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Catastrophes écologiques d’hier et d’aujourd’hui : la fausse métaphore de l’île de Pâques

mardi 18 septembre 2007, par TANURO Daniel

  
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Si les économistes du 19e siècle aimaient les robinsonnades, un certain courant de l’écologie contemporaine raffole des « île-de-pâqueries ». Certains, en effet, croient avoir trouvé dans l’histoire de cette île l’archétype de la catastrophe environnementale qui nous menace. L’effondrement de la civilisation pascuane, selon eux, découlerait de l’entêtement des indigènes à détruire leur écosystème aussi sûrement que nous détruisons la biosphère. Ainsi, entre ces Polynésiens et nous, il n’y aurait qu’une différence d’échelle : leur stupidité était locale, la nôtre est planétaire. A moins de réfréner la croissance démographique qui nous amène à perturber toujours plus les cycles naturels, le sort qui nous attend serait semblable en tout point à celui qu’ils ont subi : l’écocide, l’effondrement environnemental ramenant brutalement la population au niveau compatible avec la « capacité de charge » de la Terre. C’est peu dire que ce discours entre en résonance avec les craintes suscitées – à juste titre ! – par les bulletins de santé de la planète. Mais, au lieu de pointer la responsabilité de l’économie de marché productiviste et de la politique néolibérale, il dévie la prise de conscience écologique vers de vieilles recettes malthusiennes, peintes en vert pour la circonstance.

  Sommaire  
  • Ecocide ou génocide ?
  • « révisionnisme environnemental
  • Un plaidoyer convaincant, (...)
  • L’effondrement : une thèse (...)
  • L’écologie et l’Histoire (...)
  • Le capitalisme, rupture (...)

La thèse de l’écocide est défendue à large échelle par le géographe américain Jared Diamond, prix Pulitzer et membre dirigeant du World Wildlife Fund (WWF). Dans Collapse, son récent best-seller, Diamond met les crises environnementales d’hier et d’aujourd’hui en parallèle dans le but de nous faire comprendre les efforts à consentir volontairement si nous voulons éviter la catastrophe écologique [1]. Vu la fascination qu’il exerce, le cas pascuan occupe dans le tableau une place de choix.

 Ecocide ou génocide ?

Selon Diamond, l’écosystème de Rapa Nui (l’île de Pâques, en maori) aurait été complètement dévasté en quelques siècles par ses habitants. Les seuls grands arbres - une espèce de palmier - auraient été abattus jusqu’au dernier pour transporter les célèbres statues, les ressources halieutiques auraient été pillées, un sol fragile aurait été épuisé pour nourrir une population de plus en plus nombreuse et les oiseaux marins auraient été exterminés pour confectionner des parures de plumes. En fin de compte, incapable d’encore fabriquer de grandes pirogues pour pêcher en haute mer (puisqu’elle avait coupé tous les grands arbres) et confrontée à un déficit de production agricole, la population, affamée et excédentaire, aurait basculé dans la guerre interclanique, le cannibalisme et l’autodestruction, à telle enseigne que le nombre d’habitants aurait été divisé par cinq environ. Le drame se serait déroulé vers 1680, de sorte que les premiers Européens, arrivés en 1722, auraient trouvé une société prostrée, survivant au milieu des ruines de son écosystème et de son passé prestigieux. Diamond ne cache pas que l’île connut ensuite d’autres malheurs (raids de marchands d’esclaves et introduction de moutons dont le pacage acheva de dégrader la flore) mais cette « triste histoire peut être brièvement résumée », dit-il, (p. 111) car le mal, selon lui, avait déjà été fait par les Polynésiens eux-mêmes.

