progressistes de l’humanité. Elle se base, en les maintenant vivants, sur les acquis du mouvement marxiste révolutionnaire en tirant les leçons indispensables : de la Commune de Paris ; de la Révolution d’Octobre 1917 en Russie ; des acquis et les débats des quatre premiers congrès de la Troisième Internationale ; de la lutte et de l’élaboration de l’Opposition de Gauche au stalinisme ; du Programme de Transition adopté par son congrès fondateur en 1938 et des documents programmatiques essentiels adoptés depuis lors pars ses congrès.

4. C’est avec cette démarche transitoire, partant des luttes immédiates jusqu’à la rupture avec le capitalisme et les bureaucraties, que la Quatrième Internationale se tourne vers l’avenir en se battant pour :
• le combat sans relâche pour les revendications immédiates et transitoires des salarié/es ;

• le combat pour les droits démocratiques et les libertés publiques ;

• le combat pour la rupture révolutionnaire avec le capitalisme ; pour le remplacement de l’État bourgeois par l’administration étatique des producteurs eux-mêmes ; pour la transcroissance, dans les pays dominés, des luttes démocratiques et nationales en luttes révolutionnaires anticapitalistes ;

• le combat pour un socialisme démocratique, fondé sur la propriété sociale des moyens de production sociaux, l’auto-organisation des travailleurs/ses, l’autodétermination des populations et la garantie des libertés publiques, avec séparation des partis et de l’État ;

• le combat pour l’unité du mouvement populaire de masse et de la classe ouvrière, sur des bases démocratiques respectant le pluripartisme, la diversité des tendances et assurant l’indépendance vis-à-vis de la bourgeoisie et de l’État ;

• le combat pour l’extension des formes d’auto-organisation et le respect des droits démocratiques dans les luttes ;

• le combat contre toutes les bureaucraties parasitaires (staliniennes, sociales-démocrates, syndicales, nationalistes, etc.) qui dominent les organisations de masses ;

• le combat contre l’oppression des femmes et pour un mouvement autonome des femmes ;

• le combat contre l’oppression des homosexuels et des lesbiennes, et toutes les formes d’oppression sexuelle ;

• le combat contre l’oppression nationale, pour le respect du droit à l’autodétermination et à l’indépendance des peuples opprimés ;

• le combat contre le racisme et toutes les formes de chauvinisme ;

• le combat contre les fondamentalismes religieux et pour la séparation de la religion et de l’État ;

• le combat écologique dans l’optique anticapitaliste et anti-bureaucratique ;

• le combat pour l’internationalisme militant et la solidarité anti-impérialiste internationale, pour la défense des intérêts des masses travailleuses dans tous les pays, sans exclusive, sans sectarisme et sans subordination à des considérations diplomatiques ou utilitaires ;

• le combat pour la construction de partis révolutionnaires, prolétariens, féministes et démocratiques, des partis de membres actifs où les droits d’expression et de tendance sont reconnus et protégés ;

• le combat pour la construction d’une Internationale révolutionnaire de masse, pluraliste.

5. Les sections nationales constituent les unités organisationnelles de base de la Quatrième Internationale. Le but de chaque section nationale est de rassembler toutes les forces qui partagent nos buts communs pour construire un parti marxiste révolutionnaire de masse capable de jouer un rôle décisif dans la lutte de classe dans le pays vers une victoire socialiste. Le développement de ses sections nationales est le moyen par lequel la Quatrième Internationale cherche à atteindre son but émancipateur, étant donné qu’une organisation internationale ne peut remplacer ou se substituer à une section nationale pour agir dans une révolution.

CHAPITRE I – LES SECTIONS

Art. 1 – L’Internationale est composée de sections nationales qui adhérent aux principes exposés dans le préambule de ses statuts, participent à ses activités et à sa vie organisationnelle et s’acquittent de la cotisation convenue. Les sections nationales sont ancrées dans la réalité des luttes de classes de leur pays, tout en construisant ensemble l’Internationale, y compris en y affectant des militant/es et des moyens matériels. Les cotisations qui doivent être acquittées font l’objet d’un accord avec les directions de sections, prenant en compte leurs ressources financiers.

Art. 2 – Les sections de l’internationale intègrent la ligne politique décidée par l’Internationale à leur pratique politique par leur libre consentement. Les sections peuvent exprimer publiquement leurs positions propres à condition toutefois de ne pas transgresser la double ligne de démarcation anticapitaliste et anti-impérialiste. Une section de la Quatrième Internationale a néanmoins le devoir de rendre publique les résolutions adoptées par les instances dirigeantes de l’Internationale. Il peut proposer au Congrès mondial suivant de changer ces positions.

