Jean-Michel Krivine a commencé à travailler régulièrement pour Inprecor il y a vingt ans. Un jour, il est venu pour me dire qu’il y avait trop de fautes d’orthographe et de grammaire dans la revue Inprecor. Que pour un journal sérieux c’était inacceptable. Il est vrai que la langue maternelle (…)