Grand maître du récit, l’auteur de Collapse utilise à merveille une masse de données si précises que son histoire devient non seulement cohérente et concevable, mais palpable dans sa dimension tragique. Et la magie opère : petit à petit émerge l’idée que le sort des Pascuans pourrait devenir le nôtre. Ce n’est qu’une question d’échelle : ils n’avaient qu’une seule île, nous n’avons qu’une seule planète ; ils ont détruit le biotope qui les hébergeait, nous détruisons la biosphère ; ils ont fait passer leurs croyances avant les impératifs d’une gestion rationnelle des ressources et d’une limitation des naissances… resterons-nous cramponnés à nos valeurs, qui mettent en danger notre survie ? Commettrons-nous non seulement un écocide mais un écosuicide ? La métaphore est complète, les questions sont posées, pas besoin même d’expliciter les réponses : l’île de Pâques est l’archétype de l’effondrement - « les parallèles entre l’île de Pâques et le monde moderne dans son ensemble sont froidement évidents », dit Diamond (p. 119) - nous voilà prévenus, à nous d’en tirer les conséquences.

Mais cette histoire dramatique est-elle conforme à l’Histoire ? Personne ne peut l’affirmer et certains le contestent. Pour l’ethnologue A. Métraux, dont les travaux sur Rapa Nui font autorité depuis plus d’un demi-siècle, le déclin pascuan ne découlait pas d’un écocide mais du fait que les habitants de l’île ont été victimes « d’ une des atrocités les plus hideuses commises par l’homme blanc dans les mers du Sud » [2]. Formulé avant qu’on ne s’intéressât à l’histoire écologique de l’île, ce jugement a pourtant été confirmé en 2003 par l’archéologue Paul Rainbird : « Quoiqu’il ait pu se produire dans le passé sur l’île de Pâques, quoiqu’ils (les indigènes) aient pu infliger à leur île et à eux-mêmes, cela ne pèse d’aucun poids comparé à l’impact qui allait découler du contact avec l’Occident » [3]. Quant au chercheur français Michel Orliac, il déplore que les « bêtises » proférées pour expliquer l’érection des statues de l’île aboutissent à enlever aux Polynésiens « la fierté de leur génie de bâtisseurs, d’écologistes, d’hommes comme les autres sur la terre, qui ont chacun leur talent » [4]. Ne cachant pas son irritation face à Collapse, l’anthropologue britannique Benny Peiser a synthétisé les arguments permettant d’affirmer que l’effondrement de la civilisation des moas découla du pillage colonial impitoyable du territoire (en premier lieu de ses ressources humaines) plutôt que de sa surexploitation aveugle par les Polynésiens. Au terme de sa démonstration, Peiser accuse carrément Diamond de maquiller un génocide en écocide et de transformer les victimes en coupables. C’est du

 « révisionnisme environnemental »

, s’écrie-t-il. [5]

 Un plaidoyer convaincant, mais…

Le plaidoyer est convaincant. Citant les témoignages de divers navigateurs, Peiser considère que les Pascuans étaient bien nourris et en bonne santé en 1722. C’est après que les choses auraient mal tourné, les raids esclavagistes ayant fait beaucoup plus de dégâts que ce que rapporte Diamond. Au moins 53 vaisseaux, sans doute davantage, auraient mouillé dans les eaux de l’île entre 1722 et 1862. Les quelques récits disponibles permettent de penser que beaucoup de ces incursions ont été extrêmement brutales : viols, enlèvements d’esclaves, assassinat de ceux et celles qui résistaient. L’année 1805 aurait vu le premier d’une série de raids meurtriers lancés sur l’île par les marchands d’esclaves péruviens. Au moins trois raids eurent lieu entre 1815 et 1825. Si beaucoup d’incertitudes entourent ces événements, il semble bien établi que 1000 à 1400 habitants - dont le roi Kamakoi et son fils - auraient été enlevés et vendus comme esclaves dans les mines péruviennes, entre décembre 1862 et mars 1863 (en trois mois !). 90% d’entre eux seraient morts de maladie, de mauvais traitement et d’épuisement. Face aux protestations internationales, le Pérou rapatria une centaine de rescapés, mais tous n’étaient pas originaires de l’île de Pâques et quinze d’entre eux seulement ne seraient pas morts de la variole sur le chemin du retour… Des raids encore plus barbares auraient ensuite repris pour se prolonger jusqu’en 1877. Tout au long de cette période, les maladies importées par les agresseurs auraient décimé la population locale (sur d’autres îles polynésiennes, ces maladies ont pu tuer jusqu’à 50% des indigènes). En fin de compte, les habitants sombrèrent effectivement dans de sanglantes luttes intestines, mais celles-ci auraient été le produit de la dislocation sociale sous les coups de boutoir du pillage colonial, pas de la surpopulation. En 1888, l’île ne comptait plus qu’une centaine d’habitants, que les autorités chiliennes parquèrent dans un camp.