Art. 3 – L’efficacité de l’Internationale exige que les rangs des révolutionnaires s’identifiant à la Quatrième Internationale soient unifiés dans chaque pays. Pour cette raison, les membres de l’Internationale doivent agir pour qu’une telle unification ait lieu dans le sein d’une section unifiée de l’Internationale. Cette section peut être une organisation indépendante ou un courant au sein d’un parti unifié des forces anticapitalistes, dans lequel les membres de l’Internationale peuvent militer sans renoncer à leur identité programmatique.

Dans les pays où une section de l’Internationale a été reconnue par le Congrès mondial, la direction de l’Internationale mènera des rapports avec d’autres forces politiques en accord avec la section.

Les membres de sections nationales élus à des organismes parlementaires bourgeois doivent suivre les lignes directrices établies par leur section nationale et rendre compte aux instances de direction et les congrès des formations qu’ils représentent.

Art. 4 - La vie interne des sections doit s’inspirer des principes et des normes démocratiques garantissant la participation collective aux discussions, décisions et au contrôle sur l’application des décisions, et créant un climat tel que toutes et tous les camarades se sentent en position de participer sur une base de respect mutuel.

Ces normes et principes comportent :

a) que les informations, les projets, les textes adoptés sont portés à la connaissance de tout le monde ;

b) que les mandats impératifs aux délégués sont interdits : c’est-à-dire, quelle que soit la prise de position d’une instance élective, ses délégués doivent être libre de voter selon leur conscience et leurs convictions à la lumière des discussions à un congrès ou une conférence ;

c) que des compte-rendus sont faits immédiatement par les délégué(e)s ayant été élu(e)s à des congrès locaux, nationaux ou internationaux ;

d) que sont prises les mesures nécessaires pour que les droits démocratiques soient effectivement exercés sans qu’aucune catégorie ou aucun secteur de membres ne subisse dans la pratique de discrimination socioculturelle, de genre ou de n’importe quelle autre nature, y compris le droit à l’auto-organisation sur la base de l’oppression de genre, sexuelle, nationale, raciale ou autre.

Art. 5 – Les sections de l’Internationale reconnaissent et pratiquent dans leurs rangs le droit de tendance et de fraction, c’est-à-dire : le droit pour les minorités politiques de se réunir afin d’organiser la défense de leur point de vue dans les débats internes à l’organisation ; le droit pour ces minorités d’exprimer leur opinion propre à l’intérieur de l’organisation, voire publiquement dans des canaux agréés par les instances dirigeantes de l’organisation ; leur droit d’être représentées dans ces mêmes instances ; leur droit à la représentation proportionnelle dans les congrès de l’organisation ; leur droit à communiquer leur opinion à l’Internationale. Les tendances minoritaires ont le devoir de respecter l’unité et la discipline de l’organisation dans l’exécution pratique des décisions politiques majoritaires.

Art. 6 – Les membres ayant à répondre d’une action disciplinaire ont le droit de prendre connaissance à l’avance des accusations portées contre eux par écrit. Ils/elles auront également le droit de présenter leur défense. Quand il est possible les camarades auront le droit d’être confronté(e)s à leurs accusateurs. Tout membre ou groupe de membres de l’Internationale, ayant fait l’objet d’une sanction de la part d’une section nationale et ayant épuisé les voies de recours à sa disposition dans le cadre de la section, peuvent saisir l’Internationale. L’Internationale établira une commission ad hoc pour enquêter et rapporter à l’instance dirigeante appropriée qui se prononcera sur la sanction contestée, s’il y a lieu. Les sections doivent accepter les décisions de l’Internationale en matière disciplinaire. Le non-respect des normes organisationnelles est incompatible avec l’affiliation à l’Internationale. Toutefois, une section nationale exposée à une décision disciplinaire émanant d’une instance internationale intermédiaire peut faire appel auprès de l’instance supérieure de l’Internationale.

Art. 7 - Dans la reconnaissance que dans des conditions différentes il y aura des organisations qui soutiennent la Quatrième Internationale et qui ne sont pas encore en mesure de ou prêtes à assumer les responsabilités d’une section, le Congrès mondial ou son CI élu peut accorder le statut formel d’organisation sympathisante à de tels groupes. Les organisations sympathisantes doivent rendre publiques les orientations et promouvoir la presse de la Quatrième Internationale, soutenir et participer aux activités internes et externes de la Quatrième Internationale et verser des cotisations suivies à la Quatrième Internationale.

Les représentants d’organisations sympathisantes seront invités aux réunions du CI et au Congrès mondial où ils auront le droit de parole et le droit à une voix consultative dans les cas où l’organisation répond aux critères de cotisation formelle.

