L’affaire est grave ; c’est même une véritable affaire d’Etat. Mais on ne peut s’empêcher d’en rire. Jacques Chirac, chef suprême des Armées françaises, obligé d’ordonner le rapatriement sans cérémonie du Clemenceau afin de pouvoir jouer au voyageur de commerce en Inde. L’arrogant ministère de (...)