Les « bons sauvages » seraient-ils au-dessus de tout soupçon écologique ? Non : l’anthropologue britannique ne nie pas que les Polynésiens aient pu dégrader sérieusement l’écosystème. Il lui semble notamment acquis qu’ils portent une responsabilité dans la disparition de la variété de palmier qui était le seul grand arbre de Rapa Nui. Mais rien, selon lui, ne permettrait de lier la déforestation à l’effondrement de la civilisation pascuane, comme le fait Diamond. « Après tout, les statues étaient toujours en place en 1722 », note-t-il. L’île abritait d’ailleurs une autre essence – Sophora toromiro – trop petite pour fabriquer de grandes pirogues, mais suffisante pour fournir les rondins de bois nécessaires au transport des statues. Or, ce Sophora n’a disparu qu’au 20e siècle, par suite du surpâturage des moutons introduits par la colonisation…

Du fait de l’engouement actuel pour la question écologique, la thèse d’un écocide provoqué par les habitants eux-mêmes suscite aujourd’hui, y compris au sein de la communauté scientifique, davantage de curiosité et de recherches que la thèse plus classique de crimes coloniaux. Peiser le déplore et note que cet intérêt ne fait que prolonger l’attitude empreinte de racisme de maints Occidentaux qui, à l’instar de Thor Heyerdahl, trouvaient inconcevable que des Polynésiens aient pu ériger les monuments qui font la renommée de leur île. « Ces gens-là ne peuvent pas avoir fait ça », disait-on jadis. « Ces gens-là ont été assez stupides pour scier jusqu’au bout la branche (ou plutôt la forêt) sur laquelle ils étaient assis », dit-on en substance aujourd’hui… Le parallèle est en effet troublant, et incite à se demander dans quelle mesure nos préoccupations contemporaines ne risquent pas de biaiser l’interprétation de certains événements historiques [6].

Cependant, une certaine prudence est de mise aussi face à une anthropologie sociale qui rechigne à intégrer la dimension environnementale dans l’histoire des sociétés. C’est que l’analyse du passé peut être biaisée non seulement par l’inquiétude écologique mais aussi par… le refus d’y céder. Le cas de Benny Peiser est d’ailleurs exemplatif. En effet, visiblement indisposé par ceux qui croient découvrir partout des changements climatiques susceptibles d’élucider toutes sortes d’énigmes historiques, Peiser, dans un autre texte, va jusqu‘à affirmer que le réchauffement planétaire actuel ne serait rien d’autre que « du nouveau vin versé dans les vieilles outres » par des « mouvements apocalyptiques ». Le seul réel danger pour l’humanité ne pourrait venir que d’un refroidissement climatique, selon lui, mais « le génie génétique, l’ingénierie du climat et d’autres technologies de mitigation » nous en prémuniraient, à la différence du passé. L’anthropologie n’est décidément pas incompatible avec un certain fétichisme technologique… [7]

 L’effondrement : une thèse inconsistante du point de vue de l’écologie

Que conclure de tout cela ? En l’absence de découverte archéologique ou historique décisive, on ne peut que se perdre en conjectures sur l’articulation précise des différents facteurs sociaux et environnementaux qui ont pu contribuer au déclin de la société pascuane. La dégradation de l’écosystème pascuan semble indiscutable (mais le dernier mot n’a probablement pas été dit sur la part relative dans cette dégradation des accidents naturels et de l’intervention humaine). Cependant, la thèse extrême de l’écocide ne résiste guère à l’analyse logique. D’un point de vue anthropologique, il serait somme toute étonnant qu’une société agraire qui vivait sous un régime de propriété collective des ressources, ne poursuivait aucun objectif de profit et témoignait apparemment d’un réel talent dans le domaine de la protection des sols – plusieurs pratiques agricoles décrites par Diamond en témoignent - ait creusé jusqu’au bout sa propre tombe écologique, sans dévier d’un pouce. Mais le plus intéressant est que cette thèse de l’écocide paraît fragile… quand on la discute du point de vue de l’écologie, sur son propre terrain. Peiser n’aborde pas cet aspect des choses, qui mérite donc quelques développements.