Le but du statut formel d’organisation sympathisante est de jeter un pont en direction du développement de sections nationales dans les pays concernés.

Art. 8 – Les organisations qui partagent les orientations de lutte de l’Internationale, mais qui soit ne souhaitent pas y adhérer formellement peuvent obtenir un statut d’“observateur permanent”. Ce statut autorise à participer aux réunions d’instances internationales spécifiées pour chaque organisation, avec prise de parole, mais sans droit de vote.

CHAPITRE II – LES INSTANCES

Art. 9 – L’instance suprême de l’Internationale est son Congrès mondial, qui se réunit au moins une fois tous les cinq ans sur convocation du Comité International au moins six mois à l’avance, ce qui constitue la période minimale de débat préparatoire. Un congrès mondial peut être convoqué extraordinairement en tout temps par le CI ou sur la demande d’un tiers des sections.
Culminant un processus démocratique de discussion et d’élection des délégués dans les sections nationales. Il détermine les orientations politiques de l Internationale dans son ensemble, sur toutes les questions programmatiques. Dans les questions relatives aux sections nationales il sert d instance suprême d appel et de décision

Le Congrès est constitué par les délégations des sections nationales, représentées proportionnellement à leur force militante, avec une représentation minimale d’une personne pour chaque section quelle que soit sa taille.

Les voix d’une section peuvent être réparties entre les membres de sa délégation, si leur nombre est inférieur à sa représentation proportionnelle pour des raisons pratiques exceptionnelles. Inversement, deux personnes peuvent se partager la voix d’une section n’ayant droit qu’à une seule voix.

Art. 10 – Le Congrès se prononce à la majorité absolue de ses voix sur les questions politiques et organisationnelles, et à la majorité simple de ses membres, sans pondération des voix, sur les questions de procédure. Il se prononce à la majorité absolue sur l’affiliation de nouvelles sections et à la majorité des deux tiers sur toute désaffiliation de section. Il est seul habilité à amender ou modifier les statuts de l’Internationale, à la majorité des deux tiers.

Art. 11 - Le Congrès mondial élit une instance de 3 ou 5 camarades, de sections différentes, qui ne sont pas membre des instances de direction de l’Internationale, jouissant chacun(e) du respect de la part des militants de l’Internationale, pour constituer une “Commission de Recours”. Elle examine les cas d’indiscipline ou d’infraction à notre éthique dans l’Internationale, soit sur la demande du Comité international, soit de sa propre initiative, et des plaintes concernant les procédures suivies par les instances internationales. La Commission de recours doit comprendre un nombre suffisant de femmes pour être en mesure de siéger comme instance composée uniquement de femmes dans le cas où l’on en ait fait la demande dans tout cas pertinent porté devant la Commission de recours. Elle rapporte au Comité International et recommande les mesures à prendre. Elle est responsable devant le Congrès mondial qui suit celui qui l’a élue.

Les mesures disciplinaires incluent suspension et exclusion de l’Internationale.

Art. 12 – L’instance supérieure entre deux réunions du Congrès mondial est le Comité international qui se réunit normalement deux fois par an. Il est élu par le Congrès mondial des représentants des sections, prenant en compte également les besoins des activités centrales de l’Internationale et de respecter l’objectif d’au moins 50% de camarades femmes et de ne jamais tomber en dessous de 30%. Les sections qui n’ont pas de membre du Comité International peuvent néanmoins s’y faire représenter par une personne à titre d’observateur. Une section peut demander le remplacement à titre provisoire ou définitif des membres de sa délégation élus par le Congrès. Ce remplacement doit être ratifié par le Comité. Les principes de la répartition des voix entre les membres des délégations sont les mêmes qu’au Congrès mondial. Les élections aux instances dirigeantes sont nominales et par bulletin secret.

Art. 13 – Le Comité international se prononce sur les questions politiques et organisationnelles à la majorité absolue des voix représentées lors du vote. Elle se prononce à la majorité simple des personnes présentes, sans pondération des voix, sur les questions de procédure. Elle se prononce à la majorité absolue sur l’admission d’organisations à statut d’observateur permanent, en spécifiant les instances auxquelles ces organisations sont invitées en permanence. Elle élit les membres du Bureau exécutif, des autres sous-commissions et la désignation des permanent(e)s à la majorité absolue des voix représentées.

Art. 14 – Le Bureau exécutif se réunit entre les réunions du Comité international pour suivre l’application des décisions du CEI précédent et préparer le prochain. Il est responsable devant le CI de ses décisions. Il n’est pas habilité ordinairement à prendre des décisions politiques ; en cas d’urgence, il peut néanmoins consulter les sections représentées au Comité international et publier au nom de celui-ci toute position qui recueillerait l’approbation de la majorité absolue des membres de droit du CI. Il ne peut pas voter de décisions sur les questions disciplinaires, mais peut néanmoins formuler son avis à titre indicatif.