Que l’île ait connu une pression démographique relative, c’est probable. Il ne serait pas non plus étonnant que cette pression se soit traduite à un certain moment par une surexploitation des ressources, donc une dégradation de l’environnement et une sous-alimentation de la population : d’une manière générale, les sociétés pré-industrielles ont vécu dans un état de pénurie plus ou moins endémique, entraînant des mécanismes de prédation des écosystèmes, d’une part, et, d’autre part, des régulations par la faim, les maladies, les morts en couche, etc. Mais, de ce fait même, aucune de ces sociétés n’aurait pu se hisser au-dessus de ses capacités de production jusqu’à un niveau tellement élevé qu’il en aurait résulté un brusque effondrement, c’est-à-dire « une diminution drastique de la population humaine en taille et/ou en complexité politique/économique/sociale, sur une aire géographique étendue, pendant une longue période » (p. 3). Car enfin, s’effondrer n’est rien, c’est monter qui est difficile : comment, sur quelle base matérielle, la population se serait-elle élevée jusqu’au point de chute ? That’s the question.

Les chiffres, ici, ont toute leur importance. Jared Diamond cite des estimations de la population de Rapa Nui variant entre 6000 et 30.000 personnes. Sur base de fouilles qui révèlent les efforts des Pascuans en vue d’intensifier leur agriculture - mais sans s’avancer personnellement - il considère un effectif de 15.000 habitants comme « non suprenant » (unsurprising). En réalité, ce qui est « non suprenant », pour employer cette litote, c’est la préférence de Diamond pour un chiffre de cet ordre ! Son problème, en effet, est le suivant : d’un côté, miser sur 30.000 habitants serait par trop farfelu (on verra tout de suite pourquoi) ; de l’autre côté, un chiffre trop bas affaiblirait la thèse de l’écocide comme facteur déterminant, puisque personne ne nie que les raids esclavagistes et les maladies importées ont fait des milliers de victimes en quelques décennies. Coupons donc la poire en deux, se dit notre auteur : 15.000 est un chiffre « non surprenant ». [8]

Mais Hic rhodus, hic salta, voici le noeud : un effectif de 15.000 personnes sur une île de 165 km2 équivaut à une densité de 90 habitants par km2. Or, en dépit de toute son ingéniosité agricole, il semble très peu probable, pour ne pas dire exclu, qu’une société néolithique, ne connaissant pas la roue, ne disposant pas de bêtes de trait et n’ayant pas reçu de la nature la possibilité de développer un vaste système agraire hydraulique ait pu acquérir la productivité du travail permettant une telle densité de population. A titre de comparaison : 90 habitants par km2 équivaut quatre fois la densité de population de l’Europe tempérée au Moyen Age, trois fois celle de la Grèce et de l’Italie dans l’Antiquité, et près de deux fois celle de l’Europe tempérée au 16e siècle (après la découverte des engrais verts et la suppression de la jachère) [9]. La comparaison avec la situation actuelle des îles du Pacifique est instructive également : 45 hab/km2 aux îles Fidji, 65 à Samoa, 16 aux îles Solomon, 18 à Vanuatu, 13 en Nouvelle Calédonie, 153 à Tonga… et 18 à l’île de Pâques [10]. Selon une étude réalisée pour l’UNESCO, les densités de population des îles du Pacifique aujourd’hui sont en général à peu près cinq fois supérieures à ce qu’elles étaient avant l’arrivée des Européens [11]. Dès lors, comment les Pascuans auraient-ils pu être 15.000 au 16e-17e siècle ? En détruisant l’écosystème, en « mangeant leur capital nature » ? C’est la réponse de Diamond… Mais si l’écosystème se dégrade, sa productivité diminue, et les régulations de population opèrent petit à petit. Faudrait-il croire que les gens ont mangé les arbres qu’ils coupaient ? Serait-ce l’explication du fait qu’ils les aient coupés jusqu’au dernier, avant de s’entre-dévorer ?

 L’écologie et l’Histoire réconciliées ?

Paradoxalement, quoique moins séduisante à première vue pour des environnementalistes, la thèse du pillage colonial ramenant en quelques décennies une population de 2000 voire 4000 personnes à quelques centaines semble la plus raisonnable… quand on l’examine à la lumière du paradigme écologique. 4000 personnes équivaudraient à 24 habitants/km2, ce qui est nettement plus conforme aux forces productives d’une agriculture néolithique. (Cette thèse, répétons-le, n’est pas incompatible avec la dégradation infligée à l’écosystème de l’île par ses habitants.) Au-delà du paradoxe, la logique environnementale se réconcilie ainsi avec la logique historique : car enfin, est-il tellement difficile d’imaginer que le peuple de Rapa Nui ait été victime des héritiers de ces conquistadores qui avaient écrasé l’empire inca, quelques siècles plus tôt ? N’y a-t-il pas « deux poids et deux mesures » lorsque des Européens acceptent de considérer comme une hypothèse sérieuse que l’île de Pâques aurait pu être colonisée pour la première fois par des populations « indo-européennes » ayant transité par l’Amérique du Sud et venues des Andes à bord de radeaux (l’hypothèse Kon Tiki de Thor Heyerdahl), mais ne peuvent envisager que les descendants de Pizarro et de ses soudards soient venus enlever comme esclaves, massacrer et violer sans pitié quelques milliers de Polynésiens qui vivaient à l’âge de pierre ? Poser ces questions, c’est y répondre...

Le raisonnement ci-dessus invite à s’interroger aussi sur d’autres cas d’effondrement environnemental de sociétés anciennes analysés dans Collapse. Notons d’abord que le cas des 5.000 Vikings du Groenland, dont Diamond fait grand cas, doit être mis à l’écart puisque, selon l’auteur lui-même, l’effondrement de cette colonie s’expliquerait par l’incapacité et le refus de ses membres de changer leur mode de vie pour s’adapter au « Petit Age Glaciaire » : il s’agirait donc d’une catastrophe naturelle, pas d’une catastrophe écologique « anthropique ». Mais admettons que les Mayas, par exemple, se soient mis à défricher imprudemment les versants des collines pour faire face à des besoins alimentaires accrus, provoquant ainsi une sérieuse érosion des sols, comme l’affirment Diamond et d’autres chercheurs. Dès la deuxième ou la troisième année, la récolte aurait baissé en conséquence, et la régulation par la faim serait réapparue, ajustant la population aux possibilités historiques de l’écosystème… et rendant par conséquent impossible qu’elle dépasse de deux ou trois fois les possibilités de celui-ci, donc qu’elle subisse un effondrement, au sens que Collapse donne à ce terme.