Il est chargé de veiller à l’application des décisions du CI, à la bonne gestion des organes pratiques de l’Internationale (presse, formation, coordinations régionales et sectorielles) et à la préparation des réunions du CI et le travail de l’appareil.

Art. 15 – Le CI est donc responsable, par l’intermédiaire des instances qu’il désigne, pour la publication de la presse officielle de l’Internationale - si possible en trois langues, anglais, espagnol et français - qui publiera les documents essentiels des congrès mondiaux et des instances de l’Internationale, des articles et documents sur les événements internationaux et la vie des sections et se fera le relais des campagnes internationales.

Il est responsable de la même façon pour la publication d’un bulletin interne. Le CI établira les modalités pour la publication de ce bulletin dans la période de discussion précédant un Congrès mondial afin de publier les documents préparatoires, les textes soumis aux votes des instances, les articles de discussion permettant à chaque position de s’exprimer.

Art. 16 – Le CI est responsable du contrôle de la gestion financière de l’Internationale par des rapports réguliers à ses réunion et son adoption des bilans financiers et des budgets prévisionnels. Il désignera une commission composée des membres du CI à chaque réunion qui contrôlera les comptes.

La gestion financière quotidienne est la responsabilité du Bureau exécutif.

Les cotisations, les souscriptions et les contributions volontaires et la vente de notre matériel sont les sources de revenu pour l’Internationale.

Art. 17 – Tout ce qui n’est pas prévu par les présents statuts sera déterminé par des règlements spéciaux que chaque Congrès pourra réviser.


Notes


[1]Son dernier congrès s’est tenu à Madrid en 2022, son secrétaire général est Pedro Sanchez, elle tient des réunions régulièrement

[2]C’est moi qui souligne

[3]Ernest Mandel « Sur les partis d’avant-garde » lors d’un colloque sur le « Centenaire de Marx » organisé à l’Université de Manitoba https://ernestmandel.org/?Sur-les-partis-d-avant-garde

[4]http://revueperiode.net/vers-un-nouveau-depart-une-alternative-au-parti-de-masse-en-miniature/

[5]Lettre de Marx à Johann Baptist von Schweitzer 13 octobre 1868

[6]Daniel Bensaid Préface à Combats et débats de la IVe Internationale Entre histoire et mémoire

[7]Politique qui va conduire à la défaite de la deuxième révolution chinoise (1925-1927), au moment ou la lutte des classes divise le processus révolutionnaire engagé en 1911. L’écrasement des l’insurrection de Shanghai et de Canton, du soulèvement de NanChang, par les armées du Guomingdang représentant les intérêts de la bourgeoisie chinoise, causera le massacre de 38 000 communistes, le PC chinois exsangue se réfugie dans les zones rurales où se met en place un pouvoir rouge, lui aussi harcelé, provoquant la « longue marche » à partir de 1934

[8]Daniel Bensaid Les années de formation de la Ivème internationale cahier IIRF n° 9 1988 page 7

[9]Id p 10

[10]Id p 11

[11]Id p11 et 12

[12]Id p19

[13]Toujours Prêts Pour Servir

[14]Son fils Léon Sedov meurt dans des circonstances troubles lors d’une hospitalisation à Paris en 1938

[15]Compte rendu des textes, délibérations, de la conférence dans « Les congrès de la quatrième Internationale » ed La Brèche 1978 tome 1 Naissance de la IVe Internationale 1930-1940 page 203 et suivantes

[16]https://www.marxists.org/francais/trotsky/livres/trans/tran.htm

[17]https://www.marxists.org/francais/pablo/works/1988/12/IV.htm

[18]Daniel Bensaid Les années de formation de la Ivème internationale cahier IIRF n° 9 1988 page 24

[19]Id page 26

[20]Léon Trosky, œuvres complètes Janvier février 1936 Page 184

[21] Il s’agit de la politique de subordination au parti nationaliste chinois du P.C. dont les membres y étaient entrés individuellement

[22] On appelle « national-bolchevisme » la politique d’identification entre les intérêts de l’Allemagne « nation-prolétaire » et ceux de la Russie soviétique

[23] Les Kulaki—ou paysans aisés— constituaient la base de la politique de ranimation du marché à partir des surplus de grains qui était à la base de la Nep et prévalut jusqu’en 1928.

[24] Il s’agit de la construction de syndicats « rouges », en d’autres ternies d’une politique de scission syndicale.

[25]Ce paragraphe est le seul nouveau par rapport au texte de la préconférence de février.

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CC by-nc-sa


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