Dans une certaine mesure, l’« ile-de-pâquerie » se retourne contre ses auteurs puisque c’est le caractère strictement limité de Rapa Nui qui nous aide à saisir le défaut fondamental de la thèse « collapsiste ». Pour tenter une généralisation concernant les sociétés pré-industrielles, on dira qu’un groupe humain peut connaître une surpopulation relative qui, faute d’une hausse de la productivité du travail, ou du fait d’un accroissement de la productivité par des procédés inadéquats, l’amène à dégrader son environnement et même à le dégrader très gravement. S’enclenche alors un cercle vicieux de crise environnementale et de crise sociale : la disette s’installe, les ressources sont exploitées au-delà des possibilités de renouvellement (on abat les arbres pour nourrir le bétail, par exemple, de sorte que le sol, privé de la protection des racines et de celle du couvert, s’érode davantage), des gens meurent de faim, etc. En fin de compte, il se peut que le territoire doive être abandonné et que la collectivité ne trouve pas à s’installer ailleurs parce que des groupes rivaux la massacrent. En ce sens-là, une crise environnementale d’origine anthropique peut contribuer à une crise de civilisation. Cela ouvre un champ de recherches fécond sur l’importance relative des facteurs écologiques dans les phénomènes de crise sociale. Mais ce qui ne semble vraiment pas possible, c’est qu’un groupe humain dépasse de deux ou trois fois et pendant une génération ou plus la densité de population correspondant au niveau de développement des forces sociales avec lesquelles il utilise les ressources naturelles pour produire son existence sur un territoire donné. Or, c’est précisément cette hypothèse qui est à la base du scénario extrême de l’effondrement environnemental provoqué par l’activité humaine.

Pour éviter que cette tentative de généralisation ne suscite un malentendu, il semble essentiel de bien souligner la différence entre une situation de dégradation environnementale provoquée par l’activité humaine, avec surpopulation relative et tension sur les ressources, d’une part, et, d’autre part, un effondrement environnemental au sens où l’entend Diamond, c’est-à-dire un recul drastique de la population (de l’ordre de l’hécatombe provoquée dans l’Europe médiévale par la Grande Peste) et/ou de la complexité sociale (sur le mode de l’écroulement de l’empire romain d’Occident). Il ne fait aucun doute, répétons-le, que des sociétés précapitalistes aient connu des situations du premier type. Par contre, le scénario de l’effondrement ne paraît concevable qu’en tant que résultat d’un changement important et assez soudain dans les conditions naturelles [12] (sécheresse prolongée, succession de phénomènes météorologiques extrêmes, éruption volcanique, etc.). En l’absence de changements de ce genre, on voit mal en effet comment la population pourrait être mise brusquement en porte-à-faux important par rapport aux possibilités du milieu, au point de s’effondrer soudainement.

Le débat ne porte donc pas sur la possibilité que des changements dans les conditions naturelles aient pu entraîner dans certains cas une crise économique, sociale, voire politique et institutionnelle. En particulier, dans la mesure où la classe dominante des sociétés agraires exerce son pouvoir en partie par des moyens religieux (en prétendant que ses prières et ses offrandes permettent de garantir de bonnes récoltes), il est concevable qu’un déficit grave au niveau de la production agricole, dû à un changement climatique par exemple, transcroisse en crise politique et institutionnelle. Peut-être l’effondrement des cités mayas est-il explicable de la sorte, puisque la région semble avoir été frappée par une sécheresse prolongée ? C’est une hypothèse intéressante, et les environnementalistes ont le mérite de l’avoir formulée et étayée par leurs recherches. Mais ce n’est qu’une hypothèse et, si la sécheresse est principalement en cause, on n’est pas dans le cas de figure d’un effondrement environnemental provoqué par l’activité humaine : c’est d’accident naturel qu’il s’agit. Or, contrairement à ce que Diamond semble penser, le nombre de victimes d’un accident naturel ne prouve pas que la population avant l’accident excédait la « capacité de charge » de l’écosystème…

 Le capitalisme, rupture radicale

Venons-en maintenant à la situation actuelle, puisque tel est le but de la métaphore « collapsiste ». Dans une certaine mesure, oui, la Terre est comparable à l’île de Pâques : elle est isolée, a une superficie limitée, intercepte une part limitée du rayonnement solaire, sa biosphère a une capacité photosynthétique limitée [13], ses ressources halieutiques sont limitées, l’écorce terrestre contient des quantités limitées de richesses minérales, etc, etc. Ce qui a été dit des sociétés anciennes, qui étaient locales, peut donc être transposé à notre monde globalisé : de même que la population de Rapa Nui n’a pas pu, tout en massacrant son écosystème, s’élever jusqu’à 15.000 habitants pour retomber ensuite brutalement à 2.000 ou 3.000 individus, de même la population du globe ne peut-elle pas, tout en saccageant la biosphère, s’élever jusqu’au double, au triple ou au quadruple de l’effectif soutenable pour s’écrouler ensuite dans une espèce d’apocalypse. Le mode de développement de l’humanité peut dégrader l’environnement plus ou moins gravement, une surpopulation relative peut apparaître (les deux choses ne vont pas nécessairement de pair !), des situations tragiques et barbares peuvent en découler -aggravées du fait de la division de la société en classes-… mais la population ne peut pas excéder substantiellement le niveau correspondant à la force productive de son mode de production.

Faut-il en conclure benoîtement que nous ne courons aucun risque d’effondrement environnemental ? Non ! Un tel risque existe aujourd’hui : une confrontation militaire impliquant des engins nucléaires ou d’autres armes de destruction massive pourrait détruire la civilisation. Mais il va de soi que cette catastrophe « environnementale » - que Diamond n’évoque même pas – ne serait pas la simple reproduction à grande échelle de ce que les Pascuans sont supposés avoir fait à leur île ! Elle ne serait pas davantage le produit inévitable de la croissance démographique qui, selon Collapse, sous-tend inéluctablement la dégradation des écosystèmes depuis que notre maudite espèce est apparue sur la Terre. En d’autres termes, cette catastrophe ne se placerait pas sous le signe de la continuité des atteintes à l’environnement, mais sous celui de la rupture radicale, de la nouveauté absolue : ce n’est pas Homo sapiens qui est coupable, c’est la société capitaliste et productiviste. Basée sur la concurrence entre les propriétaires de moyens de production et sur la lutte entre les Etats, elle a développé les forces destructives à un point tel que l’Humanité, pour la première fois de son histoire, pourrait effectivement s’effondrer par suite d’une catastrophe environnementale « d’origine anthropique ». La technologie nucléaire pourrait même rayer notre espèce de la Terre, rivalisant ainsi avec la plus grande catastrophe naturelle connue : la chute de l’astéroïde géant qui a probablement provoqué la fin des dinosaures en percutant la planète, il y a soixante millions d’années…

Les autres grands problèmes environnementaux – le trou dans la couche d’ozone, le changement climatique, l’empoisonnement chimique, le déclin de la biodiversité – pourraient-ils avoir le même genre de conséquences ? Eux aussi sont d’une nouveauté radicale par rapport aux sociétés précapitalistes. Par ailleurs, ils peuvent causer -et causent déjà aujourd’hui- des catastrophes d’autant plus graves que le système capitaliste y répond par une fuite en avant néolibérale, qui accroît les inégalités. Les menaces liées au changement climatique (montée du niveau des océans, progrès de la désertification, diminution de la productivité agricole) ainsi qu’à la stratégie capitaliste pour y faire face (marché des droits de polluer, agrocarburants, développement du nucléaire) sont sans doute les plus inquiétantes à cet égard, et elles sont indiscutablement grosses de barbarie. Pourtant, il semble douteux que ces problèmes puissent provoquer un effondrement de la société capitaliste. Il semble plus probable qu’on reste ici dans des scénarios de crise sociale, nécessitant l’intervention consciente des exploités et des opprimés pour éviter des régulations capitalistes barbares. En soi, ce diagnostic est suffisamment sérieux et préoccupant pour baliser la voie de l’action en faveur d’alternatives. Croire que le capitalisme pourrait s’effondrer pour des raisons écologiques reviendrait selon nous à reproduire l’erreur de certains marxistes mécanistes qui affirmaient qu’il s’écroulerait pour des raisons économiques. L’Histoire a montré entre-temps que cette thèse sous-estime la capacité d’adaptation du système.

De toute manière, quoiqu’il en soit de la possibilité d’un effondrement, toute analyse du risque écologique doit prendre en compte la nouveauté radicale de l’impact environnemental sous le capitalisme. Cette nouveauté ne tombe pas du ciel : elle renvoie au passage de sociétés produisant surtout des valeurs d’usage pour la satisfaction de besoins finis à une société de production généralisée de valeur, créant l’illusion d’une accumulation possible à l’infini. La « métaphore de l’île de Pâques » escamote cette rupture fondamentale, cette « grande transformation » selon l’expression de Karl Polanyi. Elle exploite la peur légitime d’une catastrophe écologique pour détourner l’attention des vrais responsables et remettre au goût du jour les vieilles recettes de Mathus : prêcher l’abstinence et la soumission ; diminuer radicalement le nombre d’êtres humains vivant sur la Terre ; ne pas aider les pauvres car, en les aidant, on leur permet de procréer (« de sorte qu’ils deviennent encore plus pauvres »)… Ces recettes ne deviennent pas plus sympathiques quand on les peint en vert, comme le fait Diamond. Outre le dégoût que leur brutalité, leur cynisme et leur hypocrisie inspirent, il convient de souligner qu’elles n’apportent tout simplement aucune solution concrète au problème qu’elles prétendent résoudre. La population de l’Australie, selon Diamond, devrait passer de vingt à huit millions d’individus pour rester compatible avec la soi-disant « capacité de charge » de l’écosystème [14]. A moins de recourir à des procédés d’une barbarie indicible, il est clair qu’une telle diminution ne pourrait être réalisée qu’à très, très long terme… de sorte qu’elle ne répondrait en rien à l’urgence écologique. La théorie de l’effondrement est une eschatologie. Comme toutes les eschatologies, elle ne débouche que sur l’angoisse, qui paralyse la lutte pour une indispensable alternative de société.

P.-S.

* Article à paraître dans « Critique Communiste » No. 185 (December 2007).

Notes

[1] Jared Diamond. Collapse. How Societies Choose to Fall or Survive, Penguin Books, 2006. Traduction française L’effondrement, Gallimard. Les citations sont tirées de l’édition anglaise.

[2] Cité par Benny Peiser dans « From Ecocide to Genocide : the Rape of Rapa Nui », Energy and Environment, 16:3&4 (2005).

[3] Ibid.

[4] Michel Orliac, L’île de Pâques est-elle devenue l’île aux bêtises, Clio 2007.

[5] Benny Peiser, From Ecocide to Genocide.

[6] L’auteur de ces lignes en a été victime en écrivant imprudemment que « il est fort probable que la civilisation maya se soit effondrée par suite d’une crise écologique qu’elle avait provoquée » (Le piège des identités perdues, http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article4188)

[7] Benny Peiser, « Climate Change and Civilisation Collapse » in K. Okinsky (ed), Adapt or Die : The Science, Politics and Economics of Climate Change, London, Profile Books.

[8] Nous avons déjà montré ailleurs que Diamond n’hésite pas à prendre les plus grandes libertés avec la rigueur scientifique. Lire Daniel Tanuro, « Le plafond photosynthétique n’est pas prêt de nous tomber sur la tête ». http://www.europe-solidaire.org/index.php

[9] Mazoyer et Roudart, Histoire des agricultures du monde, Seuil, 1997.

[10] United Nations Population Fund, 2005.

[11] Naren PRASAD, « Régimes fonciers et développement économique dans le Pacifique », UNESCO, Etudes et Rapports de la Section de Recherche culturelle et Gestion, N°9, CLT/CPD/CRM/99/022

[12] Dans le débat avec les « collapsistes » tels que Jared Diamond, la différence entre catastrophes écologiques « anthropiques » et catastrophes écologiques naturelles nous semble plus importante que la différence, proposée par l’anthropologue Claude Chapdelaine, entre les phénomènes soudains (type éruption du Vésuve) et les phénomènes s’échelonnant sur plusieurs générations (Claude Chapdelaine, « L’archéologie et les catastrophes écologiques » http://www.anthro.umontreal.ca/colloques/1997/5-Chapdelaine_97.pdf)

[13] D. Tanuro, « Le plafond photosynthétique », op. cit.

[14] « Soi-disant ‘capacité de charge’ » car ce concept de l’écologie ne devrait pas être appliqué à l’espèce humaine, dont l’impact sur le milieu est déterminé surtout socialement et historiquement, pas biologiquement.

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